30 juin 2012
L'audace ou le déclin ? 2012-2017 par XERFI
la chaine de la réflexion économique
XERFI Canal aborde en profondeur, sans a priori ,sans tabou et sans autocensure les grands débats de l’économie, de la géostratégie et les enjeux de la politique économique.
La France dans la rechute de l'économie mondiale :
L'impératif d'un plan d'urgence face aux tergiversations
sur le pacte de croissance
Affligée par des déséquilibres structurels et le délitement de son tissu productif, la France subit de plein fouet la rechute de l'économie mondiale et la récession européenne. Un ralentissement auquel l'Allemagne n'échappera pas. Dans ce contexte, les négociations sur le pacte de croissance ne peuvent pas esquiver la question d'un plan d'urgence pour soutenir les PME et les ETI, pour éviter une accélération des défaillances d'entreprises et la nouvelle flambée du chômage dans l'hexagone.
08:29 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, FORUM MONDIAL, Politique fiscale | Tags : prévisions economiques 2011-2012 | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook | | |
28 juin 2012
La règle des 183 jours est elle un obstacle à une installation en France?
Le domicile fiscal :
vers une réflexion fiscale et aussi économique?
La règle des 183 jours est elle un obstacle à l’entrée en France ?
Une exit tax à la sortie , une regle de 183 jours à l'entrée ;
la France se referme t elle au monde ?
L'Australie ouvre grandes ses portes
aux investisseurs étrangers fortunés
par Patrick Michaud
Une réflexion fiscale sur les conséquences économiques de la définition de la domiciliation fiscale sur les prélèvements obligatoires semble d'actualité .
Autant la France est devenu un pays d‘accueil pour les courageux immigrés du monde entier qui viennent en principe rechercher une protection et du travail que l’Europe est en train de limiter .
Autant la France a toujours refusé de considérer une politique d’immigration adaptée pour les étrangers fortunés
A une certaine époque des responsables du MINEFI avaient bien tenté de pousser une simple réflexion dans ce sens mais un ministre de la pensée unique les a mis au placard.
15:34 Publié dans Politique fiscale, Résidence fiscale internationale, Résidence fiscale internationale,expatriés et impa | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
27 juin 2012
Les rapporteurs aux commissions des finances
Des spécialistes expérimentés de l’économie
aux commissions des finances
le role des commissions des finances
Le sénateur François Marc
rapporteur de la commission des finances au SENAT
Un rapport déjà prémonitoire en février 2007
Le blog de François Marc le site de F Marc au Sénat
François MARC est titulaire d'un Doctorat en Économie et Administration et d'un Doctorat d'Etat en Sciences de Gestion. Il débute sa carrière comme Professeur en sciences de gestion à l’Université de Bretagne Occidentale. De 1986 à 1989, il exerce le rôle de Doyen de la Faculté de Droit et de Sciences Economiques de Brest. Puis il assume, de 1990 à 1999, la responsabilité du DESS "Gestion des PME exportatrices".
Le député Christian ECKERT
rapporteur de la commission des finances à l’Assemblée nationale
Christian ECKERT a été élu le 28 juin 2012 rapporteur général de la Commission des Finances de l'Assemblée Nationale.
le lien avec l’assemblée nationale
son activite
Professeur de profession, Christian Eckert est adjoint au maire de la commune anciennement minière de Trieux (Meurthe-et-Moselle) du 12 mars 1983 au 1er mars1987, date à laquelle il accède au poste de maire. Il a été membre du conseil régional de Lorraine à partir du 15 mars 1998, puis vice-président en charge de l'aménagement du territoire et de l'après-mine, jusqu'en mars 2010, date de sa fin de mandat régional. Il est membre du Parti socialiste et fait partie du courant de Laurent Fabius.
Christian Eckert a été élu au deuxième tour des élections législatives de 2007 avec 53,95 % des voix, face au député UMP sortant, Édouard Jacque.
Il a été porte-parole du PS à l'Assemblée nationale contre le texte libéralisant le travail dominical. En décembre 2009, il souligne le conflit d'intérêt des différentes fonctions d'Éric Woerth[1].
10:15 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, consultation publique, Les niches, Lois financières 2011.2012, Politique fiscale, Rapports | Tags : francois marc, pierre alain muet | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
30 mai 2012
L'europe et la France:De l'euro compatibilité?!
La Commission définit les nouvelles mesures à prendre en faveur de la stabilité, de la croissance et de l’emploi
Bruxelles, le 30 mai 2012 – La Commission européenne a adopté un ensemble de recommandations concernant les mesures budgétaires et les réformes économiques à mettre en œuvre pour renforcer la stabilité financière, dynamiser la croissance et favoriser la création d’emplois dans l’ensemble de l’UE.
Tenant compte de la situation particulière de chaque État membre, ces recommandations sont formulées par pays.
Les recommandations pour tous les membres
Les recommandations pour la France
RECOMMANDE que la France s'attache, au cours de la période 2012-2013:
Les propositions fiscales sont au §4
21:52 Publié dans Politique fiscale, Union Européenne | Tags : l'europe et la france:de l'euro compatibilité?! | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
05 mars 2012
OCDE Haro sur l'optimisation fiscale....
"L’optimisation fiscale agressive –– revenus non imposés, déductions multiples et autres formes d’arbitrage fiscal international –– est de plus en plus préoccupante pour tous les gouvernements. "
le communiqué de l'OCDE du 5 février 2012
OCDE Lutter Contre la Planification Fiscale Agressive
Un vrai débat : existe il un abus de liberté de gestion?
Des positions historiques du CE
CLIQUER
La nouvelle étude de l’OCDE intitulée
Dispositifs d’exploitation des asymétries des montages hybrides :
problèmes de politique et de discipline fiscales
décrit les dispositifs qui exploitent les différences entre pays dans le traitement fiscal des instruments, entités ou transferts de manière à déduire la même dépense dans plusieurs pays différents, à faire « disparaître » les revenus entre les pays ou à générer artificiellement plusieurs crédits d’impôt au titre du même impôt étranger.
Le rapport, qui s’appuie sur le Répertoire de l’OCDE sur l’optimisation fiscale agressive, conclut que ces dispositifs posent des problèmes de politique fiscale importants en termes de recettes, de concurrence, d’efficience économique, d’équité et de transparence. Il note que les distorsions causées par la double exonération sont aussi préoccupantes que celles qui sont dues à la double imposition.
Des observations ponctuelles montrent que des milliards de dollars de recettes fiscales sont en jeu.
La Nouvelle-Zélande a pris des décisions sur des affaires concernant quatre banques pour une somme combinée excédant 2.2 milliards NZD.
L’Italie a récemment réglé une douzaine d’affaires faisant intervenir des montages hybrides pour un montant d’environ 1.5 milliard EUR.
Aux États-Unis, le montant total de la fraude fiscale représenté par 11 transactions générant des crédits d’impôt étrangers a été estimé à 3.5 milliards USD.
« L’OCDE s’efforce d’éliminer la double imposition et les autres obstacles aux échanges et investissements transfrontaliers » a déclaré Pascal Saint-Amans, Directeur du Centre de politique et d’administration fiscales. « Par ailleurs, nous redoublons nos efforts pour nous assurer qu’il n’existe pas entre les systèmes fiscaux de lacunes qui permettraient à certains contribuables de bénéficier par rapport à d’autres d’un avantage concurrentiel injustifié.
20:12 Publié dans Abus de droit :JP, Déontologie de l'avocat fiscaliste, EVASION FISCALE internationale, OCDE, Politique fiscale, Rapports, Responsabilité | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
23 février 2012
le crédit d'impot recherche : une opportunité
Depuis le 1er janvier 2008, le CIR consiste en un crédit d’impôt de 30 % des dépenses de R&D jusqu’à 100 M€ et 5% au-delà de ce montant.
Les entreprises entrant pour la première fois dans le dispositif bénéficient d’un taux de 40 % la première année puis de 35% la deuxième année sous réserve qu’il n’y ait aucun lien de dépendance entre l’entreprise et une autre entreprise ayant bénéficié du CIR et que le capital de l’entreprise ne soit pas détenu à 25% au moins par un associé détenant ou ayant détenu au cours des 5 dernières années 25 % du capital d’une autre entreprise n’ayant plus d’activité effective et ayant bénéficié du CIR.
Crédit d'impôt en faveur des entreprises industrielles et commerciales ou agricoles effectuant des dépenses de recherche.
Périmètre des opérations de recherche et développement
INSTRUCTION DU 21 FEVRIER 2012 4 A-3-12
La présente instruction se substitue aux commentaires figurant aux paragraphes n°s 1 à 14 et 23 à 34 de la documentation de base 4 A 4112.
X X X X X
Modalités d'application des dispositions introduites par l'article 41 de la loi n° 2010-1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011.
21:59 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, Crédit impot recherche, Fiscalite des entreprises, Les niches, Politique fiscale, Résultat fiscal | Tags : le crédit d'impot recherche | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook | | |
01 février 2012
UE: la fin des paradis fiscaux protégés:l'arrêt Gibraltar
REDIFFUSION SUR L ARRET CJUE GIBRALTAR
La réforme de l’impôt de Gibraltar est
une aide déguisée interdite
LA FIN DES PARADIS FISCAUX PROTEGES
La cour de justice vient de confirmer le 15 novembre 2011 la décision de la commission qui avait interdit le nouveau régime fiscal de Gibraltar QUE le Royaume uni n'est donc pas autorisé à mettre en place et ce contrairement aux conclusions de l'avocat général favorables au royaume uni.
cliquer
"la circonstance que les sociétés offshore échappent à l’imposition, précisément en raison des caractéristiques propres et spécifiques à cette catégorie de sociétés, permet de considérer qu’elles bénéficient d’avantages sélectifs "
Note de P Michaud en avril 2011 : la décision très importante montrera la direction future de l'europe: libérale et responsable ou libertaire comme le souhaiteraient nos amis les fiscalistes libertaires ?
La principale question posée par la présente affaire concerne la sélectivité matérielle et la clarification de la notion d’aide d’État par rapport au phénomène de la concurrence fiscale dommageable notamment par la création d’un système fiscal privilégié .
Les dispositions applicables aux aides d’état
Or par conclusions présentées le 7 avril 2011 devant la CJUE ,l’avocat général M. Niilo Jääskinen a demandé confirmation de l’arrêt d’Ier instance annulant la décision de la commission (lire ci-dessous), décision demandant l'interdiction pour incompatibilité du nouveau régime fiscal défendu par UK.
Quelle va être la décision de la CJUE ???
16:16 Publié dans EVASION FISCALE internationale, Fiscalite des entreprises, Politique fiscale, Union Européenne | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook | | |
24 novembre 2011
Lutte contre la fraude fiscale : le bilan
Conférence de presse du 24 novembre 2011
« Bilan des résultats en matière de lutte contre la fraude et
l’évasion fiscales »
en présence de Gilles CARREZ, rapporteur général de la
Commission des finances de l’Assemblée nationale
Le discours de Valérie Pecresse
Délégation nationale à la lutte contre la fraude
pour imprimer et lire le compte rendu cliquer
Lors d'une conférence de presse jeudi matin 24 NOVEMBRE 2011 à Bercy, Mme Pecresse a souhaité que le délai de dix ans de prescription prévu pour les territoires non coopératifss concerne désormais "tous les pays sans distinction", et non plus seulement les paradis fiscaux.
La ministre du Budget a estimé que cette mesure pourrait figurer au projet de loi de finances rectificatif pour 2011..
Mme Pécresse a par ailleurs évoqué les accords d'échange de renseignements conclus avec de plus en plus de pays. Elle a regretté que certains Etats -dont elle a tu le nom- se contentent de confirmer des informations déjà connues du fisc français, au lieu d'en fournir de nouvelles, comme l'identité des propriétaires de certains actifs ou des actionnaires de certaines structures.
"Nous voulons que la police fiscale puisse continuer d'investiguer (sic), y compris après la signature de ces accords", a déclaré la ministre, qui va donc proposer au Parlement de créer un délai de carence de trois ans à compter de la signature.
Valérie Pécresse a dressé un bilan de l'action du gouvernement en matière de lutte contre la fraude fiscale. "Depuis 2007, le total, c'est 50 milliards d'euros de droits et de pénalités récupérés", a-t-elle affirmé.
Selon elle, les résultats du contrôle fiscal s'élèvent à 16 milliards d'euros en 2010, un milliard de plus qu'en 2009. En réalité, il ne s'agit que des "redressements notifiés", même si, la ministre en est sûre, "ils seront récupérés".
Selon un rapport de la commission des Finances du Sénat datant de 2007, seulement un tiers des droits redressés étaient effectivement encaissés.
La même année, le Conseil des prélèvements obligatoires, organisme rattaché à la Cour des comptes, évaluait le montant annuel de la fraude fiscale entre 28,9 et 40,2 milliards d'euros. Les sommes éludées se chiffraient entre 7,3 et 12,4 milliards d'euros pour la TVA, 4,6 milliards pour l'impôt sur les sociétés, 4,3 milliards pour l'impôt sur le revenu et 6,2 à 12,4 milliards d'euros liés au travail au noir.
Valérie Pécresse a tout de même salué l'action menée par son prédécesseur Eric Woerth et elle-même. La fameuse "cellule de régularisation" en place d'avril à décembre 2009 a rapporté 1,2 milliard d'euros de droits et pénalités; en tout, 4.700 contribuables ont déclaré sept milliards d'euros qu'ils dissimulaient jusqu'alors.
A partir de la liste des 3.000 de l'affaire HSBC, 800 contrôles ont été engagés dont "350 sont achevés et il y a 160 millions d'euros de recettes fiscales à la clef", s'est félicitée Mme Pécresse.
xource AP
17:00 Publié dans aaa Les rapports, abudgets,rapports et prévisions, Fraude escroquerie blanchiment, Les sanctions fiscales, Politique fiscale | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
17 novembre 2011
Doing Business et Taxation
Le Projet Doing Business mesure la réglementation des affaires et son application effective dans 183 économies et dans certaines villes au niveau infranational et régional.
Doing Business in a More Transparent World
cliquer en français
En collectant et en analysant des données quantitatives détaillées pour comparer les cadres réglementaires applicables aux entreprises du monde entier au fil du temps, Doing Business encourage la concurrence entre les économies pour la mise en place d'une réglementation des affaires efficace. Doing Business propose également des points de comparaison mesurables pour réformer et offre une source documentaire pour les universitaires, les journalistes, chercheurs du secteur privé et d'autres personnes s'intéressant au climat des affaires dans les économies du monde entier.
En matière fiscale, l’étude ci-dessous , établie avec PricewaterhouseCoopers pour la Banque Mondiale analyse comment les différents pratique des l'administration fiscale du monde entier peuvent avoir un impact sur les entreprises. Des fiscalistes de 183 pays ont été invités à répondre à une série de questions portant sur le système fiscal national et comment il est mis en application.
Un petit nombre d'experts du monde entier, par le public et le secteur privé ont donné leur avis dans des commentaires en vidéo LA VIDEO
Paying taxes: The compliance burden
Worldwide tax summaries - Corporate taxes 2011/12
Doing Business in a More Transparent World
L'étude couvre de nombreux aspects de l'administration fiscale : la complexité des
03:23 Publié dans Formation EFI, FORUM MONDIAL, OCDE, Politique fiscale, Rapports | Tags : worldwide tax summaries | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
24 septembre 2011
Rétroactivité des lois financières et fiscales et la Déclaration de 1789
l'affaire Noah devant le conseil constitutionnel
« Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution ».
Rétroactivité et la Déclaration de 1789
les questions fiscales prioritaires de constitutionalité
La Constitution du 4 octobre 1958, ne se borne pas à organiser les pouvoirs publics, définir leur rôle et leurs relations, mais elle est aussi créatrice de droits. Le Préambule renvoie en effet directement et explicitement à trois autres textes fondamentaux : la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen du 26 août 1789, le Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 (la Constitution de la IVe République) et la Charte de l'environnement de 2004.
l'affaire Noah devant le conseil constitutionnel
La décision du conseil constitutionnel rendu le 23 septembre 2011 dans l’affaire NOAH marque t elle un raidissement de sa réflexion sur les conditions d’une rétroactivité de la loi fiscale?
07:52 Publié dans a Question prioritaire de constitutionnalite, Politique fiscale, Rétroactivité fiscale | Tags : retroactivite des lois de finances | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook | | |
30 août 2011
les simulateurs ISF IR DONATIONS Bouclier 2011
Le ministére des finances a mis en ligne un site pour faciliter le calcul du bouclier fiscal
Mise à jour 2012
DGFIP Calculez votre impôt sur le revenu pour 2012
Mise à jour 2011
SIMULATEUR DU PLAFONNEMENT DES IMPÔTS DIRECTS |
||
N° : 2041-DRID et 2041-GO |
N° Cerfa : 12774 * 05 et 51145 # 06 |
|
Les simulateurs ( privés ) fiscaux
Droit à restitution des impositions directes en fonction du revenu. Bénéficiaires du droit à restitution. Plafonnement spécifique de l'impôt de solidarité sur la fortune. Situation des non-résidents tirant de France l'essentiel de leurs revenus imposables ("non-résidents SCHUMACKER").
13 A-1-11 n° 2 du 11 janvier 2011
LE SIMULATEUR FISCAL DE LA DGI 2011
LE SITE DU BOUCLIER FISCAL 11 AVEC SIMULATEUR
7 G-7-10 n° 1 du 4 janvier 2011 : Droits de mutation à titre gratuit. Liquidation des droits. Seuils, abattements et barêmes applicables. Actualisation pour 2011.
7 S-9-10 n° 1 du 4 janvier 2011 : Impôt de solidarité sur la fortune. Calcul de l'impôt. Tarif de l'impôt applicable en 2011.
Mise à jour 29.07.10
13 A-1-10 n° 70 du 29 juillet 2010 :
Droit à restitution des impositions directes en fonction du revenu. Aménagements relatifs à la prise en compte des revenus et des impositions.
Article 101 de la loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010. Article 56 de la loi n° 2009-1674 du 30 décembre 2009 de finances rectificative pour 2009. 4° du IV et V de l’article 17 de la loi n° 2009-1646 du 24 décembre 2009 de financement de la sécurité sociale pour 2010.
13 A-1-08 n° 83 du 26 août 2008 :
Droit à restitution des impositions en fonction du revenu. Abaissement du seuil de plafonnement à 50 % des revenus. Prise en compte des contributions et prélèvements sociaux.
13 A-3-09 n° 56 du 4 juin 2009 : Plafonnement des impositions directes en fonction du revenu. Autoliquidation du plafonnement par le contribuable - Article 38 de la Loi de finances pour 2009 (Loi n° 2008-1425 du 27 décembre 2008).
13 A-2-09 n° 47 du 23 avril 2009 : Droit à restitution des impositions directes en fonction du revenu - Aménagements relatifs à la prise en compte des revenus réalisés hors de France - VIII de l'article 121 de la loi n° 2008-776 du 4 août 2008 de modernisation de l'économie.
13 A-1-09 n° 16 du 13 février 2009 : Droit à restitution des impositions directes en fonction du revenu. Aménagements corrélatifs à la mise en place du régime du versement libératoire de l'impôt sur le revenu en faveur des micro-entreprises. Commentaires des dispositions du VII de l'article 1 de la loi n° 2008-776 du 4 août 2008 de modernisation de l'économie.
LE SIMULATEUR FISCAL DE LA DGI 2010
LE SIMULATEUR FISCAL DE LA DGI 2009
LE SIMULATEUR FISCAL DE LA DGI 2008
LE SITE DU BOUCLIER FISCAL 10 AVEC SIMULATEUR
LE SITE DU BOUCLIER FISCAL 09 AVEC SIMULATEUR
LE SITE DU BOUCLIER FISCAL 10 AVEC SIMULATEUR
Le « bouclier fiscal » est un dispositif de plafonnement des impôts directs qui bénéficie aux particuliers. Le principe est défini à l’article 1 du code général des impôts :
« Les impôts directs payés par un contribuable
ne peuvent être supérieurs à 50 % de ses revenus ».
Le droit à restitution des impositions qui excède le seuil de 50 % des revenus est acquis au 1er janvier de la deuxième année qui suit celle de la réalisation des revenus pris en compte (année de référence)
ATTENTION A partit de 2009 le plafonnement peut se faire soit par remboursement soit par imputation directe (cf in fine)
Bouclier fiscal après redressement
Question N° :58409 de M. Bernard Gérard
Réponse publiée au JO le : 08/12/2009 page : 11691
Pour l’administration, seules les impositions correspondant à des montants régulièrement déclarés par le contribuable peuvent être prises en compte pour la détermination du droit à restitution et non les impositions faisant suite à redressement
Les impôts concernés par le plafonnement sont :
- l’impôt sur le revenu (imposition au barème progressif ou à un taux forfaitaire),
- les contributions et prélèvements sociaux sur les revenus du patrimoine, d’activité et de remplacement ou sur les produits de placements (contribution sociale généralisée -CSG-, contribution pour le remboursement de la dette sociale -CRDS-, prélèvement social de 2% et contribution additionnelle de 0,3 % à ce prélèvement),
- l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF),
- la taxe d’habitation et la taxe foncière sur les propriétés bâties et non bâties concernant la résidence principale et certaines taxes additionnelles à celles-ci.
Les revenus pris en compte sont ceux de l’année de référence.
Le plafonnement doit être demandé par le contribuable au service des impôts dont il dépend au moyen de l’imprimé n° 2041 DRID “ demande de plafonnement des impôts directs à 50 % des revenus de l’année 2006 ”. Cette demande doit parvenir au service des impôts avant le 31 décembre de l’année au cours de laquelle le droit à restitution a été acquis.
Exemple : Vous pouvez déposer, entre le 1er janvier 2010 et le 31 décembre 2010 une demande de plafonnement des impositions excédant le seuil de 50 %, pour l’impôt sur le revenu et les contributions et prélèvements sociaux acquittés en 2008 ou 2009 au titre des revenus de 2007 et pour l’ISF et les impôts locaux établis au titre de l’année 2009.
NOUVEAU 2009-
Le contribuable peut également désormais exercer son droit à restitution par une imputation directe sur l’impôt de solidarité sur la fortune, les prélèvements sociaux sur les revenus du patrimoine, la taxe foncière ou d’habitation relatives à la résidence principale, établis au titre de l’année 2009. Les modalités d’exercice de ce nouveau droit sont en cours de définition.
Avant de remplir le formulaire, il est conseillé de consulter toutes les informations présentées ici et d’utiliser le simulateur de calcul pour vérifier si vous pouvez bénéficier du bouclier fiscal.
14:25 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, ISF, Politique fiscale, Simulateurs fiscaux | Tags : bouclier fiscal, impot 2008, simulateur dgi | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
21 août 2011
Trois projets d'instruction en consultation
L’administration vient de lancer une consultation publique
sur trois projets d’instruction
derniers jours
I Mesures de lutte contre la fraude et l’évasion fiscales.
États et territoires non coopératifs.
II Aménagement du régime fiscal des groupes de sociétés
afin de tenir compte de l’arrêt papillon
lire ci dessous le Rescrit du 27 juin 2011
III Application du crédit d'impôt recherche (CIR)
ATTENTION,
les délais de réponse sont courts
09:32 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, consultation publique, Fiscalite des entreprises, Lois financières 2011.2012, Politique fiscale, Rapports, Résultat fiscal | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook | | |
26 mai 2011
« Les leçons de la crise n'ont pas été tirées »par VGE
« Les leçons de la crise n'ont pas été tirées »
Par Valéry Giscard D’Estaing
Dans un interview aux Echos, V.Giscard D'Estaing apporte son analyse sur la situation économique.
En dehors de toute considération politicienne, je diffuse sa position notamment au niveau de la fiscalitéP
Par ailleurs, il soulève un principe que nous connaissons tous
La sécurité juridique en droit constitutionnel français
Par François Luchaire, Ancien membre du Conseil constitutionnel
Anne-Laure VALEMBOIS - Cahiers du Conseil constitutionnel n° 17
interview en htlm interview en pdf pdf A3
Quels sont à vos yeux les enjeux de la prochaine campagne présidentielle ?
Retrouver une croissance forte et continue, pour offrir des emplois aux jeunes ! La France doit retrouver une meilleure compétitivité. Faute de quoi, nous continuerons de nous laisser distancer par nos concurrents.
Notre système éducatif est désormais tourné vers la gestion et pas suffisamment vers la production. Des réformes importantes ont été menées en faveur de l'enseignement supérieur. Mais il faut nous fixer pour priorité de former de bons ingénieurs à tous les niveaux du secteur productif.
Nous aurons davantage besoin d'inventeurs et de techniciens que de gestionnaires. Nous devons aussi favoriser l'émergence de PME disposant d'une taille minimale pour pouvoir innover, investir et exporter.
Il faut enfin sortir de la divagation fiscale dans laquelle nous sommes plongés.
La France est le seul grand pays industriel au monde où les dirigeants d'entreprise ne connaissent pas le régime fiscal auquel ils seront soumis l'année suivante !
La dernière trouvaille est de vouloir augmenter les droits de succession en ligne directe, alors qu'ils sont faibles ou inexistants dans la plupart des pays voisins.
On s'éloigne de la règle d'or de la fiscalité qui consiste à avoir « une assiette large et des taux modérés ».
C'est cette règle qui assure la paix fiscale et procure des rentrées régulières.
17:33 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, Formation EFI, Politique fiscale | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
01 mai 2011
OCDE Lutter Contre la Planification Fiscale Agressive
Lutter Contre la Planification Fiscale Agressive par l’Amélioration de la Transparence et de la Communication de Renseignements
La planification fiscale agressive met en péril les recettes de nombreux pays. Les montants en jeu sont énormes, comme le démontre certaines décisions et certains accords récents. Plusieurs pays ont mis au point des stratégies pour contrer la planification fiscale agressive. La base de toute stratégie de ce type est d’assurer la disponibilité en temps voulu de renseignements ciblés et complets, ce que les contrôles classiques ne permettent plus à eux seuls d’obtenir. La disponibilité de tels renseignements en temps voulu est essentielle pour permettre aux gouvernements d'identifier en temps utile les domaines à risque et de décider rapidement si et comment répondre à ces risques, ce qui offre également une plus grande certitude aux contribuables. Pour être plus effectives, les administrations fiscales cherchent à travailler de plus en plus en temps réel. Plusieurs pays ont dès lors mis au point en matière de communication de renseignements des initiatives complémentaires visant à améliorer leur capacité de détecter la planification fiscale agressive et d’y répondre rapidement.
Ce rapport, qui a été approuvé par tous les pays membres de l’OCDE, décrit les stratégies adoptées par ces pays. Il traite d’une série d’initiatives allant de règles relatives à la communication préalable obligatoire de renseignements aux formes de discipline fiscale coopérative. Ce rapport offre une série d’outils que peuvent déployer ceux qui sont concernés par la planification fiscale agressive. Il recommande un examen approfondi des différentes initiatives afin d’éclairer les stratégies sur le plan de la politique et de la discipline fiscales. Le rapport conclut que les initiatives de communication de renseignements peuvent réduire sensiblement le décalage entre la création et la promotion de dispositifs de planification fiscale agressive et leur identification par les administrations, permettant ainsi aux gouvernements de procéder immédiatement à l’évaluation et à la résolution du problème. Cette évaluation et cette résolution précoces apportent un nombre d’avantages mutuels pour les contribuables et pour les gouvernements, y compris en termes de réduction du nombre de contrôles de routine, d’augmentation de la transparence et d’effet positif sur la culture de discipline fiscale en général. A titre d’exemple, les règles de communication de renseignements applicables aux dispositifs d’évasion fiscale ont permis au Royaume-Uni de réduire de plus de 12 milliards de livres les possibilités d’évasion.
16:42 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, Abus de droit :JP, OCDE, Politique fiscale, Rapports | Tags : ocde lutter contre la planification fiscale agressive | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
24 avril 2011
Le retour de l'expatrié en France.le SANR
EFI analyse les conditions du retour des expatriés en france
Le rôle du service d'acceuil des non résidents
L’augmentation des prélèvements obligatoires à l’étranger et la crise économique incitent de nombreux expatriés français – mais de loin pas tous- à étudier un retour en France, pays dans lequel les qualités de vie sont bien bonnes même si la rouspétance est une règle gauloise historique .
Note de P Michaud : les freins au retour sont d'abord le maintien de l'ISF ,qui n'existe nulle part sauf en suisse comme imposition cantonale, et l'instabilité fiscale c'est à dire la remise en cause des acquis par des lois rétroactives.La France sait acceuillir les courageux immigrés étrangers mais ne sait plus acceuillir les riches non résidents .
L'impôt sur la fortune des personnes physiques en suisse
l' ISF et le rapport de Raymond BARRE
l'impôt plancher;une idée à creuser
les impositions étrangères (source les échos)
les tribunes EFI sur les expatriés
pour imprimer avec les liens cliquer
A Connaitre le coût fiscal de son retour ( le SANR)
B Les dispositifs favorables au retour
D Réaliser les plus values latentes E Déclarer les comptes et revenus à l'étranger
09:39 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, expatrié, Impatrié, Politique fiscale, Protection sociale, Résidence fiscale internationale,expatriés et impa | Tags : sanr, service d'acceuil des non residents, notaire | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |