09 mai 2021
la dernière chance du capitalisme par Patrick ARTUS
Les lettres fiscales d'EFI Pour lire les tribunes antérieures cliquer
Pour recevoir la lettre EFI, inscrivez-vous en haut à droite
Le capitalisme néolibéral, dont la nature a beaucoup évolué depuis les années 1980, est en sursis. Perçu comme injuste et inégalitaire, il nourrit colère et rancœurs, faisant le lit des populismes. Circonstance aggravante, il se révèle inefficace en créant de moins en moins de croissance.
Alors, faut-il en finir et changer radicalement de système ?
Dans ce livre, Patrick Artus et Marie-Paule Virard prennent la question à bras-le-corps. Leur diagnostic est sévère : la dévaluation du travail par le profit, le choix de privilégier l’actionnaire au détriment du salarié et des autres partenaires de l’entreprise constituent, selon eux, l’ADN du capitalisme néolibéral et expliquent l’asthénie de la demande. Dès lors, loin d’être tout-puissant, ce dernier a besoin de béquilles pour continuer à avancer. Béquilles qui ne sont rien d’autre que l’endettement sous toutes ses formes et la création monétaire.
La Dernière Chance du capitalisme
par Patrick Artus et Marie-Paule Virard
| Éditions Odile Jacob
Montrant que ces politiques économiques atteignent aujourd’hui leurs limites, Patrick Artus et Marie-Paule Virard ne se contentent pas d’analyser les risques qu’elles font courir à nos sociétés : en proposant un autre modèle de capitalisme, ils partagent avec nous les raisons d’espérer.
Patrick Artus est professeur associé à l’École d’économie de Paris
et conseiller économique de Natixis.
Marie-Paule Virard est journaliste économique.
Ensemble, ils ont notamment publié :
Le capitalisme est en train de s’autodétruire,
La France sans ses usines et Croissance zéro,comment éviter le chaos ? Chez Odile Jacob,
Patrick Artus est l’auteur de 40 Ans d’austérité salariale. Comment en sortir ?
08:13 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
|
Facebook | | |
08 mai 2021
LE JOUR D'APRES par Philippe De VILIIERs
« Ce que nous avons vécu a déjà été joué.
À New-York. Lors d’une réunion ou plutôt d’un exercice de simulation d’une pandémie de coronavirus, le 18 octobre 2019 ; tout a été filmé et se trouve sur internet.
Le Jour d'après - Philippe de Villiers
Philippe de Villiers était l'invité d'Apolline de Malherbe ...
Cela s’est passé plusieurs mois avant la survenance du virus. En réalité, les participants - les géants du capitalisme de surveillance - anticipaient ainsi la catastrophe à venir. Ils avaient voulu un monde d’un seul tenant, sans cloisons. Ils savaient que ce monde-là serait hautement pathogène. Ils le savaient et ils s’y préparaient. Ils attendaient la pandémie et ils la voyaient venir.
Quand elle survint, ils la saluèrent comme « une fenêtre d’opportunité ».
Pour les rentiers du numérique et de la Big Tech, ce fut une aubaine. Mais aussi pour les gouvernements qui mirent au ban d’essai l’idée d’une « société disciplinaire ».
Ainsi les élites globalisées ont-elles préparé le jour d’après. Occasion rêvée pour tout changer, changer la société, changer de société. Et imposer enfin leurs codes de désocialisation, leur esthétisme woke, leur idéologie du Bien total. »
Ayant entre les mains des éléments d’information fiables, recoupés, glaçants, Philippe de Villiers a décidé de prendre la plume pour alerter les Français, en espérant contribuer ainsi à l’insurrection des consciences.
13:58 Publié dans Les lettres fiscales d'EFI | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
|
Facebook | | |