14 octobre 2013
FMI: TAXING TIMES une fiscalité plus lourde pour les riches
FMI TAXING TIMES
La fiscalité à l’heure de choix stratégiques
Mercredi 9 octobre, 15h30– 16h30
Université George Washington, Auditorium Jack Morton
Un vrai cours de fiscalité prospective
Note de P Michaud les solutions proposées sont pour le FMI révolutionnaires et rejoignent dans leurs esprits celle du Livre la nuit de la faillite mais d’autres solutions sont envisageables par nos banquiers centraux , moins douloureuses pour la consommation et l investissement que celles de C Lagarde .Par ailleurs un oubli la baisse des dépenses publiques ??
LES ECUREUILS AU SECOURS DES BANQUIERS ? ou l'effet chypre
6. A One-Off Capital Levy? CLIQUER
« Pour guérir d'un excès de dettes, un endettement encore plus grand est une impasse. Des économistes cherchent d'autres solutions, qui passent par l'impôt ou le défaut. Dans les deux cas, l'épargnant est le perdant. »
Les réflexions de Jean Marc Vittori Les Echos 15.10.13
FMI assemblée annuelle L'étude complète en pdf
L’analyse de claire Guelaud du Monde cliquer
LE SEMINAR EN VIDEO Avec la position très avancée de C Lagarde
Les défis que doivent relever les responsables actuels des politiques fiscales sont redoutables :ils doivent assainir les finances publiques sans obérer les perspectives de croissance à court et moyen termes ;s’attaquer aux aspects d’équité, au cœur des préoccupations avec le creusement des inégalités dans de nombreux pays ;« réparer » le système fiscal international ; améliorer la mobilisation des ressources intérieures, étant donné le recul probable de l’aide au développement ; et trouver des solutions pour tirer au mieux parti des nouvelles ressources.
Le séminaire s’est attacher à deux questions :
1) comment structurer les systèmes fiscaux pour affronter ces problèmes dans les meilleures conditions possibles ; et
2) quels sont les obstacles à une réforme de fond des politiques fiscales et les moyens pour les surmonter ?
L’analyse de claire Guelaud du Monde cliquer
En dépit de l'augmentation quasi générale de la pression fiscale, le Fonds monétaire international (FMI) estime qu'il est encore possible dans de nombreux pays de taxer plus, mieux et plus justement, notamment en élargissant le nombre d'assujettis à la TVA et en relevant le taux marginal de l'impôt sur le revenu.
Dans un rapport sur les questions budgétaires présenté mercredi 9 octobre et très largement consacré à la fiscalité – il est d'ailleurs intitulé "Taxing times" –, l'institution internationale souligne le creusement des inégalités fiscales avec la crise, et constate que la progressivité des impôts a diminué depuis trois ans. lire la suite
les propositions idéalistes complètes
Quelques recommandations
Scope seems to exist in many advanced economies to raise more revenue from the top of the income distribution (and in some cases meet a non trivial share of adjustment needs), if so desired. And there is as strong case in most countries, advanced or developing,for raising substantially more from property taxes (though this is best done when property markets are reasonably resilient). In principle, taxes on wealth also offer significant revenue potential at relatively low efficiency costs.
Une possibilité semble exister dans de nombreuses économies avancées pour augmenter les recettes des revenus élevés (et dans certains cas atteindre une part non négligeable des besoins d'ajustement), . Et il y a la possibilité dans la plupart des pays, avancés ou en développement, d’augmenter considérablement les impôts fonciers (même si cela se fait mieux quand les marchés immobiliers sont raisonnablement résistants). En principe, l'impôt sur la fortune offre également un potentiel de revenus importants avec un coût administratif faible.
1. Constructing an Index of the Difficulty of Fiscal Adjustment 18
2. Fiscal Reforms to Unlock Economic Potential in the Arab Countries in Transition 20
3. Learning from the Crisis? Taxation and Financial Stability 45
4. Taxation and Growth: Details Matter 46
5. Tricks of the Trade 47
6. A One-Off Capital Levy?
13:20 Publié dans Politique fiscale | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook | | |
Commentaires
http://www.economiematin.fr/news-taux-negatifs-depots-espagne
: le 7 juillet, l'Espagne a décidé de taxer de façon rétroactive tous les dépôts bancaires de 0,03%. Et devinez pourquoi ? Pour relancer la croissance et la création d'emploi, bien sûr ! À chaque fois que nous nous disons « ils n'oseront pas » nous nous trompons. « Ils » c'est bien sûr les fonctionnaires omniscients et leurs conseillers intéressés. La chypriotisation, la confiscation des assurances vies en Pologne, les taux négatifs, la taxe Lagarde... Quelle couleuvre n'avalerait-on pas pour la croissance et l'emploi ?
Écrit par : 1er ex. en espagne | 27 novembre 2014
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