fraude et evasion fiscale : BILAN DE LA MISE EN ŒUVRE DES RECOMMANDATIONS
INTRODUCTION ET SYNTHÈSE : BILAN DE LA MISE EN ŒUVRE DES RECOMMANDATIONS
- UN BILAN POSITIF : TROIS RECOMMANDATIONS SUR QUATRE ONT ÉTÉ MISES EN ŒUVRE
- Le bilan global de mise en œuvre des recommandations
- Le bilan de mise en œuvre en fonction du niveau d’action des recommandations
- Le bilan détaillé de mise en œuvre des recommandations
- UNE MATIÈRE EN CONSTANTE ÉVOLUTION : LA NÉCESSITÉ D’APPROFONDISSEMENTS THÉMATIQUES ET D’UNE ÉTUDE DE LA RÉFORME DE L’OCDE
PREMIÈRE PARTIE – FOCUS THÉMATIQUES SUR LA MISE EN ŒUVRE DE CERTAINES RECOMMANDATIONS
- LA NÉCESSAIRE ÉVALUATION DE L’ÉVITEMENT FISCAL : DES TRAVAUX PROMETTEURS QUI DOIVENT ÊTRE APPROFONDIS
- LES TRAVAUX CONDUITS PAR LA COUR DES COMPTES ET L’INSEE
- L’OPPORTUNITÉ RÉAFFIRMÉE DE CRÉER UN GROUPE DE TRAVAIL PLURIDISCIPLINAIRE
- DIPLOMATIE FISCALE ET PRAGMATISME ÉCONOMIQUE : UNE PRISE DE CONSCIENCE ACCRUE
- LA REPRISE PAR LA COUR DES COMPTES DES RECOMMANDATIONS DE LA MISSION EN MATIÈRE DE DIPLOMATIE ET DE PRAGMATISME
- Les recommandations formulées en 2018
- Des recommandations reprises par la Cour des comptes en 2019
- LES MODALITÉS DE MISE EN ŒUVRE DE LA DIPLOMATIE PRAGMATIQUE
- Le renforcement de l’évaluation économique des conventions
- La nécessité de mieux évaluer les conséquences des réformes fiscales internationales
- L’amélioration du suivi de l’application des conventions
- L’incontournable prise en compte des aspects extra-fiscaux
- LES RAISONS DE L’ABSENCE DE MISE EN ŒUVRE DE CERTAINES RECOMMANDATIONS
- FISCALITÉ ET NUMÉRISATION DE L’ÉCONOMIE : DES PROGRÈS RÉELS, UNE RÉFORME À CONCRÉTISER
- L’ÉCHEC MALHEUREUX DU « PAQUET NUMÉRIQUE » EUROPÉEN DE 2018 ET LA MULTIPLICATION DES INITIATIVES NATIONALES
- L’absence de consensus européen sur le paquet fiscal numérique de 2018
- La consécration par la France de la TSN et la multiplication des initiatives nationales similaires
- LA PROMETTEUSE RELANCE D’INITIATIVES INTERNATIONALES : LES NÉGOCIATIONS SOUS L’ÉGIDE DE L’OCDE ET LES NOUVEAUX PROJETS EUROPÉENS
- Les négociations de l’OCDE : une réforme autour de deux « piliers »
- Le « pilier 1 » : la reconnaissance aux juridictions de marché du droit d’imposer une fraction du bénéfice tiré de certaines activités
- Le « pilier 2 » : l’instauration au niveau mondial d’une imposition minimale des bénéfices
- Une réforme dont l’impact économique devrait être globalement positif
- Une réforme éminemment politique qui suppose une certaine vigilance
- La perspective renouvelée d’une mesure fiscale européenne concernant le secteur numérique
- Les pistes explorées par la Commission européenne
- Les observations appelées par chacune des pistes explorées : la piste privilégiée d’une TSN ajustée
- La nécessité d’une coordination entre l’Union européenne et l’OCDE
- LA MODERNISATION DU « NEXUS » : L’ADAPTATION DU DROIT D’IMPOSER À L’ÉCONOMIE MODERNE
- La pleine consécration de l’approche privilégiant la substance à la forme
- Les modifications de la Convention multilatérale de 2017 : une évolution plutôt qu’une révolution
- La décision Conversant du Conseil d’État : la victoire du pragmatisme
- La question de l’opportunité de l’établissement stable virtuel à la lumière du « pilier 1 » de l’OCDE
- La recommandation en 2018 de consacrer sous condition l’ESV en droit national
- La satisfaction de la finalité de la recommandation par les évolutions juridiques récentes et en cours
- Une réflexion sur l’ESV qui doit néanmoins se poursuivre
- LES OUTILS ANTI-ABUS : LA CONSÉCRATION DU « MINI-ABUS DE DROIT » ET LES PISTES D’ÉVOLUTION DES INSTRUMENTS EXISTANTS
- LE « MINI-ABUS DE DROIT », UN OPPORTUN ENRICHISSEMENT DE L’ARSENAL ANTI-ABUS NATIONAL
- La tentative avortée d’assouplissement de l’abus de droit en 2013
- La consécration du « mini-abus de droit » : un assouplissement cohérent et juridiquement robuste
- LA NÉCESSITÉ DE POURSUIVRE LA RÉFLEXION SUR L’ARTICULATION DES OUTILS ANTI-ABUS
- Les autres outils anti-abus mis en place depuis 2018
- Le panorama actuel des outils anti-abus généraux : un foisonnement potentiellement contre-productif et propice à des évolutions
- L’opportunité de l’extension du champ d’application du « mini-abus de droit » à l’impôt sur les sociétés
- La réflexion sur la rationalisation des outils anti-abus : la fusion du « mini-abus de droit » et de la clause générale en matière d’IS et le ciblage de l’objectif fiscal « essentiel »
- LA LUTTE CONTRE LES PARADIS FISCAUX : UN ENRICHISSEMENT SUBSTANTIEL DES OUTILS
- PANORAMA GÉNÉRAL DES OUTILS DE LUTTE CONTRE LES PARADIS FISCAUX
- LE RENFORCEMENT SUBSTANTIEL DE LA LUTTE CONTRE LES PARADIS FISCAUX À LA SUITE DES TRAVAUX DE LA MISSION D’INFORMATION
- Les compléments apportés à l’information du Parlement
- L’information du Parlement sur les changements de la liste des ETNC
- Le débat sur les ETNC et les pratiques dans l’Union européenne : une opportunité à concrétiser et plus que jamais d’actualité
- L’extension de la notion de pays à régime fiscal privilégié
- Les raisons de l’absence de mise en œuvre de certaines recommandations
- Le « pilier 2 » de l’OCDE : une réforme particulièrement utile contre les paradis fiscaux
- LE RENFORCEMENT DE LA TRANSPARENCE
- L’élargissement de l’accès aux registres des trusts et des bénéficiaires effectifs
- Vers une publicité encadrée des déclarations pays par pays
- L’état du droit en matière de déclaration pays par pays
- L’évolution des négociations européenne en direction d’une plus grande publicité
- Les observations qu’appelle la publicité de la déclaration pays par pays
- LA MODERNISATION DE L’ADMINISTRATION : L’AMÉLIORATION DES OUTILS ET LA MISE EN PLACE D’UNE NOUVELLE RELATION DE CONFIANCE
- L’AMÉLIORATION DES OUTILS DE CONTRÔLE FISCAL : CHAÎNE FISCALE ET « DATA MINING»
- L’ENRICHISSEMENT DES COMPÉTENCES DES ACTEURS DU CONTRÔLE : LE DÉVELOPPEMENT DES MOBILITÉS
- LA « NOUVELLE RELATION DE CONFIANCE » : VERS L’ADMINISTRATION FISCALE DU XXIESIÈCLE
- Les modalités de la nouvelle relation de confiance
- Le bilan positif de la nouvelle relation de confiance
- Les compléments envisageables à la nouvelle relation de confiance
- LE « PILIER 1 » : L’ATTRIBUTION AUX JURIDICTIONS DE MARCHÉ D’UN NOUVEAU DROIT D’IMPOSER UNE FRACTION DE CERTAINS BÉNÉFICES
- LE CHAMP D’APPLICATION DU « PILIER 1 » : LES ACTIVITÉS ET LES ENTREPRISES CONCERNÉES
- Les activités ciblées : services numériques et relations avec les consommateurs
- Les services numériques automatisés (ADS)
- Les entreprises en relation étroite avec les consommateurs (CFB)
- Les activités expressément exclues du « pilier 1 »
- Les seuils d’assujettissement au « pilier 1 » reposant sur le chiffre d’affaires
- LES NOUVELLES RÈGLES DU LIEN AVEC LES JURIDICTIONS DE MARCHÉ : LE « NEXUS »
- Les modalités proposées de détermination du « nexus »
- L’éventuelle distinction du seuil de chiffre d’affaires en fonction des activités
- Les pistes complémentaires à l’étude : durée minimale et différenciation en fonction des marchés
- LES MODALITÉS DE DÉTERMINATION DE LA BASE D’IMPOSITION ATTRIBUABLE AUX JURIDICTIONS DE MARCHÉ
- Les modalités de détermination de la base imposable et les ajustements prévus
- Le calcul du montant A et sa répartition entre juridictions de marchés
- Le calcul du montant A global en fonction du seuil de rentabilité et de la fraction de bénéfice résiduel à allouer
- L’étude d’éventuels mécanismes de différenciation pour déterminer le montant A
- Synthèse : illustration de la détermination du montant A et de sa répartition
- LES MODALITÉS ÉTUDIÉES D’ÉLIMINATION DE LA DOUBLE IMPOSITION RÉSULTANT DU « PILIER 1 »
- L’identification des entités payeuses
- L’élimination de la double imposition
- LA MISE EN ŒUVRE DU « PILIER 1 » : L’OPTION PRIVILÉGIÉE D’UNE NOUVELLE CONVENTION MULTILATÉRALE
- L’action nationale, nécessaire mais non suffisante
- La piste privilégiée d’une convention multilatérale
- LE TRAITEMENT DES DIFFÉRENDS DANS LA MISE EN ŒUVRE DU « PILIER 1 »
- LE « PILIER 2 » : L’IMPOSITION MINIMALE DES BÉNÉFICES
- LE CHAMP D’APPLICATION DU « PILIER 2 »
- LE CŒUR DU « PILIER 2 » : LE TAUX EFFECTIF D’IMPOSITION (TEI) ET SA DÉTERMINATION
- Présentation générale de la détermination du TEI
- Les impôts couverts, numérateur du TEI
- Le résultat imposable, dénominateur du TEI
- Les ajustements prévus pour la détermination du résultat imposable
- Les ajustements techniques à l’étude sur les reports, les amortissements accélérés et les dépenses fiscales
- Les mécanismes de lissage prévus
- L’éventuelle exemption fondée sur la substance
- LA DÉTERMINATION DE L’IMPÔT SUPPLÉMENTAIRE
- L’affectation de l’impôt supplémentaire entre juridictions
- La détermination du taux minimum
- Illustration de la mise en œuvre de l’imposition supplémentaire au titre du « pilier 2 »
- LES RÈGLES PERMETTANT LA MISE EN ŒUVRE DU « PILIER 2 »
- La règle d’inclusion du revenu et la règle relative aux paiements insuffisamment imposés
- Le principe de la RIR
- Le redevable de l’impôt supplémentaire dans le cadre de la RIR
- La règle relative aux paiements insuffisamment imposés
- Les autres règles complétant l’édifice du « pilier 2 »
- LES MODALITÉS JURIDIQUES ET ADMINISTRATIVES DE MISE EN ŒUVRE DU » PILIER 2 »
- Les modifications à apporter au droit national
- L’éventuelle élaboration d’une convention multilatérale
- LES CONSÉQUENCES ÉCONOMIQUES DES DEUX « PILIERS » : LES ESTIMATIONS POUR LE MONDE ET LA FRANCE
- L’IMPACT GLOBAL DES DEUX « PILIERS » AU NIVEAU MONDIAL
- L’impact mondial du « pilier 1 »
- L’impact mondial du « pilier 2 »
- L’impact des deux « piliers » sur l’activité économique et l’investissement
- LES ESTIMATIONS DES EFFETS DES DEUX « PILIERS » POUR LA FRANCE : UN IMPACT POSITIF EN TERMES DE RECETTES
- L’impact du « pilier 1 » pour la France : un gain modeste mais pas de perte de recettes
- L’impact du « pilier 2 » pour la France : un gain relativement substantiel
- Un impact estimé globalement positif
- LES POINTS DE VIGILANCE INDUITS PAR LA RÉFORME ENVISAGÉE
- LES POINTS DE VIGILANCE CONCERNANT L’ENSEMBLE DE LA RÉFORME
- Une complexité extrême qui n’est pas exempte de risques
- L’indispensable prise en compte des deux « piliers » ensemble : la nécessité d’une approche globale pour un accord politique à portée de main
- Un contexte politique particulièrement favorable
- L’intérêt pour la France de défendre les deux « piliers » ensemble
- La délicate distinction entre économie numérique et économie traditionnelle
- L’appréhension globale de la réforme par la France, une nécessité politique et un intérêt économique
- La nécessité d’avoir conscience de la temporalité longue de la mise en œuvre de la réforme
- La nécessité de garantir des modalités optimales de règlement des différends
- Une réforme qui ne doit pas pénaliser les pays en développement
- LES POINTS DE VIGILANCE SPÉCIFIQUES AU « PILIER 1 »
- Le champ des activités retenues dans le « pilier 1 » : assurer un ciblage objectif et ne pas exclure a prioriune application plus large
- Un ciblage aux contours relativement flous qui n’est pas exempt de risques
- La question de l’opportunité d’une application générale du « pilier 1 »
- L’élimination de la double imposition et l’identification des entités payeuses
- LES POINTS DE VIGILANCE SPÉCIFIQUES AU « PILIER 2 »
- La vigilance sur les éléments constitutifs du TEI
- Le périmètre des impôts : l’exemple de la CVAE et de la Gewerbesteuer
- Les ajustements relatifs à la prise en compte des dépenses fiscales
- L’attention à porter sur le traitement temporel de certains éléments de résultat
- La vigilance concernant le taux minimum
- La prise en compte de considérations économiques et politiques dans la détermination du taux minimum
- L’articulation des règles GloBE et des taux réduits d’IS : le cas du « taux réduit brevets » français
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