16 octobre 2009
L’abus explosif : le doigt dans le pot de confiture
rediffusion
Un schéma explosif : une mère française possédait une filiale au panama qui détenait une luxembourgeoise qui détenait des filiales en Europe !!!!
Ce qui devait arriver est arrivé;
Conseil d’Etat, 10 décembre 2008, n° 295977, Société Andros et Cie
Les tribunes EFI sur l’abus de droit
Jurisprudences similaires
CE 18 Mai 2005 N° 267087 Aff. Sagal
CE 18 Février 2004 n°247729 Aff. Pléiade
Conseil d’Etat, 10 décembre 2008, n° 295977, Société Andros et Cie
LES FAITS
la SA ANDROS a fait l’acquisition de 22, 99 % du capital de la société de droit panaméen Pollux Development dans le but allégué de réaliser par son entremise des investissements de capital-risque dans des sociétés industrielles et commerciales non cotées
La société Pollux Development avait pour seul actif une participation dans la société de droit luxembourgeois White Knight Partnership, dont l’un des membres nommé White Knight II SA a pour activité de prendre et gérer des participations dans des sociétés industrielles ou de services non cotées situées principalement sur le territoire de l’Union européenne ;
07:52 Publié dans Abus de droit :JP, ETABLISSEMENT STABLE | Tags : conseil d’etat, 10 décembre 2008, n° 295977, société andros et cie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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14 octobre 2009
le conseil n'est pas responsable de l'opportunité MAIS
L'arrêt de la première civile du 28 mai 2009 pourra être marbré dans le futur recueil des grands arrêts tant la synthèse ciselée de la responsabilité d'un conseil est à la fois large et précise.
Les limites de notre obligation de moyen renforcée sont exactement bornées.
Les tribunes EFI sur la responsabilité des conseils
Un vieux classique.les avocats sont ils des canards de foire? cliquer
le conseil - en l'espèce un notaire- n’est pas tenu d’une obligation de conseil et de mise en garde concernant l’opportunité économique d’une opération en l’absence d’éléments d’appréciation qu’il n’a pas à rechercher,
Il est, en revanche, tenu d’une telle obligation pour que les droits et obligations réciproques légalement contractés par les parties
- répondent aux finalités révélées de leur engagement,
- soient adaptés à leurs capacités ou facultés respectives et
- soient assortis des stipulations propres à leur conférer leur efficacité, quand bien même leur engagement procéderait d’un accord antérieur
Cour de cassation chambre civile 1 28 mai 2009 N° 07-14075 07-14644
LES FAITS
L’EURL “ La Brocherie Saint Basile “ a cédé, en août 1991, aux consorts Y... un fonds de commerce de restaurant sous la condition suspensive de l’octroi d’un prêt ;
07:38 Publié dans aa)DEONTOLOGIE, Déontologie de l'avocat fiscaliste, Responsabilité | Tags : cour de cassation chambre civile 1 28 mai 2009 n° 07-14075 07-14 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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12 octobre 2009
OCDE FRAUDE FISCALE à jour au 12.10.09
OCDE:RAPPORT SUR LA FRAUDE FISCALE A JOUR AU 12.10.09 cliquer
Since 2006, the Global Forum has published annual assessments of the legal and administrative framework for transparency and exchange of information in over 80 countries.
The last update was published in September 2009 as
Tax Co-operation 2009: Towards a Level Playing Field -
2009 Assessment by the Global Forum on Transparency and Exchange of Information
The Sub-Group on Level Playing Field Issues agreed that the 2009 assessment should highlight more clearly the distinction between those jurisdictions that are making progress and those that are not, by providing a simple, factual summary of the legal and administrative framework for transparency and exchange of information in place in a given country.
This approach will make it easier to identify what strengths and weaknesses a jurisdiction has regarding its ability to exchange information for tax purposes. Furthermore, it was agreed that positive recognition would be provided for jurisdictions having concluded at this point in time at least 12 agreements that meet the internationally agreed standard with OECD countries.
06:21 Publié dans OCDE | Tags : tax co-operation 2009: | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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11 octobre 2009
CJCE Prescription : de nouveaux délais à prévoir ?
REDIFFUSION à titre préventif !
Un nouveau lien avec la salle de presse de la cour de Luxembourg
Dans l’arrêt rendu le 11 juin 2009 la CJCE a jugé qu'un délai de redressement prolongé en cas de suspicion de dissimulation d'avoirs imposables détenus dans un autre Etat membre est conforme au droit communautaire, en ce qu'il contribue à assurer l’efficacité des contrôles fiscaux et à lutter contre la fraude fiscale internationale
LES DELAIS DE PRESCRIPTION EN FRANCE
LE PRINCIPE Article L186 LPF " Lorsqu'il n'est pas expressément prévu de délai de prescription plus court ou plus long, le droit de reprise de l'administration s'exerce jusqu'à l'expiration de la sixième année suivant celle du fait générateur de l'impôt.
LES EXEPTIONS art L169 LPF art.L 170 et suivants
Une nouvelle exception
Le droit de reprise de l'administration s'exerce jusqu'à la fin de la dixième année qui suit celle au titre de laquelle l'imposition est due, lorsque les obligations déclaratives prévues aux articles 123 bis, 209 B, 1649 A et 1649 AA du même code n'ont pas été respectées et concernent un Etat ou un territoire qui n'a pas conclu avec la France une convention d'assistance administrative en vue de lutter contre la fraude et l'évasion fiscales permettant l'accès aux renseignements bancaires. Ce droit de reprise concerne les seuls revenus ou bénéfices afférents aux obligations déclaratives qui n'ont pas été respectées. (ce nouveau droit s'applique aux délais venant à expiration postérieurement au 31 décembre 2008 c'est à dire à compter de 2006)
L"ARRET DE LA CJCE DU 11 JUIN 2009
Un délai de redressement prolongé en cas de dissimulation aux autorités fiscales d'avoirs imposables détenus dans un autre état membre est conforme au droit communautaire
10:01 Publié dans de l'Assiette, Fraude escroquerie blanchiment, PRESCRIPTION: reprise et remboursement, Union Européenne | Tags : prescription fiscale, cjce 11 juin 2009 aff. c-15508 et c-15708 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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09 octobre 2009
Du JAZZ avec DAVE BRUBECK
17:53 Publié dans zEFI CLASSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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07 octobre 2009
Autorite des marchés financiers
Autorité des marchés financiers
Créée par la loi n° 2003-706 de sécurité financière du 1er août 2003, l'Autorité des marchés financiers est issue de la fusion de la Commission des opérations de bourse (COB), du Conseil des marchés financiers (CMF) et du Conseil de discipline de la gestion financière (CDGF).
Ce rapprochement a pour objectif de renforcer l'efficacité et la visibilité de la régulation de la place financière française.
L'Autorité des marchés financiers est un organisme public indépendant, doté de la personnalité morale et disposant d'une autonomie financière, qui a pour missions de veiller :
- à la protection de l'épargne investie dans les instruments financiers et tout autre placement donnant lieu à appel public à l'épargne ;
- à l'information des investisseurs ;
- au bon fonctionnement des marchés d'instruments financiers.
Elle apporte son concours à la régulation de ces marchés aux échelons européen et international.
20:40 Publié dans Fiscalite des entreprises, n.Sauvegarde de l'entreprise, Sauvegarde | Tags : autorite des marchés financiers | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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CPO :Le rapport sur les prélèvements obligatoires des entreprises
A la demande de la Commission des finances du Sénat, le Conseil des prélèvements obligatoires, organisme associé à la Cour des comptes, consacre une étude aux
« prélèvements obligatoires des entreprises dans une économie globalisée ».
LES AUTRES RAPPORTS DU CONSEIL
AUTRES RAPPORTS
- COMPETITIVE ALTERNATIVES 2008 : FOCUS ON TAX
En 2008, les prélèvements fiscaux et sociaux acquittés par les entreprises en France peuvent être estimés à environ 327 milliards d’euros.
Le Conseil en dresse l’inventaire, et en examine la structure et l’efficacité au regard des impératifs d’attractivité et de compétitivité.
Le rapport analyse tout d’abord la capacité de la France à attirer sur son territoire des investissements et des emplois. La France dispose d’atouts qui font d’elle le troisième pays d’accueil pour les investissements étrangers, après les États‐Unis et le Royaume‐Uni.
Toutefois, outre les facteurs géographique, économique et humain qui contribuent de manière importante à l’attractivité d’un pays, les entreprises sont sensibles à l’imposition des bénéfices pour la localisation de leurs investissements ou de leurs bases taxables.
Un diagnostic des taux et des règles d’assiette de l’impôt sur les sociétés en France est donc présenté, avant l’examen de l’efficacité économique de certains de ses mécanismes dérogatoires.
Le Conseil évalue ensuite l’impact des prélèvements obligatoires sur la compétitivité des entreprises. Il s’agit ainsi d’apprécier si les impôts et les charges sociales assis sur les facteurs de production sont de nature à pénaliser les entreprises, notamment à l’exportation. Enfin, la présente étude dresse un panorama des transferts d’assiette réalisés ou envisagés, en France et à l’étranger, pour alléger la taxation du facteur travail.
En conclusion, le Conseil identifie des pistes d’évolution de la structure des prélèvements obligatoires des entreprises en vue d’éclairer le débat parlementaire.
LES CONCLUSIONS DU RAPPORT :
LES PROCHAINES MODIFICATIONS FISCALES A PREVOIR???
18:49 Publié dans abudgets,rapports et prévisions, Politique fiscale | Tags : rapport sur les prelevements obligatoires des entreprises | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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La Suisse sera-t-elle annexée ????
La Suisse sera-t-elle annexée ????
Un document historique : "Au nom du Seigneur, amen…
Le traité de paix perpétuelle entre la France et la Suisse.
Les régiments suisses au service de la France
L’article 7 de la loi 2009-715 du 18 juin 2009 codifiée sous l’article L511-45 du code monétaire et financier a prévu que les établissements de crédit publient en annexe à leurs comptes annuels des informations sur leurs implantations et leurs activités dans les Etats ou territoires qui n'ont pas conclu avec la France de convention d'assistance administrative en vue de lutter contre la fraude et l'évasion fiscales permettant l'accès aux renseignements bancaires.
L’arrêté du 6 octobre 2009 portant application de l'article L. 511-45 du code monétaire et financier a précisé les documents à annexer .
Il s’agit de :
― la liste des implantations directes ou indirectes détenues dans cet Etat ou territoire : succursales, filiales et participations dans d'autres entités faisant l'objet d'un contrôle exclusif ou conjoint tel que défini par le Comité de la réglementation comptable en application de l'article L. 233-16 du code de commerce ;
― la dénomination sociale, le pourcentage de capital ou des droits de vote détenus, la forme juridique et, le cas échéant, la nature de l'agrément, ainsi qu'une description de la nature des activités pour chacune de ces implantations.
Les établissements de crédit décrivent également le processus de décision en matière d'implantation et de surveillance des risques dans les Etats ou territoires précités.
L’avenant du 27 aout 2009 à la convention fiscale franco suisse (cliquer) exonère la Suisse de cette annexion ….comptable .
En effet, d’une part la Suisse est redevenue blanche ( cliquer)et d’autre part et surtout l’article 11§6 de l’avenant (cliquer) du 27 aout 2009 dispose:
6. Dès l’entrée en vigueur de l’Avenant, il conviendra de se référer à la Convention entant que « Convention entre la Suisse et la France du 9 septembre 1966 modifiée, en vue d’éliminer les doubles impositions en matière d’impôts sur le revenu et sur la fortune et de prévenir la fraude et l’évasion fiscales (ensemble un Protocole).
10:19 Publié dans Suisse | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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05 octobre 2009
L’intelligence financière n’est pas un abus
L’intelligence financière n’est pas un abus
Les tribunes EFI sur l'abus de droit
M. A a créé avec la SA Sylvator, dont il était le dirigeant, une société en participation (SEP) dénommée Sylvator-Bouthillon, pour une durée de neuf mois à compter du 31 mars 1987, en vue d’exercer tous les droits détenus par la SA Sylvator pour l’exploitation en location-gérance de deux fonds de commerce ;
Les mêmes associés ont créé une autre SEP ayant la même dénomination et le même objet, pour une durée de douze mois à compter du 1er janvier 1988, par un second contrat en date du 28 avril 1988 ;
ces contrats confiaient la gérance des SEP à la SA Sylvator et prévoyaient la dissolution de plein droit des sociétés respectivement les 31 décembre 1987 et 9 janvier 1989
Conseil d’État 31 juillet 2009 N° 290971 Aff Sylvator-Bouthillon
A la suite d’une vérification de comptabilité menée en 1990, l’administration fiscale a mis en oeuvre la procédure de répression des abus de droit prévue par l’article L. 64 du livre des procédures fiscales et réintégré, après l’avis favorable du comité consultatif pour la répression des abus de droit, dans les revenus de M. A, les déficits des SEP qu’il avait déduits au titre des années 1987 et 1988 ;
La position de l’administration
06:25 Publié dans Abus de droit :JP | Tags : conseil d’État 31 juillet 2009 n° 290971 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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03 octobre 2009
De la loyaute de la preuve (suite )
Obligation de communication de documents même connus du contribuable
Un nouvel arret du conseil d'état renforce les garanties du contribuable en améliorant l'application du principe du contradictoire
Conseil d’État vendredi 31 juillet 2009 n°297308
Conclusions de Mr Glaser dans la Revue de Droit Fiscal n°40
il incombe à l’administration, quelle que soit la procédure d’imposition mise en oeuvre, et au plus tard avant la mise en recouvrement, d’informer le contribuable dont elle envisage soit de rehausser, soit d’arrêter d’office les bases d’imposition, de l’origine et de la teneur des renseignements obtenus auprès de tiers qu’elle a utilisés pour fonder les impositions, avec une précision suffisante pour permettre à l’intéressé de demander que les documents qui contiennent ces renseignements soient mis à sa disposition avant la mise en recouvrement des impositions qui en procèdent ;
Lorsque le contribuable en fait la demande à l’administration, celle-ci est tenue de lui communiquer les documents ou copies de documents contenant les renseignements obtenus auprès de tiers qui lui sont opposés ;
il en va ainsi alors même que le contribuable a pu avoir connaissance de ces renseignements ou de certains d’entre eux, afin notamment de lui permettre d’en vérifier, et le cas échéant d’en discuter, l’authenticité et la teneur ;
16:05 Publié dans Controle fiscal, La preuve en fiscalité | Tags : de la loyaute de la preuve (suite ) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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02 octobre 2009
ISF LES EXONERATIONS
ISF ET EXONERATIONS DES PARTICIPATIONS
Un appartement dit de fonction est il un bien professionnel pour l’ISF
Dans un arrêt en date du 3 février 2015, la Cour de cassation étudie le cas d'une SCI propriétaire d'une villa louée à une société dont le redevable est le président. La société a établi son siège social dans cette villa et les redevables y sont également domiciliés.
Cour de cassation, Chambre commerciale, 3 février 2015, 13-25.263, Inédit
La Cour énonce "que la SCI avait pour objet la propriété et la gestion du bien immobilier villa Nevada, que cet l'immeuble permettait seulement le logement de fonction du dirigeant de la société Sagesse, sans être le lieu de l'activité de cette dernière, et que le seul argument invoqué, pris de l'utilisation professionnelle comme lieu d'accueil et de réception privilégié pour les contacts et relations professionnels, n'était étayé d'aucune pièce, la cour d'appel en a exactement déduit que les parts de la SCI ne pouvaient être considérées comme des biens professionnels".
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Biens professionnels |
Salariés et mandataires sociaux |
Engagements de conservation « Dutreil » |
TEXTES LEGAUX ET REGLEMENTAIRES |
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Textes de loi
Commentaires administratifs |
Articles 885 0 Bis et suivants du CGI
Documentation de base 7-S-33 |
Article 885 1 quater du CGI
Instruction administrative 7-S-3-06 |
Article 885 1 bis du CGI
Instructions administratives 7-S-3-04 et 7-S-6-05 |
CONDITIONS |
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Activité de la société |
Sociétés exerçant une activité industrielle, commerciale, artisanale, agricole ou libérale ou holding animatrice |
Sociétés exerçant une activité industrielle, commerciale, artisanale, agricole ou libérale ou holding animatrice |
Sociétés exerçant une activité industrielle, commerciale, artisanale, agricole ou libérale ou holding animatrice |
Obligation de conservation |
- |
Obligation individuelle de conservation d’une durée minimale de 6 ans |
Engagement collectif de conservation et obligation individuelle de conservation d’une durée minimale globale de 6 ans |
Participation minimale requise |
25 % du capital et des droits de vote (à défaut 50 % de la valeur brute du patrimoine imposable à l’ISF) |
- |
20 % du capital et des droits de vote si la société est cotée, 34 % si la société ne l’est pas |
Fonction à exercer |
Fonctions de direction éligibles énumérées à l’article 885 0 bis du CGI (plus la fonction de directeur général délégué) |
Fonctions de direction énumérées à l’article 885 0 bis (plus la fonction de directeur général délégué, administrateur, membre du conseil de surveillance) ; ou fonction de salarié |
Un membre de l’engagement collectif doit exercer une fonction de direction énumérée à l’article 885 0 bis du CGI (ou la fonction de directeur général délégué) |
Condition de rémunération |
Rémunération normale, représentant plus de 50 % des revenus professionnels du redevable |
L’activité doit représenter l’activité principale du redevable |
- |
Nombre de sociétés interposées autorisées |
Une seule société interposée |
Nombre de sociétés interposées illimité |
Une ou deux sociétés interposées |
EFFETS |
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Taux d’exonération |
100 % |
75 % |
75 % |
Valeur des titres de la société bénéficiant de l’exonération : Possibilité d’une activité civile accessoire ? |
NON
Seule la valeur des titres correspondant aux actifs nécessaires à l’activité éligible sera exonérée |
OUI Possibilité d’exonérer la valeur des titres correspondant aux actifs affectés à une activité civile non prépondérante |
OUI Possibilité d’exonérer la valeur des titres correspondant aux actifs affectés à une activité civile non prépondérante |
Possibilité d’exonération des titres de plusieurs sociétés ? |
OUI Si les sociétés ont une activité similaire ou connexe et complémentaire |
OUI Si les sociétés ont une activité similaire ou connexe complémentaire |
OUI Possibilité de conclure plusieurs engagements collectifs sur des titres de sociétés différentes |
22:25 Publié dans ISF | Tags : isf et exonerations des participations | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer |
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La magie est elle fictive?
BON WEEK END A TOUTES ET A TOUS

Je vous livre les statistiques de diffusion de ce blog ouvert le 16 avril 2007
Visiteurs uniques | Visites | Pages lues | Pages par jour (Moy / Max) | Visites par jour (Moy / Max) | ||||||||
Septembre 2007 | ||||||||||||
1 724 | 3 507 | 12 960 | 432 / 923 | 116 / 214 | ||||||||
Septembre 2008 | ||||||||||||
2 480 | 5 620 | 26 487 | 882 / 1519 | 187 / 1 060 | ||||||||
Septembre 2009 | ||||||||||||
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Note P Michaud
Un juriste ou un fiscaliste, magistrat, avocat, fonctionnaire de la République ou cadre d’entreprise n’est pas un scribe exécutant, il est d’abord un citoyen responsable et actif qui analyse, interprète, critique, et applique les textes avec sa conscience personnelle d’homme ou de femme
L’objectif de ce blog est de vous apporter des informations, toutes les informations pour vous éclairer dans votre prise de décision et d’affermir votre sens critique, positif ou non, de citoyen de France ou de l’étranger
14:02 Publié dans zEFI CLASSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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30 septembre 2009
TRUST LE RAPPORT CARREZ
RAPPORT SUR LA LUTTE CONTRE LA FRAUDE ET L’EVASION
FISCALE PAR LE BIAIS DE PARADIS FISCAUX
Rapport d’information sur les paradis fiscaux 10 septembre 2009
La position de Carrez en 2009 sur les trusts
Sécuriser l’assiette des impôts patrimoniaux en présence de trusts
(Droits de mutation à titre gratuit et impôt de solidarité sur la fortune)
05:18 Publié dans aa TRUST ; REGIME FISCAL ET JURIDIQUE, Rapports, Royaume Uni, SUCCESSION et donation, TRUST et Fiducie | Tags : trust, fiducie, fiscalite internationale, fiscaliteinternationale | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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29 septembre 2009
Des renifleurs de la fraude...en Italie
Evasion fiscale: l'Italie installe des radars à la frontière suisse
Rome 28 septembre 2009 L'Italie a commencé à déployer à la frontière suisse des "radars" destinés à lutter contre l'évasion fiscale
. Un premier appareil a été installé à Ponte Chiasso. D'autres doivent suivre dans les prochains jours dans plusieurs localités du nord de la Péninsule.
Ce système mobile, installé à bord de fourgons de la "Garde des finances", vise à détecter les mouvements suspects d'argent liquide et de papiers valeurs, ainsi que d'or, d'argent ou de pierres précieuses. Il permet de relever les numéros d'immatriculation de tous les véhicules transitant sur un axe déterminé.
Les personnes interceptées en possession de 10'000 euros ou plus se verront infliger une amende et feront l'objet d'une enquête pour blanchiment d'argent, selon l'agence italienne ANSA.
De tels moyens sont déjà utilisés dans le sud de l'Italie pour lutter contre l'argent sale provenant de la criminalité organisée. Ils seront également déployés à la frontière avec la principauté de Saint Marin.
Dans le même temps, les autorités italiennes sont en train de mettre au point un projet d'amnistie des délits d'évasion fiscale. L'objectif est de rapatrier entre 70 et 100 milliards d'euros en deux mois et demi. Rome estime que 45% de cette somme devrait provenir de Suisse. Au total, ce sont près de 500 milliards d'euros qui seraient cachés à l'étranger.
22:23 Publié dans a secrets professionnels | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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OCDE Renforcer la discipline fiscale des gros contribuables
Les contribuables, particuliers et entreprises, qui se situent au sommet de l’échelle en termes de patrimoine ou de revenu sont relativement peu nombreux mais ont une incidence considérable en valeur absolue sur les recettes publiques
Quatre publications récentes de l’OCDE jettent un éclairage sur les tendances actuelles et les approches suivies pour gérer les grandes entreprises et les particuliers les plus fortunés ; ces rapports devraient offrir un soutien précieux non seulement aux autorités fiscales, mais aussi aux grandes entreprises, aux contribuables et aux intermédiaires qui les conseillent.
06:17 Publié dans OCDE, Politique fiscale | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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