De LAROSIERE ,ARTUS VILLIERS : les nouveaux rebelles …de la pensée économique ???? (16 mai 2021)

Trois personnalités du monde économique viennent de se rebeller  en
« espérant contribuer ainsi à
l’insurrection des consciences. »

 

40 ANS D'ÉGAREMENTS ÉCONOMIQUES par Jacques de Larosière

 

« Cet essai a pour ambition de comprendre comment notre pays s’est laissé glisser, depuis une quarantaine d’années, au bas des classements internationaux pour ce qui est des performances économiques.
Nous nous sommes profondément désindustrialisés tout en augmentant massivement l’appareil d’État, la dépense et les prélèvements publics.
Cet essai entend montrer l’ampleur de nos retards et suggérer la manière de les combler afin de mettre à profit notre avantage démographique qui, à condition que l’on n’y mette pas de nouveaux obstacles, pourrait bien être à l’origine d’un “miracle” français. » J. de L.

Les 10 préjugés qui nous mènent au désastre économique et financier

Jacques Delarosière

« Dans ce nouveau livre, je vais tenter, sur une dizaine de sujets choisis dans le domaine économique et financier, simples ou complexes, mais qui tous intéressent notre société, de donner une idée de l’écart qui sépare les conceptions qu’on se fait souvent des choses de leur réalité sousjacente.

 

LE JOUR D'APRES par Philippe De VILLIERs

 

Ayant entre les mains des éléments d’information fiables, recoupés, glaçants, Philippe de Villiers a décidé de prendre la plume pour alerter les Français, en espérant contribuer ainsi à l’insurrection des consciences.

 Cela s’est passé plusieurs mois avant la survenance du virus. En réalité, les participants - les géants du capitalisme de surveillance - anticipaient ainsi la catastrophe à venir. Ils avaient voulu un monde d’un seul tenant, sans cloisons. Ils savaient que ce monde-là serait hautement pathogène. Ils le savaient et ils s’y préparaient. Ils attendaient la pandémie et ils la voyaient venir.

 

 LA DERNIÈRE CHANCE DU CAPITALISME par Patrick ARTUS

 

Dans ce livre, Patrick Artus et Marie-Paule Virard prennent la question à bras-le-corps. Leur diagnostic est sévère : la dévaluation du travail par le profit, le choix de privilégier l’actionnaire au détriment du salarié et des autres partenaires de l’entreprise constituent, selon eux, l’ADN du capitalisme néolibéral et expliquent l’asthénie de la demande. Dès lors, loin d’être tout-puissant, ce dernier a besoin de béquilles pour continuer à avancer. Béquilles qui ne sont rien d’autre que l’endettement sous toutes ses formes et la création monétair

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