21 mars 2013
Crédit d impôt recherche et réserve de participation
Comment déterminer le montant de l impôt sur les sociétés déductible pour le calcul de la réserve de participations ?
Le crédit d'impôt recherche : le guide 2013
Un arrêt à rebondissement : CE du 20 Mars 2013
Le crédit d impôt recherche est il déductible de l Is ce qui augmente la réserve ou n’est il pas ce qui diminue la réserve ?
L’administration considérait que le crédit d’impôt recherche - comme les autres crédits d’impôt - vient minorer le montant de l’impôt sur les bénéfices, ou crée un « impôt négatif » en cas de remboursement, ce qui a pour effet de majorer le montant de la réserve spéciale de participation.
Saisi d’un recours pour excès de pouvoir, le Conseil d’Etat vient d’annuler cette doctrine au motif qu’elle ajoute à la loi.
Conseil d'État N° 347633 20 mars 2013 Etudes et Productions Schlumberger (E.P.S)
Selon la Haute Assemblée, l’impôt visé par le Code du travail s’entend de « l’impôt sur les sociétés au taux de droit commun résultant des règles d’assiette et de liquidation qui régissent ordinairement l’imposition des bénéfices », soit avant imputation des crédits d’impôt y inclus le crédit d’impôt recherche.
l'instruction fiscale n° 4 N 1121 du 30 août 1997 relative à l'incidence du crédit d'impôt recherche sur le calcul de la réserve spéciale de participation des salariés ainsi que le rescrit n° 2010/23 du 13 avril 2010 (inclus dans le BOFIP ci dessous) relatif à l'impact du crédit d'impôt recherche sur le montant de la participation des salariés aux résultats de l'entreprise sont annulés
L’administration qui vient d’étendre le 15 mars dernier sa doctrine - désormais annulée - au crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi .devra revoir sa position sous réserve d’une loi interprétative compte tenu des nombreux contentieux prévisibles cet arret pouvant avoir un effet negatif pour de nombreux salariés
(BOI-BIC-PTP-10-10-20-10-20130315, n° 200 et 210)
Sur les modalités de calcul de la réserve spéciale de participation:
De nouveaux rebondissements sont donc prévisibles
20:55 Publié dans Crédit impot recherche | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer |
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Régime fiscal d'un rachat apres un APA :CE 20 mars 2013 Aff Généfinance
Le Gain constaté à l'occasion d'un rachat de titre de participation peut il bénéficier du régime mère-fille lorsque les titres ont été acquis par voie d'apport (APA)
soumis au sursis des articles 210 A et B ?
Modalités d'application du régime spécial des fusions aux apports partiels d'actif
Régime fiscal des sociétés mères et filiales – Conditions d'application du régime
Conseil d'État N° 349669 20 mars 2013 Généfinance
La situation de fait
le 30 mars 1987, la société Généfinance a apporté à la société Génébanque des actifs comprenant des titres de la société Sogapec, ultérieurement devenue SG Capital Développement ; que ces titres, figurant au bilan de la société apporteuse pour un montant de 201 501 341 francs (30 718 681,41 euros), ont été inscrits à l'actif de la société bénéficiaire pour leur valeur d'apport, établie à 287 701 812 francs (43 859 858,50 euros)
la plus-value d'apport, d'un montant de 86 200 471 francs (13 141 177,09 euros), ainsi dégagée par la société Généfinance à l'occasion de cette opération a été placée sous le régime prévu aux articles 210 A et 210 B du code général des impôts càd sous le régime du sursis d’imposition
20:14 Publié dans fusion scission, Plus value mobilière | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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Le piège anti écureuils cachottiers / l’article 755 CGI
La loi 2012-1510 du 29 décembre 2012 - art. 8 a codifié une nouvelle arme anti écureuils cachottiers notamment avec l’article 755 du CGI
Article 755 CGI : Présomptions de propriété
mise à jour du 31 mars 2013
Commission fiscale du barreau de paris
Réunion du 21 mars 2013
Mr A Gardette, directeur du service du contrôle fiscal à la DGFIP nous précisé que l’article 755 CGI ne s’appliquait qu’en cas de demande du fisc à un tiers .Cet article ne s’appliquait pas en cas de déclaration rectificative réellement spontanée
Par ailleurs la DGFIP est favorable au principe de la régularisation fiscale et une étude est en cours pour rapprocher le système des particuliers avec celui des entreprises
Mais la décision finale sera politique
ATTENTION la régularisation n’est pas une transaction,c’est une rectification du passé c’est dire que le contribuable doit déposer des déclarations rectificatives pour toutes les impositions qui pourraient être concernées (IR ISF Succession, donation, trust etc), seules les pénalités sont négociables suivant les circonstances propres à chaque situation .
Il est donc indispensable de faire une véritable balance de trésorerie des comptes à l’étranger sur une longue période, en tout cas depuis 2006.comme le ferait un inspecteur spécialisé des finances publiques
La procédure de régularisaton n'est donc pas "a tea time party" mais une activite professionnelle à effectuer avec sérieux ,n'en déplaise au professeur Tournesol
12:31 Publié dans aa TRUST ; REGIME FISCAL ET JURIDIQUE, aa)Régularisation fiscale, aaa)Régularisation fiscale France, Amnistie et regularisation, FRAUDE FISCALE | Tags : article 755 cgi, regularisation fiscale | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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19 mars 2013
Le rapport Fouquet : Accroître la sécurité juridique en matière fiscale
rediffusion
Accroître la sécurité juridique
en matière fiscale
Lettre du président Fouquet au ministre du budget Eric Woerth
lES TRIBUNES efi
Cinquante-deux mesures proposées pour tenter de résoudre un apparent paradoxe, assez habituel dans notre pays
D’une part, les méthodes de gestion des services fiscaux et de recouvrement ont considérablement progressé et facilitent l’accomplissement par les contribuables de leurs obligations fiscales ; les vérificateurs des directions nationales et régionales sont motivés, de bon niveau et d’esprit ouvert ; les services contentieux sont, du point de vue d’un conseiller d’Etat, les meilleurs de l’administration française ; l’immense majorité des entreprises estime avoir des rapports plutôt bons avec l’administration.
D’autre part, l’image de notre système fiscal, telle qu’elle est véhiculée notamment à l’étranger, demeure détestable. Certes, l’administration fiscale française n’a pas la politique de relations publiques de certaines autres administrations européennes qui n’hésitent pas à aller vendre à l’étranger les charmes de leur régime fiscal national.
Mais l’explication de l’apparent paradoxe réside fondamentalement ailleurs.
D’abord l’instabilité de la norme, même si elle existe dans tous les pays, atteint en France une dimension paroxystique : 20% des articles du CGI sont modifiées tous les ans, sans même évoquer les ajustements fréquents de la doctrine.
Ensuite, quels qu’aient été les efforts des directeurs généraux des impôts successifs qui souhaitaient à juste titre que l’administration devienne le conseil du contribuable, il subsiste un climat de méfiance réciproque entre l’administration et les contribuables.
08:02 Publié dans aa O Fouquet, Actionnariat salarié, de l'Assiette, Les sanctions fiscales, Rétroactivité fiscale | Tags : le rapport fouquet : accroître la sécurité juridique en matière | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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17 mars 2013
Gérard Depardieu : Un "exilé fiscal" parle
A VOUS SEULS DE DECIDER EN LIBERTE
Exclusivité notélé :
L’interview de Gérard Depardieu
Pour la première fois depuis qu'il a quitté la France pour se domicilier à Néchin, le comédien Gérard Depardieu s'est exprimé sur les raisons de son départ. Il a choisi notélé pour donner une interview exclusive dans laquelle il n'élude aucun sujet et règle ses comptes avec le nouveau gouvernement français. Ecoutez l'intégralité de son interview de 12 minutes au micro de Gaetan Lebailly et Guillaume Dujardin.
09:10 Publié dans expatrié, Résidence fiscale internationale,expatriés et impa | Tags : : l'interview de gérard depardieu | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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15 mars 2013
Steuerstreit mit USA: Schweiz kapituliert
La guerre avec les USA :Berne capitule
Neuer Vorschlag soll 80 bis 90 Banken einbeziehen.
Nouvelle proposition vise à inclure 80 à 90 banques.
Staatssekretär Michael Ambühl hat im Steuerstreit mit den USA eine Lösung gefunden. Doch statt Freude herrscht in Bundesbern jetzt Panik, denn der Deal kommt einem beispiellosen Kniefall gleich. Wird er umgesetzt, müssten nicht nur die 13 Banken, die im Visier der US-Justizbehörden sind, Dossiers in die USA liefern, sondern auch andere Schweizer Banken, die US-Kunden betreuen oder betreut haben.
M. Ambühl a trouvé une solution pour le différend fiscal avec les Etats-Unis. Mais au lieu de montrer de la joie Berne panique, parce que l'affaire est un cas sans précédent,. Quand Berne a réalisé qu’il aurait non seulement à traiter les 13 banques qui sont ciblés par le ministère américain de la Justice mais aussi d'autres banques suisses qui servent des clients américains ou ont pris en charge.
Betroffen sind gemäss Schätzung eines Bankenvertreters rund 80 bis 90 der total rund 300 hiesigen Finanzinstitute. Diese wägen nun die Vor- und Nachteile eines solchen Deals ab. Machen sie nicht mit, riskieren sie später, auf den Radar der US-Steuerfahnder zu geraten. Schlagen sie ein, sind sie Teil der redimensionierten «Globallösung» und können die Vergangenheit abhaken – müssen aber nebst einem Bussgeld auch ihren US-Kundenstamm herausrücken.
Selon une estimation d'un représentant de la banque cette solution affecte de 80 à 90 sur un total d'environ 300 institutions financières suisses . Il convient de peser les avantages et les inconvénients d'un tel accord. En cas de refus ils risquent plus tard, de tomber sur le viseur du fisc américain. En cas d’acceptation ils font partie de la «solution globale» et peuvent oublier le passé - mais d'une amende et la perte de sa clientèle américaine
22:52 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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Les tribunes EFI de Mars 2013
06:48 Publié dans a)Historique des tribunes | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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14 mars 2013
Apport cession: le nouveau régime des plus values en sursis ou en report
Les plus values réalisées par une personne physique lors l’apport de ses titres à une société soumise à l'impôt sur les sociétés peuvent ne pas être immédiatement imposées
Elles bénéficient d’un sursis d’imposition de plein droit ou d’un report sur option c'est-à-dire qu’elles ne deviennent imposable que notamment au jour la cession des actions reçus en échange mais au taux applicable ce jour et non au jour de l’apport, l’administration considère que cet apport est intercalaire ( cf CE
ATTENTION il ne s’agit pas d’une exonération définitive, le report ou le sursis peuvent donc être remise en cause
Le nouveau régime dimposition de certaines plus values d’apport
pour imprimer la tribune cliquer
Abus de droit et sursis : L’apport rachat est un boni et non une plus value:
Apports réalisés avant le 14 novembre 2012
Apports réalisés après le 14 novembre 2012
13:23 Publié dans Abus de droit: les mesures, Sursis d'imposition | Tags : sursis d'imposition des plus values | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer |
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13 mars 2013
France Suisse /le forfait exclu du traité à compter du 1er janvier 2013
Un accord pris lors d'une commission mixte franco suisse de 1968 a précisé que les résidents imposés sur la dépense en suisse pouvait bénéficier de la convention et ce contrairement à l’article 4 6 du traité
En fait les administrations ont considéré que l’exclusion du bénéfice de la convention ne visait que les résidents imposés au petit forfait c'est-à-dire au forfait minimal sans tenir compte des autres dépenses et des revenus de source française
BOFIP DU 26/12/2012 cliquer :
Quelques gentils boyscouts ayant marché sur la queue du tigre qui dormait,celui s’est alors réveillé
et..la suite dans le livre de la jungle fiscale
La France résilie l’accord interprétatif franco suisse publié le 29 février 1968
par l'administration fédérale des finances
La tolérance administrative relative à la résidence fiscale des personnes domiciliées en Suisse imposées au forfait dans cet Etat est rapportée à compter du 12 septembre 2012.
Ce régime demeure néanmoins applicable au titre des années antérieures à 2013.
Quelques conséquences de la résiliation de l’accord de tolérance de février 1968
A compter du 1er janvier 2013 la grosse poignée de ressortissants français ou non encore assujettis au forfait suisse ne pourra plus bénéficier du bouclier protecteur de la convention de 1966 et sera donc soumise au régime fiscal interne français (article 4 CGI° avec notamment
- Une définition du domicile plus sévère avec l’obligation de déclarer les avoirs à l’étranger
RAPPEL de l' Art. 4 de la traite fiscale franco suisse de 1966
§ 6. N'est pas considérée comme résident d'un Etat contractant au sens du présent article :
a) une personne qui, bien que répondant à la définition des paragraphes 1, 2, 3 et 5 ci-dessus, n'est que le bénéficiaire apparent des revenus, lesdits revenus bénéficiant en réalité, soit directement, soit indirectement par l'intermédiaire d'autres personnes physiques ou morales, à une personne qui ne peut être regardée elle-même comme un résident dudit Etat au sens du présent article ;
b) une personne physique qui n'est imposable dans cet Etat que sur une base forfaitaire déterminée d'après la valeur locative de la ou des résidences qu'elle possède sur le territoire de cet Etat.
Domicile fiscal en France une synthèse des critères
comment transformer une imposition forfaitaire en imposition réelle ?
- Pour les « encore « domiciliés en suisse le possible retour de l imposition forfaitaire sur les résidences secondaires
Comment l’administration détermine un domicile fiscal ?
CE 26/12/2012, 336674
A LIRE
SOURCE BOI-IR-DOMIC-10-20-30-20120912 §70
Une liaison a été instituée avec le service de la direction générale des Douanes et des Droits indirects en vue de faciliter le recensement et, le cas échéant, l'imposition des personnes domiciliées à l'étranger qui transfèrent tout ou partie de leur mobilier en France pour meubler un logement qu'elles ont l'intention d'occuper, à titre définitif ou temporaire, comme résidence principale ou secondaire.
Une surveillance spéciale est, en outre, prévue à l'égard des personnes qui -tout en conservant leur domicile à l'étranger- importent des mobiliers en France pour meubler des résidences secondaires. (en effet, l'importation de mobiliers et d'objets destinés à meubler une résidence secondaire située en France ou dans un autre Etat, membre de l'Union européenne, est soumise au paiement des droits de douane et de la TVA. Ces biens doivent ainsi faire l'objet d'une déclaration en douane).
Bien entendu, le service ne doit pas manquer de prendre note des renseignements portés à sa connaissance à cette occasion, en vue du règlement de la situation fiscale des intéressés.
X X X X X
13:00 Publié dans expatrié, Impatrié, Résidence fiscale internationale, Résidence fiscale internationale,expatriés et impa, Suisse | Lien permanent | Commentaires (5) | Imprimer |
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10 mars 2013
Etablissement stable virtuel ET numérique :ou allons nous ?le cnn
etablissement stable et commerce electronique
Dans le cadre de la fiscalité applicable aux entreprises du numérique, les règles de territorialité de l’impôt tant en matière de TVA que d’impôt sur les sociétés sont de fait devenues inadaptées aux nouvelles réalités de l’économie numérique, où l’implantation physique de l’entreprise n’est pas corrélée à son activité.
Le rapport sur la fiscalité du secteur numérique remis en janvier 2013 au Gouvernement a souligné les pratiques d’optimisation fiscale mises en oeuvre par certains acteurs du numérique et a proposé plusieurs pistes pour rétablir une participation équitable de ces sociétés à l’effort national.
L’OCDE partage le même constat et a engagé des travaux pour lutter contre l’érosion des bases d’imposition et les transferts de bénéfices.
L’objectif est de rétablir notre souveraineté fiscale en adaptant nos règles fiscales pour éviter leur contournement par des acteurs internationaux du secteur numérique.
Un site web non résident peut il être un ES en France ?
10:18 Publié dans Double imposition; prévention, ETABLISSEMENT STABLE, TVA | Tags : etablissement stable et commerce electronique | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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Les tribunes EFI de février 2013
06:19 Publié dans a)Historique des tribunes | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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08 mars 2013
Imposition des plus values à court ou long terme des entreprises
Pour les entreprises soumises à l'impôt sur le revenu, les plus-values et moins-values de cession de l'ensemble des éléments de l'actif immobilisé sont soumises à un régime spécial, prévu aux articles 39 duodecies du code général des impôts (CGI) à 39 quindecies du CGI, fondé sur une distinction entre les plus-values et moins-values à long terme qui font l'objet d'une imposition atténuée et les plus-values et moins-values à court terme qui sont traitées comme un résultat ordinaire sous réserve de la possibilité d'étalement sur trois ans. Cette distinction repose sur un double critère de durée de détention (+/- de deux ans) et de nature de l'élément d'actif cédé (amortissable ou non).
Pour les entreprises passibles de l'impôt sur les sociétés, l'article 219 du CGI I a quater exclut de régime des plus ou moins-values à long terme, les plus ou moins-values provenant de la cession de l'ensemble des éléments de l'actif immobilisé, à l’exception des parts ou actions visées aux premier et troisième alinéas du a ter de ce même article (titres de participation), des titres de certains fonds communs de placement à risque ou de sociétés de capital-risque détenus depuis au moins cinq ans, et de certains produits de la propriété industrielle.
ATTENTION Les plus ou moins-values provenant de la cession de l'ensemble des éléments de l'actif immobilisé sont prises en compte dans le résultat imposable dans les conditions et au taux de droit commun.
Ces plus-values ne peuvent bénéficier du régime d'étalement prévu au 1 de l'article 39 quaterdecies du CGI réservé aux plus-values à court terme réalisées par les entreprises soumises à l'impôt sur le revenu.
Source DGFIP
POUR IMPRIMER LA TRIBUNE AVEC LES LIENS SOURCES CLIQUER
I L’assiette imposable et le régime d'imposition des plus-values ou moins-values
II Le régime fiscal des plus-values et moins-values à long terme réalisées par les sociétés passibles de l'impôt sur les sociétés
III les régimes particuliers applicables aux plus-values et moins-values
réalisées par ces sociétés
la suite ci dessous
01:34 Publié dans Plus value à court ou long terme | Tags : imposition des plus values à court ou long terme des entreprise | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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07 mars 2013
Brevet et plus value à long terme l’arrêt IPSEN
Depuis 1965, la France a maintenu un régime d’imposition favorable à la recherche en général et au développement des brevets et assimilés
Le régime fiscal des brevets ; le cham d’application des PVLT(BOFIP)
Le régime fiscal des brevets /le régime fiscal de la cession ou concession
Pour lire et imprimer la tribune cliquer
Dans un arrêt didactique du 27 février 2013 , le conseil d état a précise les conditions d’application du régime de plus value à long terme applicable
03:19 Publié dans Plus value à court ou long terme | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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06 mars 2013
TVA l’affaire VELECLAIR gagnée à Luxembourg
Un importateur peut t il demander le remboursement de la TVA due à l’importation mais qui est restée impayée ?
MISE A JOUR MARS 2013
08/03/2013 : TVA - Déductibilité de la TVA à l'importation
L'article 64 de la loi n° 2012-1510 de finances rectificative pour 2012 prévoit que la déductibilité de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) à l'importation n'est plus conditionnée au paiement préalable de la taxe mais à son exigibilité. Ainsi, la TVA dont les redevables peuvent opérer la déduction est celle qui est "due" à l'importation, et non plus celle qui est "perçue" à l'importation (CGI, art. 271, II-1-b).
04:04 Publié dans T.V.A., TVA EUROPE, TVA FRANCE | Tags : arrêt cjue du 29 mars 2012 c 10414 | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer |
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05 mars 2013
France 2013 : les nouvelles fractures
Le sondage IPSOS ayant été auto censuré par notre presse libre, nous le difffuson pour info
France 2013 : les nouvelles fractures
mise à jour mars 2013
DEBAT En France, la résignation avant la révolte sociale ?
Pierre Ferracci est expert auprès des syndicats. Raymond Soubie auprès des directions d'entreprise. Pour « Les Echos », ils ont accepté d'échanger leurs points de vue sur la montée du chômage, les restructurations et l'accord emploi. Ils s'inquiètent tous les deux du climat social, lourd de menaces.
Sciences Po vous invite 26 mars
X X X X X
L'enquête d'Ipsos, intitulée "France 2013 : les nouvelles fractures" et réalisée avec le Centre d'études politiques de Sciences Po (Cevipof) et la Fondation Jean-Jaurès, ne confirme pas seulement les tendances lourdes de l'opinion publique.
France 2013 : les nouvelles fractures
A l'évidence, la crise économique et sociale de ces dernières années les a consolidées.
On savait les Français très préoccupés par l’emploi et le pouvoir d’achat ; les résultats de l’enquête mettent en évidence un autre mouvement : le profond repli de l’opinion qui atteint en ce début d’année 2013 un niveau jamais égalé.
Ce mouvement se caractérise par une très forte défiance à l’égard du monde extérieur et d’autrui. Pour 78% des personnes interrogées, « on n'est jamais trop prudent quand on a affaire aux autres », 58% pensent que « la France doit se protéger davantage du monde d’aujourd’hui plutôt que de s’ouvrir au monde extérieur ». On observe parallèlement un important rejet du système démocratique et médiatique.
Pour 62% des Français, « la plupart des hommes et des femmes politiques sont corrompus » contre seulement 38% pour qui il s’agit d’un phénomène minoritaire. 58% estiment que les journalistes font mal leur travail et 72% qu’ils ne parlent pas des vrais problèmes des Français.
Les attentes de l’opinion se positionnent pour un renforcement de l’autorité politique et de l’échelon national. 87% des Français sont d’accord avec l’idée selon laquelle « on a besoin d’un vrai chef en France pour remettre de l’ordre » ; 65% estiment que pour faire face aux grands problèmes à venir il « faut renforcer les pouvoirs de notre pays quitte à limiter ceux de l’Europe ».
L’historien Michel Winock commente l étude « France 2013 : Nouvelles Fractures » et décrypte l’état d’esprit «délétère» et «angoissé» des Français.
11:05 Publié dans Politique fiscale | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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