13 février 2013
Comparateurs fiscaux internationaux
Comment sont imposés dans le monde les revenus et les plus-values immobilières
Impôt sur le revenu : où paye-t-on le plus dans le monde ?
La fiscalité de l'épargne, dividendes, intérêts et plus-values
EUROPE ; les tendances de la fiscalité
Attractivité fiscale /les études Banque Mondial,PWC,TAJ et KPMG
L'enquête, réalisée chaque année depuis 2004, par le cabinet PricewaterhouseCooppers (PwC) et la Banque mondiale, sur l’attractivité fiscale de 185 pays analyse le cas théorique d'une entreprise de 60 salariés, dont elle évalue la charge fiscale totale dans chacun des pays étudiés.
En ce qui concerne l'imposition des particuliers
En ce qui concerne les entreprises
Expatrié: le guide fiscal du départ et de l'arrivée
HSBC Bank International a réalisé une étude auprès de 3.385 expatriés de plus de 100 pays, analysant tous les aspects de la vie à l'étranger, des questions financières à la qualité de vie en passant par les avantages économiques de l'expatriation et l'éducation des enfants à l'étranger.
OCDE la fiscalité sur le travail :
le comparateur international du cout du travail
Dans sa dernière étude publiée mercredi 27 mars 2013, l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) met en lumière les grandes disparités entre ses trente-quatre pays membres concernant la fiscalité dans le travail sur les prélèvements d'impôts et les cotisations sociales en 2012.
Charge fiscale sur les salaires - OCDE
Impôt sur le revenu, cotisations sociales (employeur et employé) et taxes sur les traitements et salaires exprimés en % du coût salarial pour différents niveaux de revenu et types de ménages (SM = salaire moyen dans le secteur privé).
03:02 Publié dans Rapports, Simulateurs fiscaux | Tags : comparateurs fiscaux internationaux | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
27 janvier 2013
Davos-La montée des inégalités menace la mondialisation-
Davos-La montée des inégalités menace la mondialisation-
Le forum de Davos en Suisse réunira des personnalités de la haute finance et de la politique du 23 au 27janvier.
Le forum de Davos se focalisera encore davantage cette année sur les failles de l'économie de marché et le futur incertain du capitalisme, des thèmes qui auraient été impensables avant la crise financière.
La disparité des revenus, menace numéro un
Par Anouch Seydtaghia
L’étude Global Risks 2013
classe l’importance de 50 menaces au niveau mondial.
What do 1,300 CEOs worldwide say about today's business challenges and opportunities?
Verdict: les disparités de revenus sont le danger le plus immédiat, alors qu’un dysfonctionnement majeur du système financier est la menace qui, si elle se matérialise, aura le plus d’impact.
11:36 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, Politique fiscale, Rapports | Tags : le forum de davos | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
06 janvier 2013
La Suisse c'est fini .?!
mise à jour La passion de la connaissance économique
"le paradis suisse vire peu à peu au purgatoire.
Prévisions France-Europe-Monde 2013-2014
La grande mansuétude des États pour l’évasion fiscale a indéniablement fait son temps. Elle fait sacrilège à l’aune de la pénitence imposée aux classes moyennes. La crise oblige les banques suisses à battre en retraite…"
Ces derniers mois, les relations fiscales franco suisses ont subi des modifications remettant en cause de nombreux schémas d’optimisation fiscale, Mais plus significatif est la remise en cause au niveau suisse de dogmes tel que l’imposition sur la dépense ou le secret bancaire
Baromètre des banques suisses 2013
Une évaluation de l’avenir toujours positive
L’industrie financière considère qu’elle sort relativement renforcée de la crise (sondage par EY)
I La suppression de l’historique secret bancaire suisse cliquer
La nouvelle convention franco suisse applicable depuis le 1er janvier 2010 oblige la suisse à coopérer dans le cadre de l’échange de renseignement sans aller toutefois à l’échange automatique de renseignements. Sur ce point la suisse est « encore « protégée par le Luxembourg et l’Autriche, tous deux membres de l’UE
IRS SUISSE mise en œuvre de la FATCA
Comment la Suisse a dit adieu au secret bancaire
Par Myret Zaki BILAN CH La place financière helvétique a-t-elle encore un avenir? Et quel sera le prix des turbulences pour l’ensemble de l’économie? Ce sont les questions auxquelles tente de répondre une émission de Temps présent réalisée en collaboration avec Bilan
II La disparition programmée en 2014 du traité de 1953 sur les successions cliquer
En juillet 2012, les administrations ont paraphé une nouvelle convention de succession qui supprime tous les formidables avantages de celle de 1953 tant pour le suisses que pour les français .Nous avions alors proposé d’établir une clause grand père
III La résiliation de l’accord interprétatif sur le forfait au 1er janvier 2013 cliquer
Une tempête dans un verre de fendant????
ou une déclaration de guerre ?
La convention de 1966 excluait les forfaitaires de la convention, mais une commission mixte de févier 1968 reprise par une instruction de 1972 avait décidé que sous certaines conditions, les forfaitaires pouvaient bénéficier de la convention. cette interprétation a été abrogée le 27 décembre 2012 unilatéralement par la FRANCE
En clair, à partir du 1er janvier 2013, et non rétroactivement les contribuables imposés au forfait ne sont plus protégés par la convention,de ce fait, seul le droit interne s’applique donc avec toute sa sévérité
INEDIT Les chiffres officiels de l’impôt sur la dépense
INEDIT le projet de réforme de l’impôt sur la dépense
La France ne fait que profiter de l’effet d’encerclement de la suisse par ses nombreux concurrents économiques et financiers qui veulent se partager la manne de la finance internationale et qui sont avides de prendre sa place
Une jeune femme , MYRET ZAKI journaliste rédactrice en chet adjoint chez BILAN CH commence à pousser des coups de gueule sur l’absence de réactivité de son pays
sera t elle la digne héritière de Guillaume Tell ?
La Suisse n'est plus le refuge fiscal des «Gaulois»,
source BILAN CH
Un bon coup de gueule de Myret Zaki de Bilan
"Les Suisses donneurs de leçons à la Suisse feraient mieux de se réveiller. Leur méconnaissance de la situation internationale en fait de naïfs gobe-mouche, meilleurs alliés des adversaires du pays."
Le rapport Global Shell Games:
Les sociétés écrans les plus opaques se trouvent
aux Etats-Unis et au Royaume-Uni
09:12 Publié dans Echange automatique FATCA, Politique fiscale, Rapports, Suisse | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
15 décembre 2012
Prévisions France-Europe-Monde 2013-2014
Le Groupe Xerfi entend participer activement à la réflexion sur les grands en jeux économiques. Il mobilise à cette fin sa connaissance approfondie de l'économie mondiale et de tous les secteurs économiques, son expertise, sa liberté d'analyse et de diagnostic conférée par son indépendance statutaire et financière.
Le Groupe Xerfi offre cinq niveaux d'accès à la connaissance économique:
- L'analyse et la prévision sur le panorama complet des secteurs par Xerfi France,
- Le décryptage des stratégies concurrentielles des entreprises par Precepta,
- L'analyse du tissu français de sociétés par Xerfi Entreprises,
- L'ouverture aux études des secteurs, des marchés et des groupes au plan mondial par Xerfi Global
- Les grandes prévisions macro-économiques sur la France et l'international par Xerfi Previsis
Au sommaire ci dessous :
16:31 Publié dans Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
14 décembre 2012
Le CICE : un petit peu de clarté?
Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE)
Annoncé le 6 novembre dans le cadre du pacte de compétitivité, le dispositif de Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) a été présenté le 28 novembre dernier en Conseil des ministres.
DE LA TVA SOCIALE A LA TVA EMPLOI
LE RAPPORT FRANCOIS MARC (SENAT) HTLM
LE RAPPORT FRANCOIS MARC (SENAT) PDF
Les entreprises gagnantes du crédit d'impôt compétitivité
Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi
Accéder au simulateur du crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi
Le Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi équivaut à une baisse de cotisations sociales. Il s’agit d’une réduction de l’impôt à acquitter en 2014 au titre de l’exercice 2013 (ou via un versement du Trésor public quand l’entreprise ne paie pas d’impôt). Il s’appliquera dès le 1er janvier 2013. Il atteindra 20 Md€ par an à compter de l'exercice 2014. Cela représentera une baisse des coûts pour les entreprises d’environ 4 % en 2013, puis 6 % à partir de 2014 de la masse salariale brute en-dessous de 2,5 SMIC.
Depuis le 3 décembre, le projet CICE est en examen à l’Assemblée nationale sous la forme d’un amendement au projet de loi de finances rectificatif. Ce crédit d’impôt accordé aux entreprises devrait être en vigueur dès 2013 . Le chèque estampillé CICE ne serait toutefois versé qu’à partir de 2014, sauf exception, à la demande de petites entreprises. La montée en puissance du dispositif se fera sur deux ans au lieu de trois, comme annoncé initialement.
Son coût sera de 10 milliards d’euros en 2014, 15 milliards en 2015 et 20 milliards en 2016. Il sera financé grâce aux recettes fiscales supplémentaires générées par la hausse des taux de TVA, mais aussi par une nouvelle réduction de dix milliards de la dépense publique.
En quoi consiste ce CICE? Il s’agira pour l’État d’accorder aux entreprises un crédit d’impôt calculé en fonction de leur masse salariale brute (salaires brut et cotisations salariales), hors rémunérations supérieures à 2,5 SMIC. Compatible avec les mesures d’exonérations de cotisations sur les salaires inférieurs à 1,6 SMIC, le CICE revient à appliquer un allégement du coût du travail.
PEU D’EXCLUS
Pour l’institut Rexecode, proche des entreprises, le système de l’allégement d’impôt CICE abaisserait le coût du travail de 2,7% en moyenne. Dans le détail, l’abaissement serait de 4% pour le secteur des services aux particuliers, de 3,3% pour le commerce, ou encore de 3,3% pour la construction. Par ailleurs, le CICE devrait profiter pour 20% à l’industrie, pour 19% au commerce, pour 17% au secteur des services aux entreprises. Plus largement toutefois, le projet prévoit que toute entreprise employant au moins un salarié ait droit à son cadeau fiscal. Et cela que l’entreprise soit redevable de l’impôt sur les sociétés, de l’impôt sur le revenu ou qu’elle soit exonérée d’impôt. Seuls les travailleurs indépendants n’employant aucun salarié sont pour l’instant exclus du dispositif, de même que les associations, les mutuelles, les hôpitaux. Les entreprises du CAC sont concernées par le CICE, qui s’appliquera aussi aux professions libérales (médecins, architectes...) employant au moins un salarié. Des professions pas vraiment soumises à la concurrence, encore moins internationale...
Le 28 novembre, appelant les parlementaires à «mettre en œuvre vite, très vite» le CICE, le Premier ministre a concédé que ce prochain système constituait en effet «une baisse du coût du travail». Pour M. Ayrault, le crédit d’impôt vise à «donner à nos entreprises qui manquent d’air des marges de manœuvre nouvelles, qu’elles ont perdues, pour investir, innover, créer de l’emploi».
L’explication est assortie d’une mise en garde. Le CICE «n’est pas fait pour augmenter la distribution des dividendes, ce n’est pas fait pour augmenter les salaires des dirigeants. C’est fait pour l’investissement et pour l’emploi. Et cela devra être vérifié. C’est le sens du donnant-donnant».
08:03 Publié dans Crédit d'impot emploi, Politique fiscale, Rapports | Tags : crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (cice) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
09 décembre 2012
Vers la fin des capitaux libertaires ???
Vers La fin des capitaux libertaires
Les flux de capitaux bénéficient d’une liberté absolue sans aucun contrôle d’aucune sorte.
Pour l’Europe Cette liberté totale est prévue par l’article 63 du traite de Barcelone
Article 63
Dans le cadre des dispositions du présent chapitre, toutes les restrictions aux mouvements de capitaux entre les États membres et entre les États membres et les pays tiers sont interdites.Dans le cadre des dispositions du présent chapitre, toutes les restrictions aux paiements entre les États membres et entre les États membres et les pays tiers sont interdites.
le 4 décembre 2012 , le Fonds monétaire international (FMI) a pris un virage idéologique historique qui est passé inaperçu. Partisan sans concession de la libéralisation des mouvements de capitaux, la considérant comme une source de prospérité, il vient d’admettre le principe d’y mettre des restrictions pour éviter des excès.souligne Ram Etwareea journaliste au TEMPS
IMF Adopts Institutional View on Capital Flows
IMF Officially Endorses Capital Controls in Reversal
«Le mouvement sans entrave des capitaux profite aux pays. Mais il représente aussi des risques. De ce fait, on ne peut pas affirmer que la libéralisation totale soit appropriée pour tous les pays et en tout temps»,
a déclaré en substance lundi Vivek Arora, directeur adjoint de la division Stratégie et Politique du FMI. Un mea culpa sans équivoque!
LeTemps.ch _ Contrôle des capitaux_
le FMI abandonne son ancien dogme.pdf
04:50 Publié dans EVASION FISCALE internationale, Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
21 novembre 2012
Attractivité fiscale /les etudes Banque Mondial,PWC,TAJ et KPMG
L'enquête, réalisée chaque année depuis 2004, par le cabinet PricewaterhouseCooppers (PwC) et la Banque mondiale, sur l’attractivité fiscale de 185 pays analyse le cas théorique d'une entreprise de 60 salariés, dont elle évalue la charge fiscale totale dans chacun des pays étudiés.
En ce qui concerne l'imposition des particuliers
Lire aussi Pascal Saint-Amans : «La fiscalité française sur le revenu est trompeuse» souligne le directeur du Centre de politique et d'administration fiscales à l'OCDE. Les Echos cliquer
La France renforce fortement la progressivité de l'impôt dans le budget 2013,
L’étude internationale de KPMG
Les simulations du cabinet Taj
La comparaison des prélèvements totaux dans 4 pays pour 4 types de ménages , nous sommes bien loin des propos mondains ....
évaluent la place de l'Hexagone sur l'échiquier mondial.
En ce qui concerne les entreprises
Le rapport Banque Mondiale PWC
La position de Philippe Durand avocat associé chez Landwell & Associés, membre du réseau PwC et co auteur de l'étude.
« Pour être homogène, l'enquête a appliqué de façon théorique la législation existante à une entreprise type, , Elle ne tient pas compte des nombreuses exonérations, comme le crédit d'impôt recherche ou les reports déficitaires.
Il en ressort des taux d'impôts sur les résultats très élevés, voire dissuasifs pour la France, alors qu'en réalité, l'assiette de cet impôt est très étroite. Mais pour paraître attractif aux yeux des investisseurs et des entreprises, il faut afficher des taux bas. »
13:00 Publié dans Crédit d'impot emploi, Crédit impot recherche, Politique fiscale, Rapports, Simulateurs fiscaux | Tags : paying taxes 2013 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
09 novembre 2012
La France est elle un coupe gorge fiscal ?!
"Le monde est persuadé que la France est devenue un coupe-gorge pour les riches'
Par Dominique Gallois , journaliste au MONDE
EFI diffuse les opinions d'un certain nombre de personnalités sur ce sujet , dont la diversité des opinions et des expériences montre que la réponse à cette question provatrice du journaliste du MONDE n'est pas d'une clarté limpide.
Pour EFI ,les effets d'annonce ont été un vrai désastre économique et politique et nous soutenons totalement la position de Michel Zinsou,
"La communication des pouvoirs publics a été
d’une part politiquement inefficace
et d’autre part économiquement néfaste "
Pour Lionel Zinsou, président de PAI Partners
. "Ceux qui ne viendront pas vont être plus nombreux que ceux qui vont partir",.
01:26 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
05 novembre 2012
le rapport Gallois Compétitivité de la France _
L'ancien président d'EADS, Louis Gallois, a remis le 5 novembre son rapport sur la compétitivité, initialement attendu pour la mi-octobre
le rapport Gallois sur la competitivite de la France
original
Compétitivité : les principales mesures du rapport Gallois
Le rapport anti gallois par la fondation Copernic
Les commissions des affaires économiques et des finances du Sénat auditionnent le commissaire général à l'investissement
Maintenant , les politiques, au boulot
Du courage en Politique par J F Kennedy
Comme toujours depuis trente ans, l'Etat se protège au détriment du secteur marchand, de plus en plus exposé à la concurrence mondiale.
Denis Kessler Pdg de Scor par F Vidal Les Echos cliquer
DE Louis Gallois,
La question de la compétitivité se résume-t-elle au coût du travail ?", lui a demandé un journaliste présent. "Bien sûr que non !", a rétorqué Louis Gallois, comme le rapporte l'AFP.
Selon lui, "les pistes sont très variables : il y a à la fois des aspects financiers, des aspects de structure, d'organisation, les filières, comment faire grossir entreprises de taille moyenne...".
"La qualité, l'innovation, le service, l'identification des marques, c'est très fort ça, il y a de nombreux éléments", a poursuivi le Commissaire général à l'investissement d'après l'AFP. "La compétitivité, c'est très complexe, ça touche tous les aspects de l'économie française", a-t-il fait valoir.
"Il faut regarder tous ces aspects, les aspects financiers, d'organisation de l'industrie, les services autour de l'industrie, la situation des services publics, les politiques européennes, comment elles peuvent soutenir cette compétitivité, la manière dont les partenaires sociaux abordent cette question...", a soulevé Louis Gallois.
Ces dix dernières années, les marges des entreprises se sont fortement repliées. L’autofinancement des entreprises a reculé de 90 % à 60 %. L’investissement porte de plus en plus sur le remplacement de machines au détriment de l’acquisition de nouveaux équipements.
23:43 Publié dans Frais financiers et Financement, Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook | | |
23 octobre 2012
Doing Business 2013
Doing Business 2013
Simulateur de Réformes
Observer l’impact des reformes dans les domaines
étudiés par Doing Business.
Quelle est donc la place de la FRANCE
Le Projet Doing Business mesure la réglementation des affaires et son application effective dans 185 économies et dans certaines villes au niveau infranational et régional.
Lancé en 2002, le projet Doing Business analyse les petites et moyennes entreprises au niveau national et mesure la réglementation s'appliquant à celles-ci tout au long de leur cycle de vie.
En collectant et en analysant des données quantitatives détaillées pour comparer les cadres réglementaires applicables aux entreprises du monde entier au fil du temps, Doing Business encourage la concurrence entre les économies pour la mise en place d'une réglementation des affaires efficace. Doing Business propose également des points de comparaison mesurables pour réformer et offre une source documentaire pour les universitaires, les journalistes, chercheurs du secteur privé et d'autres personnes s'intéressant au climat des affaires dans les économies du monde entier.
Par ailleurs, Doing Business offre des rapports infranationaux détaillés qui couvrent les mêmes domaines de la réglementation des affaires ainsi que les réformes mises en place dans différentes villes et régions d'une même économie. Ces rapports fournissent des données sur la facilité de faire des affaires, classent chaque localité et recommandent des réformes pour améliorer la performance dans chacune des zones étudiées. Les villes sélectionnées peuvent comparer leur réglementation des affaires avec d'autres villes au niveau de l’économie ou de la région, et avec les 185 économies classées par le rapport Doing Business.
Le premier rapport Doing Business, publié en 2003, portait sur cinq ensembles d'indicateurs dans 133 pays. Cette année, le rapport couvre dix ensembles d'indicateurs dans 185 pays. Le projet a bénéficié des avis d'autorités publiques, d'universitaires, de praticiens et d'observateurs. Le but initial reste de fournir une base objective pour comprendre et améliorer l'environnement réglementaire des affaires partout dans le monde.
20:52 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, Politique fiscale, Rapports | Tags : doing business 2013 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
21 septembre 2012
De la TVA sociale à la TVA emploi........
Un vrai débat citoyen
Dans une note très complète rédigée pour la primaire socialiste en septembre 2011 , le candidat Valls plaidait pour l'instauration d'une intitulée "TVA PROTECTION", sa version d'une TVA sociale. Et niait ses effets sur la consommation. Cliquer pour lire le texte intégral.
Ce qu'écrivait Manuel Valls sur la TVA sociale
en septembre 2011
X X X X X
Qu’attendre de la « TVA sociale » ?
Patrick ARTUS cliquer (janvier 2012)
Il existe une pression de plus en plus forte en France pour mettre en place la « TVA sociale », c'est-à-dire une hausse de la TVA compensant une baisse des charges sociales sur les salaires, sur le modèle de ce qui a été réalisé en Allemagne. Si on se place à un horizon temporel pas trop long (sinon il y a neutralité fiscale), la TVA sociale peut avoir trois objectifs :
-favoriser la création d’emplois (dans tous les secteurs) en baissant le coût du travail (s’il s’agit d’une baisse des charges sociales des employeurs) et en taxant en compensation la consommation ; il s’agit alors d’une politique de l’offre qui réduit à court terme la demande ;
-provoquer un transfert de revenus des titulaires de revenus du capital vers les titulaires de revenus du travail (il s’agit d’une baisse des charges sociales des salariés) ; ce transfert est d’autant plus faible que la propension à consommer les revenus du capital est faible, car alors la TVA et les charges sociales des salariés sont deux impôts très voisins ;
-réaliser l’équivalent d’une dévaluation, puisque la TVA touche les produits importés et pas les produits exportés, et que pour les produits domestiques la hausse de la TVA et la baisse des charges se compensent (à peu près, voir ci-dessus)
Note de P Michaud : le général de gaulle avait procéder à une reforme similaire en octobre 2008 par la substitution de la taxe sur las salaires par une hausse de la TVA de 3 points
X X X X X
Rapport 2011 de la Cour des comptes sur
de financement de la sécurité sociale
cliquer pour lire la synthese du rapport
Note de P MICHAUD Une profonde modification du régime de financement de la sécurite sociale est en cours de "gestation".Un des handicap de notre productivité n'est pas d'abord le poids de la charge fiscale mais le poids de la charge sociale sur le prix de revient de nos produits.Si l'allemagne est si compétitive , c'est qu'elle a fait notamment une dévaluation compétitive déguisée en augmentant la TVA et en diminuant les charges sociales .Les différents rapports de la Cour des Comptes aident les esprits à se faire à cette nécessaire évolution
07:13 Publié dans Politique fiscale, Rapports, TVA, TVA FRANCE | Tags : de la tva sociale à la tva emploi | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | Facebook | | |
07 septembre 2012
Cour des comptes : sur les déficits de la France
Audience solennelle du 7 septembre 2012
La situation des finances publiques reste "toujours préoccupante" et le gouvernement doit résorber les déficits avec un équilibre entre "maîtrise des dépenses" et hausses d'impôts, a déclaré vendredi le premier président de la Cour des comptes Didier Migaud.
"La situation des comptes publics reste très sérieuse et toujours préoccupante et justifie un engagement fort pour retrouver l'équilibre des comptes, afin de garantir que notre souveraineté ne soit pas remise en cause", a-t-il affirmé lors d'une audience solennelle de la Cour, en présence du président François Hollande.
la réponse de François Hollande
La suite avec d'autres rapports ci dessous
12:33 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, Lois financières 2011.2012, Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
05 septembre 2012
investir / les meilleures localisations par le World Economic Forum
Le rapport 2012 du World Economic Forum met en exergue la faiblesse des Etats-Unis ainsi que la division entre une Europe du Nord qui progresse et une Europe du Sud qui paie le prix de ses faiblesses
Country rankings : PDF | Excel
France is ranked 21st, down three places from last year on the back of falling confidence in public and private institutions (down four places) and the financial sector (down 13 places in trustworthiness). On a positive note, the country’s infrastructure is among the best in the world (4th), with outstanding transport links, energy infrastructure, and communications. The health of the workforce and the quality and quantity of education are other strengths (ranked 21st for health and primary education and 27th for higher education and training). These elements have provided the basis for a business sector that is aggressive in adopting new technologies for productivity enhancements (France is ranked 14th for technological readiness). In addition, the sophistication of the country’s business culture (21st in the business sophistication pillar) and its good position in innovation (17th in the innovation pillar, particularly in certain science-based sectors), bolstered by a well-developed financial market (27th) and a large market more generally (8th), are important attributes that help to boost the country’s growth potential. On the other hand, France’s competitiveness would be enhanced by injecting more flexibility into its labor market, which is ranked a low 111th both because of the strict rules on firing and hiring and the rather conflict-ridden labor-employer relations in the country. The tax regime in the country is also perceived as highly distortive to business decisions
, la Suisse reste, pour la quatrième année consécutive, championne mondiale en matière de compétitivité. La crise de la zone euro peut influencer le taux de croissance de la Suisse, mais n’affectera pas, à terme, sa compétitivité. Par conséquent Grâce à ses fondamentaux, solides et durables, son économie a rebondi après la première crise de 2007-2008 alors que la zone euro a replongé dans la récession.» Tels sont les premiers commentaires de Thierry Geiger, l’un des auteurs du Rapport mondial sur la compétitivité, document annuel phare du World Economic Forum (WEF).
Global Competitiveness Report 2012-2013 -
Jennifer Blanke (English)
Global Competitiveness Report 2012-2013
- Browse the Report (HTML)
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- Country rankings : PDF | Excel
- Country highlights (PDF)
- Global Competitiveness Index Data Analyser
19:49 Publié dans aa TRUST ; REGIME FISCAL ET JURIDIQUE, abudgets,rapports et prévisions, Investir en, Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
29 juillet 2012
Le trust, une pratique anglo-saxonne fraudogène ???pour le sénat
Commission d'enquête sur l'évasion des capitaux et des actifs hors de France et ses incidences fiscales
Comment fonctionne la commission des infractions fiscales :
Audition de M. Jean-François de Vulpillières, président de la CIF ...
Le rapport de la commission d'enquete sur l'évasion fiscale internationale
Nous vous livrons l’analyse de la commission d’enquête sur la fraude fiscal et l utilisation du trust
(3) Le trust, une pratique anglo-saxonne fraudogène
(a) La dissimulation de biens dans des trusts
(b) Une illustration du recours aux trusts : le marché de l'art
(i) La dématérialisation des oeuvres d'art dans les trusts
(ii) La « nébuleuse » du marché de l'art
Cette position n’est pas la notre et il est pour le moins étonnant que cette commission n’ait entendu sur le trust que des personnalités à charge ayant des affaires en cours visant nommément certaines personnalites proches de l'ancienne majorité et en oubliant d'autres proches de la nouvelle majorité (???)°sans s'attacher aux intérêts juridiques du trust pour une enorme majorité de familles anglo saxonnes .
Ce parti pris sur cette partie dans lequel le contradictoire ne semble pas avoir été la règle affaiblit fortement ce rapport qui a voulu d'abord être didactique à moins que cette commission ait été instrumentée sur cette partie ...
Notre position est la suivante
Une synthèse permet de considérer 3 catégories de trust
Le trust étranger régulier : il s’agit de trusts créés par des et pour des personnes de common law et possédant des biens mobiliers –en direct – ou immobiliers –en direct ou non- situés en France
ATTENTION La loi nouvelle a incité les trustees à liquider les investissements mobiliers directs situés en France lorsque cela était possible; ce texte est donc en fait très restrictifs pour des investissements mobiliers directs en France
Le trust français régulier : il s’agit de trusts créés par des français non résidents ou dont les « constituants bénéficiaires » ou les bénéficiaires sont résidents en France.
Le trust français irrégulier :il s’agit de trusts créés -le plus souvent récemment -par des résidents pour des raisons d’optimisation fiscale voir mais souvent plus.
"C’est d’abord cette troisième catégorie de trust –la moins nombreuse- que le législateur français a voulu « surveiller ».
pour l'avenir, les exemples de la suisse et du luxembourg ,pays civilistes - en 1804 le luxembourg était un département francais- nous montrent que les principes du trust ont su s'adapter au droit civil sans creer des biens de mains mortes ou sans nuire au principe de l'égalité entre héritiers
05:53 Publié dans aa TRUST ; REGIME FISCAL ET JURIDIQUE, aaa Les rapports, EVASION FISCALE internationale, Fraude escroquerie blanchiment, Politique fiscale, Rapports, TRUST et Fiducie | Tags : le trust est il fraudogene | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
25 juillet 2012
LA FRANCE : TERRE D'ACCEUIL en 2007 ! et en 2012 ?
LA FRANCE : TERRE D'ACCEUIL par MM GAUDIN et MARINI
Mais nous étions le 1er juillet 2007?????
Trois commissions permanentes du Sénat ont créé une mission commune d’information sur « la notion de centre de décision économique et les conséquences qui s’attachent, en ce domaine, à l’attractivité du territoire national » sous la présidence de M. Philippe Marini (cliquer)et avec M. Christian Gaudin (cliquer),comme rapporteur .
La bataille des centres de décision : promouvoir la souveraineté économique de la France à l'heure de la mondialisation
LE RAPPORT cliquer
(annexes, auditions et études). cliquer
Une autre réforme pour l'attractivité : le bouclier fiscal pour les non résidents ?cliquer
Etude économique de la France 2007
Rapport OCDE 07 sur la France synthèse pdf
Ce travail vient compléter une longue série de travaux parlementaires relatifs à l’attractivité du territoire.
Le modèle traditionnel de la concurrence internationale entre les territoires a tendance à s’effacer au bénéfice de celui de la concurrence entre les activités, au sein des entreprises elles-mêmes. En effet, l’allocation des actifs qui conditionne sur le long terme la localisation des activités structurantes dépend, en grande partie, de la localisation des centres de décision et de la nationalité dominante des équipes dirigeantes.
La présence de tels centres recouvre donc un triple enjeu pour l’économie d’un pays :
08:59 Publié dans Rapports | Tags : marini, gaudin, fiscalité internationale, attractivité france | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |