Frankfurt Is the Big Winner in Battle for Brexit Bankers (16 juillet 2017)
Frankfurt Is the Big Winner in Battle for Brexit Bankers
By Gavin Finch, Hayley Warren and Tim Coulter
Last updated: July 14, 2017
Frankfurt has emerged as the biggest winner in the fight for thousands of London-based jobs that will have to be relocated to new hubs inside the European Union after Brexit.
Standard Chartered Plc, Nomura Holdings Inc. and Daiwa Securities Group Inc. have picked the German city for their EU headquarters to ensure continued access to the single market. Citigroup Inc., Goldman Sachs Group Inc. and Morgan Stanley are weighing a similar decision, said people familiar with the matter, asking not to be named because the plans aren’t public. HSBC Holdings Plc is the biggest non-French bank so far to opt for Paris.
Brexit L’etude KPMG LUX sur le choix des nouvelles localisations
sur les 50 institutions financières ayant déjà annoncé leur intention de quitter Londres,
21 ont choisi Luxembourg, 13 Dublin et 8 Francfort. Seule la banque HSBC a décidé de transférer ses équipes dans l'Hexagone
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Environ 500 banques et établissements financiers, près de 150 000 employés toutes catégories confondues, et des recettes fiscales pour le Trésor britannique estimées, en 2014, à plus de 60 milliards d’euros: telle est l’ampleur du magot socio-économique représenté par la City de Londres, «réacteur nucléaire» d’une industrie bancaire et financière qui représente 12% du produit intérieur brut du Royaume-Uni.
DEJA IL Y DIX ANS
FRANCE IS NOW OPEN FOR BUSINESS par Mme C.LAGARDE
Intervention du premier ministre pour faire de paris la première place financière européenne
‘Source France diplomatie 07.07 17
Paris et Francfort se disputent les restes de la City
Par Richard Werly, Paris, et Nathalie Versieux, Berlin
Paris, la City version famille
Revigorée par l’«effet Macron», la capitale française entend offrir aux banquiers un cadre de vie, de travail et d’épanouissement familial
Ils seront à l’écoute ce mardi, lors de l’ouverture du
qui regroupe les principaux acteurs financiers de l’Hexagone au Pavillon d’Armenonville. Au micro? Le premier ministre Edouard Philippe, qui, vendredi, a présenté en personne la stratégie parisienne pour attirer banques et institutions forcées de quitter le Royaume-Uni en raison du Brexit. Seconde prise de parole en quelques jours, donc, pour un chef de gouvernement qui a, comme Emmanuel Macron, mis l’attractivité française au cœur de son action. «Paris doit beaucoup plus convaincre que Francfort, Dublin ou Luxembourg, note un habitué du forum Europlace. Fiscalité, accueil des expatriés, infrastructures… dans tous ces domaines, la France est en retard.»
Stratégie en trois axes
La stratégie que Paris entend désormais déployer a été clarifiée par Edouard Philippe avant ce grand rendez-vous des acteurs boursiers présidé par Gérard Mestrallet, le patron du groupe Suez. Axe numéro un: une fiscalité révisée à la baisse – l’impôt sur les sociétés devrait passer, durant ce quinquennat, de 33,3% à 25% – et un abandon partiel de la taxe sur les transactions financières.
Axe numéro deux: une flexibilité accrue du marché de l’emploi pour les entreprises, grâce aux mesures qui seront adoptées par ordonnances à l’automne (priorité aux négociations d’entreprise, exclusion des bonus du calcul des indemnités en cas de rupture de contrat).
Troisième axe: un environnement socio-économico-éducatif bien plus performant avec l’ouverture promise de trois lycées internationaux d’ici à 2022 et la création d’une chambre spécialisée anglophone auprès de la Cour d’appel de Paris pour les contentieux d’affaires.
Francfort joue la carte de la stabilité fiscale politique et économique
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