06 mars 2014
Observatoire économique,budgétaire et fiscal EFI
07:54 Publié dans observatoire fiscal, Politique fiscale, Rapports | Tags : observatoire économique et fiscal efi | Lien permanent | Commentaires (3) | Imprimer | | Facebook | | |
11 février 2014
Cour des comptes la baisse de recettes
Paris le 11 février 2014- La Cour des comptes se montre plutôt pessimiste dans son rapport public annuel publié mardi 11.02.14, sur la possibilité que la France parvienne sans douleur à réduire son déficit à 3% du produit intérieur brut, et propose des millions d'euros d'économie en rationalisant la gestion publique.
La situation d’ensemble des finances publiques
(à fin janvier 2014) cliquer
Commission des finances 21 mai 2014-:
Référé de la Cour des comptes relatif aux prévisions
de recettes fiscales de l'Etati
l manque 15 milliards de recette ?
Les prévisions de recettes fiscales de l'État
Audition de Mme Hélène Crocquevieille, directrice générale des douanes et droits indirects; Mme Sandrine Duchêne, directrice générale adjointe du trésor; M. Bruno Rousselet, sous-directeur des finances publiques; M. Denis Morin, directeur du budget
I - Une réduction des déficits en 2013 plus lente que prévu
A - Des déficits plus élevés que prévu malgré un effort structurel en recettes considérable
B - Une forte révision à la baisse des prévisions de recettes
C - Une croissance des dépenses plus rapide que prévu
II - Un objectif de réduction des déficits en 2014
à la réalisation incertaine
III - Des efforts supplémentaires à consentir de 2015 à 2017
En 2012, la Douane a collecté un produit fiscal de près de 68 Md€. Dans cet ensemble, les droits de douane proprement dits représentent désormais moins de 2 Md Elle emploie au total 16 800 agents contre 114 300 à la direction générale des finances publiques (DGFiP) (données 2012). Le coût moyen d’un fonctionnaire des douanes est évalué à 100 000 € (page 21) lire in fine,
Les taxes dont la Douane a la responsabilité constituent un ensemble composite, incluant des prélèvements d’un faible rendement, dont la gestion est assurée par une organisation administrative et territoriale éclatée et des applications informatiques souvent obsolètes(I).
La modernisation, longtemps retardée, de cette activité passe par un réexamen en profondeur des missions confiées à la Douane et des taxes dont elle a la charge, afin de recentrer celle-ci sur son cœur de métier(II).
Elle impose également de revoir les modalités actuelles de gestion de là TVA à l’importation, pénalisantes pour la compétitivité de l’économie(III) et de regrouper à terme, au sein de la direction générale des finances publiques (DGFiP), la fonction de recouvrement de l’ensemble des impôts et taxes (IV).
Note de P Michaud La cour dans son rapport fort décapant omet de citer la rôle peu connu du grand publie du service de la douane judiciaire qui sous un aspect fort répressif lors des enquêtes douanières est soucieux des garanties individuelles dans le cadre pré contentieux des transactions douanières notamment dans le cadre de la proportionnalité et personnalisation des sanctions qui sont toutes modulables dans le cadre de la transaction douanière
Le service contentieux de la douane judiciaire serait il exemple à suivre ???
La douane a en effet la possibilité, en application de l'article 350 du code des douanes, de transiger avec l'infracteur. Ce droit de transaction permet de régler les contentieux de façon rapide et sûre. Toutefois, lorsqu'une action judiciaire est engagée, l'administration ne peut transiger qu'avec l'accord de l'autorité judiciaire.
synthèse
Le Premier président de la Cour, Didier Migaud a jugé dans un discours que le gouvernement faisait certes des efforts "considérables" de discipline budgétaire, mais qu'il péchait encore par excès d'optimisme, en particulier dans ses prévisions de recettes.
Il a asséné qu'il s'agissait là d'un travers "récurrent" en France et qu'il "serait heureux que ces pratiques cessent". M. Migaud a estimé qu'il existait "un risque significatif" que le déficit public 2013 de la France excède l'objectif gouvernemental de 4,1% du produit intérieur brut.
Pour l'année en cours, "l'atteinte de l'objectif de déficit public" du gouvernement, soit 3,6% du PIB, "n'est pas assurée à ce stade", a-t-il dit.
Pour 2014, la Cour estime que les recettes fiscales pourraient être très inférieures aux prévisions, de jusqu'à 6 milliards d'euros.
Dans leur réponse, les ministres de l’économie, Pierre Moscovici, et du Budget Bernard Cazeneuve, assurent que cette crainte n'est pas fondée puisqu'ils s'attendent à une période de reprise qui, en général, se traduit par des rentrées plus importantes.
4 Soit 65 000 € pour son traitement chargé (équivalent temps plein, contribution au compte d’affection spéciale Pensions, chiffre 2011)
17:26 Publié dans DOUANES, Rapports | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook | | |
12 décembre 2013
La Fondation du Patrimoine
La Fondation du Patrimoine a pour but essentiel de sauvegarder et de valoriser le patrimoine rural non protégé. Maisons, églises, ponts, lavoirs, moulins, patrimoine industriel, mobilier, naturel…
tous les types de patrimoine de proximité sont éligibles à l'action de la Fondation. Aux côtés de l'Etat et des principaux acteurs du secteur, elle aide les propriétaires publics et associatifs à financer leurs projets, permet aux propriétaires privés de défiscaliser tout ou partie de leurs travaux, et mobilise le mécénat d’entreprise
Souscription nationale pour la restauration de la croix de Lorraine
Lancement vendredi 8 novembre à Colombey
Comment faire un don de particulier ou d’entreprise
LE SITE DE LA FONDATION DU PATRIMOINE
23-25, rue Charles Fourier - 75013 PARIS
Tel. : 01 53 67 76 00 - Fax : 01 40 70 11 70
Envoyer un courriel : info@fondation-patrimoine.org
les dons versés à la Fondation du patrimoine directement ou par l’intermédiaire d’une fondation ou d’une association qui reverse ces dons de manière irrévocable à la Fondation du patrimoine et aux fondations ou associations reconnues d’utilité publique et agréées par le ministre chargé du budget, en vue de subventionner la réalisation de travaux sur un monument historique privé bénéficier de la réduction d’impôt prévue aux articles 200 et 238 bis du code général des impôts (CGI)
Une action bénévole fiscalement justifiée
22:16 Publié dans Politique fiscale, Rapports | Tags : la fondation du patrimoine | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | Facebook | | |
05 novembre 2013
DGFIP la stratégie fiscale 2013-2018
La Direction générale des Finances publiques (DGFiP) a présenté son projet stratégique pour les années 2013-2018.comprenant une partie fiscale
Une stratégie de confiance 2013 2018
Circulaire du 15 décembre 2010 relative à la lutte contre la grande fraude fiscale ; mise en place d'une procédure judiciaire d'enquête fiscale cliquer
II intensification de la lutte contre la fraude
par l’efficience du contrôle fiscal
le rapport dgfip
L’efficacité de la lutte contre la corruption et la fraude fiscale est renforcée par l’adoption de plusieurs dispositions majeures, qui traduisent une plus grande sévérité et une plus grande détermination dans cette action, notamment vis-à-vis des contribuables les mieux conseillés. L’objectif est étendu aux promoteurs de cette fraude organisée.
Ce document est le résultat de travaux et d'échanges associant les agents de tous les métiers que compte la DGFiP et de nombreux interlocuteurs et partenaires nationaux et locaux.
Il définit l’ambition de la DGFiP pour les cinq années qui viennent : demeurer une administration de référence au coeur de la République, au service de tous les publics, en veillant aux conditions de travail de ses agents.
La DGFiP poursuit son adaptation aux évolutions de la société, de l’économie et des territoires pour répondre aux attentes des citoyens et de ses partenaires : simplifier les démarches, développer les services numériques, repenser l’accueil et la proximité, délivrer un service et une expertise de qualité, offrir de la sécurité juridique.
Accédez au document stratégique ainsi qu'au dépliant de présentation
15:14 Publié dans Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
25 octobre 2013
Évasion des capitaux,fraude fiscale et finance :
Rapport n° 87 (2013-2014) de M. Éric BOCQUET, fait au nom de la Commission d'enquête sur le rôle des banques,
déposé le 17 octobre 2013
L'évasion des capitaux fait l'objet désormais d'une attention soutenue tant au niveau national qu’international parallèlement à celle accordée aux effets de la finance dérégulée sur la stabilité financière.
La commission d'enquête du Sénat créée au printemps 2012 a souhaité vérifier si cette prise de conscience pouvait s'appuyer sur des observations tangibles et dans quelle mesure elle pouvait être convertie en des actes débouchant sur une meilleure maîtrise des circuits financiers.
Le rapport BOCQUET 2013 Tome I
Le rapport BOCQUET 2013 Tome II
L’ affaire HSBC HSBC le rapport Eckert
Ouvrir Tracfin aux lanceurs d'alerte
complicité ou complaisance : le rôle avéré des intermédiaires dans l'évasion fiscale
Les sénateurs français veulent punir l’incitation à la fraude fiscale
Par Catherine Dubouloz Paris cliquer
Comme l’a déclaré lors de son audition Bruno Bézard, directeur général des finances publiques, à propos de l’évasion fiscale, «dans de très nombreux cas, ces montages s’introduisent dans le circuit économique officiel par l’intermédiaire d’acteurs financiers. […] Je trouve qu’on devrait également s’attaquer à ceux qui encouragent [les dérives et la fraude], aux monteurs, aux instigateurs.»
De fait, les comptables, les avocats fiscalistes, les notaires, les gestionnaires de fortune, «les multiples rouages d’une mécanique bien huilée», selon le rapport, sont dans la ligne de mire des sénateurs, mais aussi de Bercy. «Nous réfléchissons à la manière de faciliter l’incrimination de ces professions, au sens large, qui ne sont jamais inquiétées», a déclaré Bruno Bézard.
Les 34 propositions de la commission
Premier rapport Bocquet sur l'évasion des capitaux et des actifs hors de France et ses incidences fiscales (juillet 2012)
La commission d'enquête sénatoriale se penche sur le phénomène de l'évasion fiscale internationale, observant notamment que son ampleur est difficile à quantifier, faute d'un nombre suffisant d'estimations publiques en la matière.
Elle s'attache à définir les mécanismes et les différentes définitions de la fraude et l'évasion fiscale, dont la complexité renvoie aux différents modes opératoires employés. La commission fait le point sur les instruments de lutte contre l'évasion fiscale, dont les effets sont jugés incertains et la transparence perfectible. Sur la base de ces différents constats, le rapporteur présente ensuite les principales
L'évasion des capitaux fait l'objet désormais d'une attention soutenue tant au niveau national qu’international parallèlement à celle accordée aux effets de la finance dérégulée sur la stabilité financière.
La commission d'enquête du Sénat créée au printemps dernier a souhaité vérifier si cette prise de conscience pouvait s'appuyer sur des observations tangibles et dans quelle mesure elle pouvait être convertie en des actes débouchant sur une meilleure maîtrise des circuits financiers.
Elle a constaté l'existence de risques élevés d'évasion des capitaux, qui se concrétisent de différentes manières, selon les objectifs poursuivis.
Dans ce contexte, l'offshore ressort comme une réalité emblématique, qu'il ne faut pas croire limitée aux seuls paradis fiscaux et réglementaires exotiques. L'offshore c'est le nom des failles multiples par lesquelles les flux financiers passent pour se soustraire aux règles.
L'opacité en est la caractéristique principale, celle sur laquelle butent des systèmes de contrôle fractionnés et aux moyens trop limités face à des réalités financières sans frontières et foisonnantes.
Les principes d'un rétablissement du contrôle de la conformité de la finance s'en déduisent.
La transparence et la lisibilité des pratiques financières doivent être restaurées.
Dans le même temps, la responsabilité doit progresser : celle des intermédiaires financiers et des entités qui se livrent à des pratiques financières abusives sans oublier celle des systèmes de contrôle eux-mêmes, confrontés à des exigences d'efficacité et d'impartialité auxquelles ils doivent satisfaire.
02:11 Publié dans EVASION FISCALE internationale, Fraude escroquerie blanchiment, Rapports, Siège social fictif et frauduleux, TRACFIN et GAFI | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
14 octobre 2013
Cour des comptes enfin un rapport sur les collectivités locales
Pour la première fois, la Cour des comptes rend public, lundi 14 octobre 2013, un rapport sur les finances publiques locales.
La Cour des comptes demande aux collectivités locales
de freiner leurs dépenses Source Les Echos cliquer
S’ajoutant aux rapports relatifs aux finances de l’État et de la sécurité sociale, cette publication lui permet de couvrir chacune des trois composantes des finances publiques. Elle a vocation à être pérennisée selon un rythme annuel. Cette publication est le fruit d’un travail commun à la Cour et aux chambres régionales des comptes. Elle croise ainsi une approche transversale et une approche territoriale. Elle a fait l’objet d’un débat contradictoire avec les administrations d’État et les collectivités concernées, ainsi que d’échanges avec les principales associations d’élus locaux.
- Synthèses - Les finances publiques locales (PDF, 487,62 kB)
- Allocutions - Les finances publiques locales (PDF, 181,91 kB)
- Communiques- Les finances publiques locales (PDF, 176,35 kB)
- Fiches- Les finances publiques locales (PDF, 377,31 kB)
Les finances locales participent de l’équilibre global des finances publiques
La situation des différentes collectivités apparaît de plus en plus hétérogène
Un dispositif de gouvernance associant les collectivités reste à construire
Une meilleure maîtrise des dépenses de fonctionnement est possible
La qualité de l’information financière locale peut être significativement améliorée
La Cour formule au total 23 recommandations
20:47 Publié dans Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
La directive AIFMD va t elle détruire plus de 100.000 emplois en Europe ???
Une étude du laboratoire d’idées bruxellois New Direction politiquement situé au centre droit et opposé à une Europe fédérale évalue l’impact sur l’économie et l’emploi de la directive européenne sur les placements alternatifs.
Attention cette info- ou intox- auto censurée en france
peut avoir été manipulée
A nos parlementaires de faire la part du feu
107 100 emplois menacés dans l’UE,
dont 35 000 au Royaume-Uni ET 18.000 en France ,,,
Le site de Bruxelles sur l’ AIFMD
L’étude de New Direction Foundation
La réglementation européenne destinée à «mieux protéger l’investisseur dans les placements alternatifs» n’est pas neutre sur l’emploi.
Selon une étude publiée mercredi 9 octobre 2013 par New Direction, The Foundation for European Reform, un laboratoire d’idées bruxellois politiquement situé au centre droit et opposé à une Europe fédérale, la Directive on Alternative Investment Fund Managers (AIFMD) menace 107 100 emplois dans l’Union européenne.
Cette directive vise à réglementer non les fonds alternatifs eux-mêmes (hedge funds, capital-investissement, fonds immobiliers, en matières premières et en infrastructures) mais les gérants de ces fonds. Elle met en place un passeport européen qui règle aussi bien les rémunérations des institutions financières que les incitations à la prise de risque dans les fonds de hedge funds et les autres placements alternatifs.
Le coût de l’opération? «La Commission européenne est réputée pour l’absence de ses évaluations de l’impact de ses décisions», selon New Direction. Si la démonstration empirique fait défaut, le laboratoire d’idées comble cette lacune à partir de recherches propres ainsi que le sondage de Deloitte auprès des gérants britanniques de hedge funds, de capital-investissement et d’autres fonds (matières premières, immobilier, infrastructures). Ce dernier montrait que la directive représentait une menace pour les affaires des trois quarts des gérants et deux tiers d’entre eux craignaient que la compétitivité de l’asset management européen ne soit réduite
source Emmanuel Garessus du Temps
13:39 Publié dans Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
09 octobre 2013
Les recettes fiscales en baisse . Pourquoi ?
EFI édite une lettre hebdomadaire que vous pouvez recevoir en vous abonnant en haut à droite
L'été s'est traduit par une remontée des recettes fiscales, a indiqué Bercy. Une amélioration liée aux rentrées d'impôt sur le revenu et d'impôt sur les sociétés, en raison de l'augmentation de la fiscalité.
Mais il ne faut pas s'y tromper : l'impôt ne rentre pas bien. Les recettes fiscales du budget de l'Etat s'établiront à 287,8 milliards d'euros cette année, selon les prévisions actualisées du gouvernement. Soit 10 milliards d'euros de moins que ce qu'attendait Bercy il y a un an. A cela s'ajoutent les moins-values du côté des prélèvements sociaux et des collectivités (droits de mutation). Au total, il manquera plus de 15 milliards de recettes.
La nuit de la faillite ou des efforts pour des prunes
Gilles Carrez :
« La pression fiscale est devenue telle qu'elle pèse sur le rendement même des impôts. »
cliquer pour lire
Le vrai problème Lutte contre la fraude à la TVA 32 MM€ cliquer
La fausse solution la chasse à l’écureuil cachottier 2MM€
Le déficit se creuse :
la cour des comptes s’inquiète sur une fraude importante non décelée.
08:08 Publié dans Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
08 septembre 2013
The world forum The Global Competitiveness Report 2013 - 2014
The Global Competitiveness Report 2013 - 2014
Les poins forts et les points faibles de la France
Compétitivité : la France perd encore du terrain sur la scène mondiale
La France recule de deux places et se situe au 23 e rang dans le classement de Davos. LES ECHOS
Le Rapport global sur la compétitivité 2013-2014indique que les pays à fort taux d’innovation et disposant d’un réseau d’institutions prépondérantes dominent les classements internationaux de la compétitivité.
• Les Etats-Unis inversent une tendance à la baisse (depuis 4 ans) et le Japon se hisse à la 9e place
• Vous pouvez télécharger le rapport intégral présentant la situation économique de 148 pays, leurs points forts, classements, etc. sous http://www.weforum.org/gcr et visionner les vidéos des interviewsdes résultats du rapport
11:22 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, FORUM MONDIAL, Politique fiscale, Rapports | Tags : the world economic forum | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
14 août 2013
Urgences françaises par Jacques Attali
Urgences françaises
par Jacques Attali
Publication Fayard | Publié dans Essais - 2013
« Ce qui se joue aujourd’hui est une question de vie ou de mort. Pour la démocratie. Pour la France.
La crise est là, et peut-être pour longtemps. Confronté à l’impitoyable concurrence des autres nations, notre pays peut encore s’en sortir. Il peut tout autant décliner jusqu’à l’effondrement.
Que faire ? Agir dès maintenant. Dans les douze mois. Mettre en oeuvre une série de réformes précises dont je livre ici le détail.
Avant tout, il s’agit d’une question de volonté :sommes-nous prêts à affronter le monde comme il est, en nous en donnant les moyens, avec le sourire de la confiance ?
Ce livre est un programme d’action, une incitation à remettre en cause les situations de rente, une supplique en vue de penser à l’intérêt des générations à venir.
Mon ambition est d’aider les Français, et pas seulement les gouvernants, à prendre conscience de cette urgence, de leurs atouts comme de leurs lacunes, et à parcourir au plus vite la voie qui les conduira à l’action. Avant que d’autres forces, hélas bien plus sombres, ne nous imposent d’emprunter le même chemin au pas de l’oie. »
Jacques Attali
15:18 Publié dans Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
09 juillet 2013
Rapport d’activité 2012 de la Direction Générale des Finances Publiques
le rapport d'activité 2012 de la DGFIP
cliquer
Fraude fiscale : l'administration souhaite harmoniser le traitement des contribuables Les ECHOS Elsa Conesa 09.07
Note de P Michaud ; ce rapport de la DGFIP est techniquement didactique et montre le désir de transparence de cette administration de la République mais il est dommage que d’une part la distinction en valeur € entre les rectifications sur dossier et sur place (les vérifications fiscales stricto sensu ) ne soient plus publiéesd’autre part que le taux de recouvrement fiscal – qui est une des preuves de l’adhésion des français à la politique fiscale –si elle existe ?- ne soit pas indiqué
Chaque ami d’EFI jugera suivant sa conviction..
Par ailleurs, il serait souhaitable que les statistiques de la répression n’indiquent plus uniquement le nombre de plaintes contre les maçons turcs mais d'abord la nature des poursuites et les modalites des fraudes sanctionnées un peu comme le rapport du comité des abus de droit.il ne s’agit pas de voyeurisme mais de prévention. la modélisation de la présentation actuelle date des années 1970 époque ou la DGI faisait de la décimation par groupe socio professionnel pour déjà foutre la trouille
Par ailleurs et SURTOUT, pour quelles raisons ce formidable travail de la DGFIP n’est pas poursuivi au niveau des autres prélèvements obligatoires notamment au niveau des prélèvement sociaux et de leurs affectation qui représentent plus de 24% du PIB alors que celui de l'Etat pèse un petit 17% ( un point de PIB représentant 20MM€) , contrairement à notre pensée unique je pense que notre déclin provient d'abord des prélèvement sociaux obligatoires mais ceux ci sont controlés non par des administrations d'etat proyégeant l'intérêt général de la FRANCE mais par des organisations professionnelles protégeant elles des intérêts corporatistes ( à vos tomates)
Que veulent donc protéger les pouvoirs politiques par ce secret
LIRE LA SUITE CI DESSOUS
07:54 Publié dans Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
04 juillet 2013
«Elite Academy, enquête sur la France malade de ses grandes écoles»,
«Elite Academy, enquête sur la France
malade de ses grandes écoles»,
Peter Gumbel,
Denoël, Paris, 2013, 170 pages
cliquer
Culture d’élites Par Catherine Dubouloz
Journaliste au Temps (CH) cliquer
Dans un ouvrage au ton corrosif, le journaliste anglais Peter Gumbel critique le système de formation des élites françaises, largement issues de l’ENA et de Polytechnique. Il estime que les méthodes d’enseignement, basées sur l’autoritarisme et la soumission, tuent la créativité et favorisent les blocages
La France est «malade». Pour partie, son mal-être, ses blocages et son déclin proviendraient de la manière dont est formée l’élite du pays, notamment à l’ENA (l’Ecole nationale d’administration) et à l’Ecole polytechnique.
«Des esprits brillants, pleins de confiance et parfois d’arrogance», qui deviennent ensuite ministres, conseillers ministériels, hauts fonctionnaires ou PDG des grandes entreprises françaises. Des hommes et quelques femmes qui ne sont pas nécessairement taillés professionnellement pour ces postes, même s’ils ont obtenu de brillants résultats scolaires. «Ce jeu est néfaste pour la nation tout entière», soutient le journaliste anglais Peter Gumbel, qui vit à Paris depuis onze ans.
13:49 Publié dans Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
19 juin 2013
Conseil d'etat le rapport 2012
16:03 Publié dans Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
12 juin 2013
UE Lutte contre la fraude :le programme
juin 2013
Le 12 juin 2013,la Commission propose un champ d’application maximal pour l’échange automatique d’informations au sein de l’Union
La Commission a proposé le 12 juin d’étendre l’échange automatique d’informations entre les administrations fiscales de l’Union européenne, dans le cadre de la lutte renforcée contre la fraude fiscale. En vertu de la proposition, les dividendes, les plus-values, toutes les autres formes de revenus financiers et les soldes de comptes seraient ajoutés à la liste des catégories faisant l’objet d’un échange automatique d’informations au sein de l’Union (voir MEMO/13/533), qui est ainsi en train de mettre en place le système d'échange automatique d’informations le plus étendu au monde.
la proposition de directive et le discours du Commissaire Šemeta.
25 février 2013
Lutte contre la fraude (cliquer): la Commission lance des consultations sur un code européen du contribuable et un numéro d'identification fiscal européen
Ø Un "code européen du contribuable"
Ø L'utilisation d'un numéro d'identification fiscale européen (TIN)
mise à jour janvier 2013
Dans le cadre du plan d'action de la Commission européenne de lutte contre l'évasion et la fraude fiscale, le rapporteur à la Commission Econ du Parlement a publié le 29 janvier 2013 son projet de mesures.
18:00 Publié dans aaa Les rapports, Fraude escroquerie blanchiment, Politique fiscale, Rapports, Union Européenne | Tags : ue lutte contre la fraude ; le programme | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
27 mars 2013
OCDE la fiscalité sur le travail : le comparateur international du cout du travail
OCDE la fiscalité sur le travail :
le comparateur international du cout du travail
Dans sa dernière étude publiée mercredi 27 mars, l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) met en lumière les grandes disparités entre ses trente-quatre pays membres concernant la fiscalité dans le travail sur les prélèvements d'impôts et les cotisations sociales en 2012.
Charge fiscale sur les salaires - OCDE
Impôt sur le revenu, cotisations sociales (employeur et employé) et taxes sur les traitements et salaires exprimés en % du coût salarial pour différents niveaux de revenu et types de ménages (SM = salaire moyen dans le secteur privé).
Le comparateur international cliquer
Pour ce faire, elle a comparé le coin fiscal de chaque pays, soit "la différence entre ce que l'employeur paie et ce que le salarié touche".
La Belgique se trouve ainsi en tête de classement concernant les célibataires, son coin socialo-fiscal représentant 56 % de ses revenus. La France prend, elle, la deuxième position avec 50,2 %, suivie par l'Allemagne (49,7 %). En queue de classement, se trouve le Chili (7 %), la Nouvelle-Zélande (16,4 %), le Mexique (19 %) et Israël (12,5 %).
Cette méthode de comparaison reste toutefois à prendre avec prudence , les systèmes de calcul variant d'un pays à l'autre.
"Dans certains pays, certaines prestations sociales sont par exemple financées via des cotisations obligatoires à des caisses ou des assurances privées, non payées à l'Etat, comme en Australie, en Italie, aux Pays-Bas ou en Suisse notamment", indique le site Boursier.com.
La France présente le coin socialo-fiscal "familial" le plus élevé
L'étude examine aussi sur le coin socialo-fiscal "familial", calculé à partir des revenus d'un couple marié avec deux enfants. Dans ce cadre-là, la France (43,01 %) arrive légèrement en tête du classement, suivie par la Grèce (43 %) et la Belgique (41 %).
En moyenne, l'OCDE signale tout de même une hausse de la fiscalité presque nulle, de 0,1 %. La fiscalité du travail au sein de cette organisation représente ainsi 35,6 % en 2012.
23:21 Publié dans a secrets professionnels, OCDE, Politique fiscale, Rapports, Résidence fiscale internationale,expatriés et impa, Simulateurs fiscaux | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |