07 janvier 2008
Des circuits financiers illicites. Prévention
30 & 31 janvier 2008, Hôtel de la Paix, Genève
L’Afrique dans les circuits financiers illicites
Or, pétrole, diamants, armes : l’état des trafics
Nigeria, Congo-Brazzaville, Togo :
 anciens et nouveaux pays à risque
Quels sont les montages financiers et les circuits de blanchiment utilisés ?
Quelle est la responsabilité des institutions financières
 dans les cas de transfert d’argent de la corruption et de commerce illégal ?
Séminaire d’approfondissement :
Les Personnalités Politiquement Exposées en Afrique
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                                                        05:05 Publié dans Politique fiscale  | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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04 janvier 2008
LES PRIVILEGES de la "HOLDING" à la française
-  
LES PRIVILEGES de la « HOLDING «  à la française 
mise à jour juin 2010
Maintien du régime de l’exonération des PV de cession
Question n° 12608 posée par M. Jacques Mahéas , sénateur
 Réponse du Ministère de l'économie, de l'industrie et de l'emploi
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Le régime fiscal français des titres de participations n’a, en fait, rien à envier à ceux des nombreux autres régimes « holding » existant à l’étranger notamment par les régles précisées ci dessous
Par ailleurs le droit des sociétés a été profondément simplifié et modernisé.
I. Exonération des dividendes des filiales « fiscales «
II. Exonération des plus values de cession des filiales « fiscales «
4 H-1-08 n° 2 du 4 janvier 2008 :
Frais d'acquisition de titres de participation - Incorporation obligatoire au prix de revient des titres et amortissement sur cinq ans;
III Maintien du régime de l’intégration fiscale
I. Exonération des dividendes de filiales « fiscales «
Une synthèse du régime mère fille
(CGI, art. 145, 216 ; DB 4 H-211 ; BO 4 H-10-95 ; BO 4 H-4-99 ; BO 4 H-1-00, BO 4 H-1-01, BO 4 J-2-05, BO 4 H-3-07 ) cliquer
Compatibilité avec les principes de liberté d'établissements et de libre circulation des marchandises et la directive « mère-fille » n° 90/435/CEE du 23 juillet 1990 - Renvoi préjudiciel devant la CJCE
CE, 17 janv. 2007, Banque fédérative du Crédit mutuel, req. n° 262967 cliquer
cjce 03.04.08 Banque Féd du Crédit Mutuel contre MINEFI c 27/07
Depuis 1965, les dividendes perçus par une société mère de filiales « fiscales »- à ne pas confondre avec la filiale « commerciale » sont exonérés de l’IS.
Ce régime a été considérablement simplifié et assoupli notamment à la suite de la disparition de l’avoir fiscal et du précompte payable sur les distributions exonérées d’IS.
A ce jour , les résultats exonérés peuvent être librement distribués sans imposition complémentaire sous réserves des éventuelles retenues à la source , limitées ou supprimées par les traités fiscaux et la directive européenne « mères filles » .
Les produits des actions ou parts d'intérêt perçus par la société mère d’une filiale « fiscale « au cours d'un exercice peuvent être retranchés de son bénéfice net total, défalcation faite d'une quote-part de frais et charges.
Les sociétés mères doivent ainsi réintégrer un montant forfaitaire réputé correspondre aux charges afférentes aux produits de participation qu'elles ont perçus et ex tournés du résultat fiscal.
Cette réintégration est égale à 5 % MAXIMUM du produit total des participations, crédit d'impôt compris.
La quote-part de frais et charges à réintégrer ne peut toutefois excéder, pour chaque période d'imposition, le montant total des frais et charges de toute nature exposés par la société mère au cours de la même période.
Conditions visant la société mère .
Toutes personnes morales ou organismes –y compris donc les sociétés en participation - soumis à l'impôt sur les sociétés, quelle que soit leur nationalité, peuvent bénéficier du régime des sociétés mères.
Ce régime s'applique donc également aux établissements stables ou succursales en France de sociétés étrangères.
, Le régime des sociétés mères est optionnel. ce qui permet d’utiliser les pertes fiscales
La société mère doit être soumise de plein droit ou sur option à l'impôt sur les sociétés au taux normal sur tout ou partie de son activité et quelle que soit la nature de celle-ci.
ATTENTION Seuls restent exclus du régime, les sociétés ou organismes totalement exonérés de l'impôt sur les sociétés au taux normal ou dont aucune activité y compris la perception des dividendes en cause n'est imposable à l'impôt sur les sociétés au taux normal.
Le régime des sociétés mères s’applique donc à la « holding » dite impure c’est à dire ayant une activité commerciale ou autres .
La forme juridique sous laquelle est constituée la filiale est sans incidence au regard de l'application du régime.
La qualité de société mère doit s'apprécier à la date de mise en distribution des produits par la filiale.
Conditions visant la filiale « fiscale »
Les titres de participation possédés par la filiale « fiscale » doivent :
- Revêtir la forme nominative ou être déposés dans un établissement agréé par l'Administration ;
- Représenter au moins à la fois 5 % du capital et 5 % des droits de vote de la société émettrice, sachant que ce seuil de 5 % vise les titres qui comportent à la fois un droit de vote et un droit à dividende.
NOUVEAU Par ailleurs le régime des sociétés mères peut désormais s'appliquer aux produits des titres auxquels ne sont pas attachés de droit de vote, dès lors que la société participante détient par ailleurs une participation « éligible » au régime, ce pourcentage s'apprécie à la date de mise en paiement des produits de la participation
- s’engager à conserver les titres pendant un délai de deux ans.
Le régime des sociétés mères n'est toutefois pas applicable dans certaines situations :
II. Exonération des plus values de cession de filiales « fiscales «
Depuis le 1er janvier 2007, les plus values de cessions de filiales « fiscales, françaises ou étrangères sont exonérées de l’IS .
ATTENTION seules les plus values de cession de titres de participation au sens fiscal du terme peuvent bénéficier de ce nouveau régime .
Pour les exercices ouverts à partir du 1er janvier 2007, les titres du portefeuille se classent en trois catégories sur le plan fiscal au regard de la taxation des plus-values à long terme :
- les titres de participation (et assimilés) qui bénéficient du régime d'exonération
- les titres de capital-risque qui combinent exonération et taux réduit ( 15%) des plus-values à long terme lorsqu'ils sont détenus depuis au moins cinq ans ;
- les autres titres qui relèvent du taux de droit commun de l'impôt sur les sociétés.
attention
- les titres de participation au sein de sociétés à prépondérance immobilière n' ouvrent plus droit au taux réduit des plus-values à long terme ;
Nouveau régime à compter du 26 septembre 2007
Définition des titres de participations dans les S.P.I.
pour l'application de l'article 219 CGI
Définition des titres de participation
Les titres de participation comprennent les parts ou actions qui revêtent à la fois ce caractère sur le plan comptable et sur le plan fiscal conformément à la définition visée ci-dessus
Sur le plan comptable, les titres de participation sont les titres comptabilisé en titre de participation c’est à dire ceux dont la possession durable est estimée utile à l'activité de l'entreprise, notamment parce qu'elle permet d'exercer une influence sur la société émettrice ou d'en assurer le contrôle.
Principe de l’exonération
Les plus-values réalisées au cours des exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007 lors de la cession de titres de participation ou de titres assimilés détenus depuis au moins deux ans sont exonérées, sous réserve de la taxation d'une quote-part de frais et charges qui reste comprise dans le résultat ordinaire de l'exercice.
Calcul de la quote part des frais
4 B-1-08 N° 36 du 4 AVRIL 2008
ATTENTION Note EFI/ les règles d'assiette de ce régime "d'imposition séparée" sont lègérement analysées aux paragraphes 91 et suivant du BOI. A chacun d'y apporter sa compréhension personnelle...sur des oublis de rédaction certainement diplomatiques....
Cette quote-part de frais et charges est fixée forfaitairement à 5 % du résultat net des plus-values de cession,
i) les frais d’acquisition
Au plan fiscal, conformément à l’article 21 de la loi 2006-1666 du 21-12-2006, les frais d'acquisition de titres de participation engagés par des sociétés soumises à l'IS au cours des exercices clos à compter du 31 décembre 2006 sont obligatoirement incorporés au prix de revient des titres mais peuvent être amortis sur cinq ans.
NEW 4 H-1-08 n° 2 du 4 janvier 2008 : Impôt sur les sociétés - Dispositions particulières - Frais d'acquisition de titres de participation - Incorporation obligatoire au prix de revient des titres et amortissement sur cinq ans;
ii) les frais financiers
ATTENTION, les frais financiers d’acquisition des titres de participation ne semblent pas avoir fait l’objet de commentaire officiel pour savoir s’ils sont ou non déductibles du résultat imposable au taux ordinaire de l’IS.
Comment le fisc français,s'il prend position !, interprètera t il le texte de la loi qui dispose
« Pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2006, le montant net des plus-values à long terme afférentes à des titres de participation fait l'objet d'une imposition séparée au taux de 8 %.
Ce taux est fixé à 0 % pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007.
 Pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2007, une quote-part de frais et charges égale à 5 % du résultat net des plus-values de cession est prise en compte pour la détermination du résultat imposable.
Les conséquences budgétaires étant importants, Il convient donc de rester attentif et vigilant sur cette question pour les LBO
En l’état, du point de vue fiscal, l'article 38 quinquies de l'annexe III au CGI précise que, les frais financiers ne doivent pas être retenus pour la détermination du coût de production des immobilisations.
iii) les frais des intermédiaires financiers
Par ailleurs, les honoraires versés à des intermédiaires financiers pour rémunérer leur prestation d'intermédiation pour la conclusion d'une vente de titres constituent des frais inhérents à cette vente et non des frais généraux déductibles du résultat imposable. Ils viennent donc en déduction de la plus-value à long terme réalisée sur les titres vendus. et non du résultat imposé au taux ordinaire
CE 7 février 2007 n° 279588, 3e et 8e s.-s., min. c/ Sté Weil Besançon :
III Maintien du régime de l’intégration fiscale
4 H-2-08 n° 35 du 2 avril 2008 :
DOCTRINE ADMINISTRATIVE DB 4 H 66
DOCUMENT 07.09.07 POUR IMPRIMER LE DOCUMENT
holding pdf 04.08 holding pdf
holding doc holding doc FINAL06.04HOLDING.doc
                                                        18:30 Publié dans ETABLISSEMENT STABLE, SOCIETES MERES  | Tags : régime fiscal holding,  fiscalite internationale,  fiscalite européenne | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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29 décembre 2007
Kyung Wha Chung vous souhaite une bonne année
Kyung Wha Chung avec Patrick Michaud vous souhaitent une bonne année
                                                        10:15 Publié dans zEFI CLASSIQUE  | Tags : Kyung Wha Chung | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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16 décembre 2007
UN REFERENDUM FISCAL ...A GENEVE
 Site officiel de l'Etat de Genève |  Home | Recherche | Annuaires | Départements | 
 
 
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                                                        22:55 Publié dans Suisse  | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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Souveraineté fiscale et construction communautaire par A.Maitrot
Souveraineté fiscale et construction communautaire : Recherche sur les impôts directs 
 de Alexandre Maitrot de la Motte
Le premier ouvrage primé par LE CERCLE EFI
Un exemple récent : L'arrêt CJCE OY AA
Blog récent Liberté d'établissement versus Liberté de cirulations des capitaux
                                                        16:54 Publié dans Formation  EFI, Union Européenne  | Tags : maitrot de la motte,  fiscalité europeenne | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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14 décembre 2007
EUROPE :Les règles fiscales anti abus ,du nouveau
 Fiscalité directe: la Commission européenne appelle à une application plus ciblée et mieux coordonnée des règles anti-abus des États membres   
pour lire IP/07/1878 du 10/12/2007
La Commission européenne a adopté le dix décembre une communication invitant les États membres à effectuer une révision générale de leurs règles anti-abus dans le domaine de la fiscalité directe, en tenant compte des principes qui se dégagent de la jurisprudence de la Cour de justice européenne et à envisager les possibilités de solutions coordonnées dans ce domaine.
Pour éviter la fraude fiscale, les États membres ont mis en place des règles anti-abus visant à empêcher les agents économiques d'éroder la base d'imposition sur leur territoire en détournant leur revenu vers d'autres pays.
Les règles anti-abus existant dans les États membres ne prennent souvent pas correctement en compte les libertés garanties par le traité et sont donc de plus en plus contestées.
Dans le cadre d'une approche communautaire coordonnée de la fiscalité directe ( IP/06/1827 ), la Commission souhaite aider les États membres à aligner leurs règles anti-abus sur les exigences du droit communautaire et à examiner les solutions constructives et coordonnées qu’il est possible d’apporter aux défis qui se posent aux États membres
                                                        12:55 Publié dans Abus de droit :JP  | Tags : europe,  fraude fiscale,  tva,  fiscalis | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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NEW LA PRIVATE TRUST COMPANY
La «Private Trust Company» aurait les atouts du trust, sans ses défauts 
Au Wealth Management Forum de Genève, des experts ont expliqué que ce nouveau véhicule en vogue est préféré par les clients d'Europe latine, du Moyen-Orient et de Russie, méfiants envers le trust.et notamment méfiant envers le transert de propriété au profit d'un trustee indépendant car responsable..
Le quotidien genèvois LE TEMPS en a fait un article élogieux.(pour lire l'article cliquer )
En fait la Private Trust Company est un trust dont le trustee n'est pas un établissement indépendant mais un organisme sous le contrôle soit du settlor soit des bénéficiares , ceux ci peuvent in fine toujours controler la propriété transférée dans ce véhicule ad hoc
Au niveau fiscal et juridique , ce nouveau mode de gestion ne change pas les données antérieures , étant rappelé qu'en droit fiscal français , le principe est que le trustee est le propriétaire apparent des actifs sauf exceptions .
                                                        06:05 Publié dans aa TRUST  ; REGIME FISCAL ET JURIDIQUE, TRUST et Fiducie  | Tags : private trust company | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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13 décembre 2007
LA MODERNISATION DES POLITIQUES PUBLIQUES

Le rapport sur la modernisation des politiques publiques
                                                        06:20 Publié dans abudgets,rapports et prévisions  | Tags : france,  europe,  budget,  finances publiques | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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11 décembre 2007
Doing business en France
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Le Projet Doing Business…
mesure la législation des affaires dans 178 pays et les villes sélectionnées au niveau sous-national et régional. L'équipe travaille en étroite collaboration avec des milliers de professionnels en la matière à travers le monde.
d’évaluation et de comparaison des législations et réglementations qui affectent directement la croissance économique. Il permet aussi de télécharger les lois en question, et identifie les meilleures pratiques et réformes en matière de réglementation des affaires.
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Paying Taxes 2008 - The global picture par Landwell
Cette étude dresse un état des lieux mondial de la fiscalité appliquée aux entreprises et apprécie son influence sur l'activité économique d'un pays. 
Note de P MICHAUD ce blog est un outil de travail que vous pouvez placer sur votre bureau
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                                                        06:10 Publié dans DOUANES, FORUM MONDIAL, Rapports, SOCIETES MERES  | Tags : doing business,  landwell | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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09 décembre 2007
UK nouvelles fiscales
II Protests over plan to block UK tax loophole
I Wealthy foreigners set to quit UK over tax
 By Vanessa Houlder  Published: December 6 2007 21:33 | Last updated: December 6 2007 21:33
Some 3,000 wealthy foreigners will leave Britain as a result of the planned clampdown on their beneficial tax regime, the UK Treasury has admitted.
                                                        22:45  | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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ISF l’Espagne abroge l’ ISP
Par EuroNews euronews - Mercredi 5 décembre, 20h20
En Espagne, l'ISF s'appelle l'ISP : l'impôt sur le patrimoine. Il engendre des recettes relativement basses d'environ 1,4 milliard d'euros par an, versées par un million de contribuables.
Le parti populaire espagnol s'étant déjà engagé à supprimer l'impôt, l'Espagne rejoindra donc d'autres pays européens qui n'utilisent plus cet impôt, mineur mais emblématique. Autriche, Danemark, Allemagne, Irlande, Italie, Luxembourg etc...etc...
.Le Luxembourg, père fondateur en 1929 de l’impôt sur le capital ,l ‘a supprimé en janvier 2006.
le point sur l'avenant au traité
En Suède, la suppression de l'impôt a été décidée en mars dernier pour "favoriser les investissements et l'emploi". Elle soulage 225.000 suédois qui alimentaient le budget à hauteur de 500 millions d'euros. .
LES RETARTARDATAIRES
                                                        22:30 Publié dans ISF  | Tags : isf,  espagne,  suisse,  luxembourg,  rapport marini | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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NEW cession de brevet nouveau régime
Aménagement des régimes fiscaux des cessions de brevets et éléments assimilés par les entreprises soumises à l'impôt sur les sociétés et
 de la plus-value d'apport d'un brevet à une société
L'article 8 du projet de loi de finances pour 2008 vise à étendre, sous certaines conditions, le bénéfice du taux réduit de 15 % des plus-values à long terme aux cessions de brevets, d'inventions brevetables ou de certains procédés de fabrication industriels.
En outre, il propose d'améliorer le dispositif de report d'imposition de la plus-value réalisée lors de l'apport, par un inventeur personne physique, des mêmes droits de propriété industrielle à une société chargée de l'exploiter.
- ARTICLE 8 : AMÉNAGEMENTS DES RÉGIMES FISCAUX DES CESSIONS DE BREVETS ET ÉLÉMENTS ASSIMILÉS PAR LES ENTREPRISES SOUMISES À L'IMPÔT SUR LES SOCIÉTÉS ET DE LA PLUS-VALUE D'APPORT D'UN BREVET À UNE SOCIÉTÉ
- I. TEXTE DU PROJET DE LOI
 - II. RAPPORT AN N° 276 TOME II (XIIIÈME LÉGISLATURE) PREMIÈRE LECTURE
 - III. DÉBATS AN PREMIÈRE LECTURE DEUXIÈME SÉANCE DU MERCREDI 17 OCTOBRE 2007
 - IV. TEXTE ADOPTÉ PAR L'AN EN PREMIÈRE LECTURE
 - V. RAPPORT SÉNAT N° 91 TOME II (2007-2008) PREMIÈRE LECTURE
 - VI. DÉBATS SÉNAT PREMIÈRE LECTURE SÉANCE DU LUNDI 26 NOVEMBRE 2007
 - VII. TEXTE ADOPTÉ PAR LE SÉNAT EN PREMIÈRE LECTURE
 
 - I. TEXTE DU PROJET DE LOI
 
                                                        21:50 Publié dans Fiscalite des valeurs mobilières ( RCM et P.V.)  | Tags : inpi,  regime fiscal des brevets | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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07 décembre 2007
EUROPE :Modernisation des procédures fiscales
Modernisation des procédures fiscales: la Commission européenne se félicite de l'adoption par le Conseil du programme Fiscalis 2013
La Commission européenne se félicite de l'adoption par le Conseil du programme Fiscalis 2013 (voir IP/06/639) pour la période 2008-2013.
 Le nouveau programme vise à doter les États membres des moyens de combattre plus efficacement la fraude fiscale et de réduire les coûts supportés par les opérateurs économiques pour se conformer à la législation en matière de TVA et d'accises. Il continuera également d'encourager la coopération entre les administrations fiscales et de les aider à mettre en place un équilibre adéquat entre des contrôles efficaces et les charges pesant sur les contribuables. Il contribuera en outre au développement et à la gestion de systèmes informatiques transeuropéens dans le domaine fiscal.
László Kovács, membre de la Commission chargé de la fiscalité et de l'Union douanière, a déclaré à ce propos: «Je me réjouis de l'adoption du programme Fiscalis 2013. Il convient que les administrations fiscales nationales se modernisent et renforcent leur coopération pour lutter efficacement contre la fraude fiscale. Le programme Fiscalis 2013 contribuera activement à développer la coopération entre les administrations fiscales et à mettre en place des systèmes informatiques au service d'un échange rapide d'informations».
Informations générales
Le programme Fiscalis 2013 poursuivra le travail entrepris au titre du programme Fiscalis 2007.
Ses principaux objectifs sont les suivants:
                                                        07:20 Publié dans Union Européenne  | Tags : europe,  fraude fiscale,  tva,  fiscalis | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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05 décembre 2007
TVA: Exonération des livraisons intracommunautaires?
La cour de justice est elle en accord avec la commission ?
Les administrations fiscales, en l’espèce celle de l’Allemagne , refusent souvent d'exonérer de TVA une livraison intracommunautaire qui a effectivement eu lieu au seul motif que la preuve d'une telle livraison n'a pas été apportée en temps utile.
La cour a censuré cette pratique dans un arrêt
CJCE 27 septembre 2007 Aff C 146/05 - Albert Collée
"Lors de l'examen du droit à l'exonération de la TVA afférente à une telle livraison, le juge ne doit prendre en considération le fait que l'assujetti a dissimulé, dans un premier temps et en pleine connaissance de cause, l'existence d'une livraison intracommunautaire, que s'il existe un risque de pertes de recettes fiscales et si celui-ci n'a pas été complètement éliminé par l'assujetti
Pour la cour , le fond , c'est à dire la perte effective de recettes fiscales est plus important que
la forme, c'est à dre la présentation tardive d'une preuve
P
                                                        06:25 Publié dans TVA EUROPE, Union Européenne  | Tags : tva,  livraison intercommunautaire,  albert collee | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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04 décembre 2007
Les propositions OCDE pour les réformes fiscales
Le Secrétaire général de l'OCDE fait valoir l'urgence de réformes économiques devant la Commission Attali
Etude économique de la France 2007
La France possède beaucoup d'atouts qui sont reconnus internationalement, mais elle a besoin de réformes dans des domaines tels que la fiscalité et le marché du travail afin de pouvoir répondre pleinement à son potentiel de croissance, a fait valoir le Secrétaire général de l'OCDE, Angel Gurría, devant la Commission pour la Libération de la Croissance Française présidée par Jacques Attali.
"L'expérience internationale suggère que pour s'assurer la place qui est la sienne dans la mondialisation, la France doit persévérer dans ses réformes afin de tirer le meilleur parti de ses atouts," a constaté M. Gurría. "Depuis le milieu des années 90, la France croît, certes, mais elle perd du terrain par rapport à des partenaires importants, alors qu'elle en gagnait auparavant. Ce qui frappe surtout en France c'est une certaine crainte de l'avenir et une méfiance vis-à-vis du changement."
Répondant à l'invitation de la Commission de fournir les analyses de l'OCDE sur l'économie française, M. Gurría a cité cinq éléments qui selon lui contribuent au manque de confiance économique des Français :
Propositions pour une réforme fiscale
                                                        11:05 Publié dans abudgets,rapports et prévisions  | Tags : france,  économie,  politique | Lien permanent  | Commentaires (0)  | 
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