15 décembre 2010
Le rapport du Sénateur Adrien GOUTEYRON sur les TIER
Cette tribune est une synthèse du Rapport n° 620 (2009-2010) de M. Adrien GOUTEYRON, fait au nom de la commission des finances, déposé le 7 juillet 2010 sur les douze premiers traités signés par la France concernant l’échange de renseignements fiscaux.
La tribune sur les Traités Internationaux d' Echange de Renseignements ( TIER)
Ces traités ne sont pas des traités évitant la double imposition.
Le rapport du sénateur Adrien GOUTEYRON
sur les traités d'échange de renseignements fiscaux
PLAN
ANALYSE GENERALE
15:16 Publié dans a secrets professionnels, Traités et renseignements | Tags : adrien gouteyronles traités d'échange de renseignements fiscaux | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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Les lois de finances et sociales 2010-2011
cette tribune sera affichee dans la tribune actualites a droite de votre ecran jusqu'en janvier 2011
I la loi de finances rectificative pour 2010(4)
LOI n° 2010-1658 du 29 décembre 2010 de finances rectificative pour 2010 (1)
la page réforme de la fiscalité des sociétés de personnes
II la loi de finances pour 2011
LOI n° 2010-1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 (1)
Le budget de 2011 et son contexte économique et financier
Par le sénateur Marini
L'ISF, une originalité française pénalisante
Par P Marini
III loi de financement de la sécurité sociale pour 2011
déposée le 14 octobre 2010
xxxxxxxxxxxxx
Tribune EFI Niches fiscales et sociales les rapports
Rapport du conseil des prélèvements obligatoires 2010
Entreprises et "niches" fiscales et sociales,
Le rapport sur les niches des entreprises
Dans le rapport visé ci dessus , que les députés lui avaient commandé et qu’il leur a été présenté mercredi 6 octobre, le Conseil des prélèvements obligatoires formule 70 propositions visant à mieux encadrer et, surtout, à réduire les niches fiscales et sociales dont bénéficient les seules entreprises : l’institution propose ainsi “entre 15 et 29 milliards d’euros” d’économies, sachant que le manque à gagner total pour l’Etat, induit par ces différents avantages fiscaux, est de 172 milliards d’euros cette année.
07:33 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, Politique fiscale | Tags : la loi de finances pour 2011, loi de financement de la sécurité sociale pour 2011 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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14 décembre 2010
ISF et abus de droit :l'usufruit abusif
ISF et abus de droit :l'usufruit abusif
ISF et la holding abusive
Trois avis du comité de l'abus de droit sur l'ISF
UK l' »usufruct deed abusive”
Les liquidités excessives d’une holding sont elles des actifs professionnels exonérés ?
les tribunes sur l'abus de droit
Une contribuable avait imaginé d’apporter l’usufruit de plusieurs biens immobiliers à une EURL CORINNE dont elle était la gérant et l unique associée et qui avait une activité de camping sur la cote d’azur
Cette contribuable ingénieuse estimait que les usufruits de ces immeubles inscrits au bilan de son EURL à activité commerciale lui aurait permis d’échapper à notre ISF national sur ces immeubles dont elle se réservait en partie voire totalement la jouissance.
Mal lui en a pris
12:51 Publié dans Abus de droit :JP, Imposition du patrimoine, ISF | Tags : isf et abus de droit | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer |
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13 décembre 2010
Les tribunes de Novembre 2010
10:37 Publié dans a)Historique des tribunes | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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10 décembre 2010
QPC la publicité d'un jugement de fraude fiscale est contraire à la constitution
En vertu de l’article 1741 IV du code des impôts le juge est tenu de prononcer "dans tous les cas" la sanction de publicité du jugement de fraude fiscale,
le conseil constitutionnel a déclaré contraire à la constitution cet article et sur le principe de l’individualisation des peines.
Déjà, à plusieurs reprises le cosneil constitutionnel avait invalidé des dispositions d'ordre pénal qui prévoianet des sanctions obligatoires.
Le conseil applique les principes fondamentaux ed notre civiliastion européenne tals qu'ils avaientété définis notamment par BECCARIA
Décision n° 2010-72/75/82 QPC du 10 décembre 2010
12:20 Publié dans a Question prioritaire de constitutionnalite, Fraude escroquerie blanchiment, Protection du contribuable et rescrit | Tags : fraude fiscale, publicite du jugement de fraude fsicale | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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09 décembre 2010
TVA le projet d'instruction en consultation
La loi 2010-237 du 9 mars 2010 procède à une refonte totale de la TVA applicable aux opérations immobilières pour une mise en conformité avec les normes communautaires. Son application est anticipée au 11 mars 2010.
LE PAQUET TVA IMMOBILIERE 2010
Alors que deux régimes particuliers existait , celui dit « des marchands de biens » (CGI art. 257, 6°) et celui des opérations de construction (TVA « immobilière » ; CGI art. 257, 7°), le nouveau régime repose sur la distinction entre les opérations réalisées par des assujettis (entreprises, professionnels de l’immobilier…), relevant de règles identiques se rapprochant du droit commun, et celles réalisées en dehors d’une activité économique, qui ne sont plus soumises à la TVA qu’exceptionnellement.
LE PROJET D'INSTRUCTION EST DESSOUS
18:52 Publié dans Fiscalité Immobilière, TVA FRANCE | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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OCDE fiscalité et performance économiques
De nombreux gouvernements doivent en effet faire face à des niveaux de déficits et d’endettement sans précédent.
Les dépenses publiques ont augmenté et les moyens de les financer ont diminué suite à la chute des recettes publiques – plus de 10 % dans certains pays.
Les gouvernements s’efforcent d’assainir leurs finances, et recherchent un juste équilibre approprié entre réduction des dépenses et accroissement des recettes. Selon le document de l’OCDE intitulé « Tax Policy Reform and Fiscal Consolidation », pour que les systèmes fiscaux permettent de maintenir une croissance économique durable, il faut que les gouvernements prennent les bonnes décisions quant aux moyens de prélever des recettes fiscales supplémentaires.
18:43 Publié dans OCDE, Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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08 décembre 2010
UE lutte contre la fraude fiscale -la coopération administrative
LUTTE CONTRE LA FRAUDE FISCALE - COOPÉRATION ADMINISTRATIVE
ou
Le pragmatisme fiscal européen
dans la reherche de l'assiette fiscale imposable
Note de P Michaud.Richard Werly a raison d'écrire qu'"ils" avancent mais pas à pas,dans cinq ans, l'IFU européen sera généralisé.
Le Conseil du 7 décembre 2010 a approuvé un projet de directive visant à renforcer la coopération entre les États membres dans le domaine de la fiscalité directe.
LA DIRECTIVE ANTI FRAUDE (non définitif)
Un plan simplifié de la directive .doc
Pour Luc Frieden,
21:50 Publié dans a secrets professionnels, EVASION FISCALE internationale, Fraude escroquerie blanchiment, Union Européenne | Tags : ue lutte contre la fraude fiscale - coopération administrative | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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05 décembre 2010
VISITE DOMICILIAIRE LES JURISPRUDENCES
A JOUR NOVEMBRE 2010
la jurisprudence sur l'application de l'article L16B sur les visites domicilaires sur autorisation du juge des libertés - ce qui n'a rien à voir le droit de perquisition sans ordonnance - est nombreuse et donne souvent raison à l'administration
COMMENT CONSULTER LE DOSSIER DE L'ADMINISTRATION ,
Je vous livre un arret DE PRINCIPE du 23 novembre cassant une décision sur un motif tiré de l'article 6 de la convention europeenne des droits de l homme -
OBLIGATION DE COMMUNICATION DES PIECES EN CAS DE VISITE L16B (CASS.23.11.10 )
NOUVEAU
L’instruction 13 K 8 09 du 26 juin 2009 commente les nouveaux pouvoirs d’investigation de l’administration fiscale et les conditions d’opposabilité des informations dans le cas où le contribuable fait obstacle à la restitution des documents saisis .
Le premier arrêt de la cour de cassation après la réforme LME
Cass com 8 décembre 2009 n°08-21017
attendu, en premier lieu, que les dispositions de l'article L. 16 B du livre des procédures fiscales, qui organisent le droit de visite des agents de l'administration des impôts et le recours devant le premier président de la cour d'appel, assurent la conciliation du principe de la liberté individuelle ainsi que du droit d'obtenir un contrôle juridictionnel effectif de la décision prescrivant la visite avec les nécessités de la lutte contre la fraude fiscale, de sorte que l'ingérence dans le droit au respect de la vie privée et du domicile est proportionnée au but légitime poursuivi ; qu'ainsi elles ne contreviennent pas à celles des articles 8 et 6 § 1 de la Convention européenne des droits de l'homme ;
Et attendu, en second lieu, que l'ordonnance se réfère, par motifs propres et adoptés, en les analysant, aux éléments fournis par l'administration qu'elle retient ; que le premier président, qui a relevé les faits en résultant à partir desquels il a souverainement apprécié l'existence d'une présomption de fraude, sans être tenu de s'expliquer sur les éléments qu'il écartait et sans avoir à justifier autrement de la proportionnalité de la mesure qu'il confirmait, a légalement justifié sa décision ; D'où il suit que le moyen n'est fondé en aucune de ses branches ;
PAR CES MOTIFS : REJETTE le pourvoi ;
II Controle de la présomption de fraude
Ordonnance de la Cour d’appel de Paris 26.11.09
Le point intéressant est que la Cour a considéré que le juge des libertés devait rechercher s'il existe des présomptions suffisantes de fraude pour motiver la mesure de visite et saisie.
Par contre, elle avait rejeté le premier point, mais le débat reste ouvert : l'Administration peut-elle faire état de pièces saisies dans le cadre d'une procédure concernant un autre contribuable dès l'instant que cet autre contribuable dispose lui-même de recours, non encore épuisé, pour faire annuler la mesure de visite et saisie à son encontre.
Georges-Marie Duclos,avocat
III Qui contrôle la licéité des pièces ?
Première étape
En ne mentionnant pas l'origine apparente de certaines pièces sur lesquelles il fondait son appréciation, et dont, ainsi, la détention licite n'était pas établie, le juge ne permet pas à la Cour de Cassation d'exercer son contrôle de la régularité de l'ordonnance.
Cour de Cassation, Ch com, du 27 novembre 1991, 90-10.607 90, Publié au bulletin
Mais la preuve contraire ne pouvait être apportée que dans le cadre de la procédure fiscale engagée devant la juridiction compétente pour juger de l’imposition contesté
attendu que le juge constate que les notes manuscrites jointes au procès-verbal du 5 juillet 1993 de MM. Y... et X... ont été rédigées par M. Y..., ancien salarié de la société Unimix, sur du papier libre, à des fins personnelles ; qu ainsi il résulte de l ordonnance que le président du Tribunal, hors toute dénaturation, a procédé au contrôle qui lui incombait, toute autre contestation au fond sur la licéité de ces documents relevant des juridictions compétentes pour apprécier la régularité de la procédure ; que les moyens ne sont pas fondés ;
Cour de Cassation, Ch com, 3 octobre 1995, 94-11.709 Publié au bulletin
La nouveauté de l’arrêt d’avril 2010
Le contrôle la validité des pièces s’effectue au niveau de la cour d’appel, juge de la validité de l’ordonnance autorisant la visite
Cour de cassation, civile, Ch com, 7 avril 2010, 09-15.122, Publié au bulletin
enfin, qu'ayant constaté que ce droit a été exercé pour obtenir les pièces n° 19 et 38 auprès d'un opérateur et d'un prestataire de communications électroniques et, qu'en l'absence de ces deux pièces illicites, le juge des libertés et de la détention ne pouvait présumer que M. X... exerçait une activité non déclarée de vente d'oeuvres d'art depuis le territoire français au moyen de sites internet, le premier président en a déduit à bon droit que la décision de celui-ci devait être annulée
18:14 Publié dans FRAUDE FISCALE, Perquisition civile (visite domiciliaire), perquisition fiscale et penale fiscale, Protection du contribuable et rescrit | Tags : perquisition fiscale, visite domicilaire fiscale | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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L'article 168 devant le conseil constitutionnel ?
rediffusion
O FOUQUET
l'article 168 du CGI constitue-t-il encore une menace sérieuse pour le contribuable de bonne foi? décembre 2008.
TAXATION D’APRES LES SIGNES EXTERIEURS DE RICHESSE :
cliquer pour imprimer
Nous remercions le président fouquet et la revue administrative de nous avoir autorisé à publier la présente chronique
les tribunes d'Olivier Fouquet
Cette chronique rentre dans le débat sur un impôt minimum, débat que nous avons initié par la tribune
la tribune sur une imposition minimum
Imposition d'apres les signes extérieurs de richesse ( article 168 CGI)
Mise à jour novembre 2010
le Conseil constitutionnel est saisi sur 168 CGI
Le Conseil constitutionnel est saisi de la question de savoir si la taxation d'après les « signes extérieurs » prévue par l'article 168 du CGI est conforme au principe constitutionnel d'égalité devant les charges publiques.
L’ARTICLE 168 EST IL DE RETOUR ?
Conseil d’Etat N° 275554 27 juillet 2006 Ruwayha
Conseil d’État N° 305442 6 août 2008
Conseil d’Etat 27 octobre 2008 n°294160, min. c/ Planet
Conclusions de Mr Glaser ,commissaire du gouvernement
5 B-5-09 n° 15 du 12 février 2009
Evaluation forfaitaire minimale du revenu imposable d'après certains éléments du train de vie (art. 168 du code général des impôts) - Arrêt du Conseil d'Etat du 27 octobre 2008 n° 294160 (Planet).
16:46 Publié dans aa O Fouquet, de l'Assiette, Résidence fiscale internationale,expatriés et impa | Tags : o fouquet l'article 168 du cgi constitue-t-il encore une menace | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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02 décembre 2010
Gestion anormale : le prêt d'une petite fille à sa grand mère !
Une petite fille peut elle provisionner un prêt à sa grand mère ?
O FOUQUET : ACTE ANORMAL DE GESTION
ET MAUVAISE GESTION
Une affaire similaire sur l’article 57 :l'arrêt GUERLAIN
Le fait, pour une sous-filiale, de consentir une avance de trésorerie à la société mère en difficulté, qui contrôle la filiale, et avec laquelle elle n’entretient aucune relation commerciale, ne relève pas, en règle générale, d’une gestion commerciale normale, dès lors que cette avance, même assortie du versement d’intérêts, est d’un montant manifestement hors de proportion avec la solvabilité du bénéficiaire.
il n’en va autrement que si la société établit qu’en consentant cette avance, elle a agi dans son propre intérêt ; que tel serait le cas si la sous-filiale justifiait que cette avance était nécessaire pour éviter la liquidation de la société mère dans des conditions telles qu’elle entraînerait elle-même sa liquidation
Conseil d’État 22 janvier 2010 N° 313868
Mme Escaut Nathalie, commissaire du gouvernement
La situation de fait
16:41 Publié dans Acte anormal de gestion, Art. 57 Prix de transfert;, Fiscalite des entreprises, Résultat fiscal | Tags : conseil d’État 22 janvier 2010 n° 313868 societe d'acquisition | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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01 décembre 2010
TVA "Service">TERRITORIALITE DES PRESTATIONS DE SERVICES
TERRITORIALITE DES PRESTATIONS DE SERVICES.
EXIGIBILITE. REDEVABLE. OBLIGATIONS
A compter du 1er janvier 2010, le nouvel article 259 du code général des impôts pose un nouveau principe général selon lequel le lieu des services entre assujettis est situé au lieu d’établissement du preneur quel que soit le lieu d’établissement du prestataire.
Lorsque le prestataire n’est pas établi en France, c’est le preneur qui est redevable de la taxe. Dans l’hypothèse où le prestataire et le preneur redevable sont établis dans des États membres différents de l’Union européenne, ces prestations devront être déclarées sur la DES.
Pour les services fournis à une personne non assujettie, le lieu de ces services reste en principe le lieu d’établissement du prestataire.
Synthèse DGFIP
Règles de territorialité des prestations de services
- Nouveautés 2010
Article 102 de la loi n° 2009-1673
du 30 décembre 2009 de finances pour 2010.
Le rapport Marini sur le paquet TVA
Instruction 3 A 1 10 du 4 janvier 2010
Présentation de la « Déclaration européenne de services »
Le portail de la commission européenne
La directive TVA 2010 et la jurisprudence
de la Cour de Justice des Communautés Européennes
DIRECTIVE 2008/117/CE DU CONSEIL du 16 décembre 2008
DIRECTIVE 2008/8/CE DU CONSEIL du 12 février 2008
16:20 Publié dans T.V.A., TVA FRANCE | Tags : territorialite des prestations de services. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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