09 juillet 2013
Usufruit temporaire : un point civil et fiscal d’étape
rediffusion avec maj Le démembrement de la propriété immobilière et mobilière est à la mode tant pour les particuliers que pour les entreprises notamment pour les avantagesd économiques et financiers que ce régime légal peut apporter à défaut de financement bancaire
Un usufruit très temporaire mais abusif
ce régime fiscal a été profondément modifié en décembre 2012
mise à jour 2013
Article 15 de loi de finances rectificative pour 2012 (n° 403),
Modification des modalités d’imposition de la cession
à titre onéreux d’usufruit temporaire clisuer
La cession d’un usufruit à une société est toujours temporaire
Question N° : 15540 de M. Jérôme Lambert cession d'usufruit
Réponse du 02/07/2013
Mise à jour septembre 2012
La cession temporaire d’un usufruit est elle une plus value LT ou un bénéfice ordinaire ?
17:38 Publié dans aa SUCCESSION internationale, Abus de droit: les mesures, Démembrement, Fiscalite des valeurs mobilières ( RCM et P.V.), Fiscalité Immobilière, Frais financiers et Financement, Imposition du patrimoine, SUCCESSION et donation, usufruit temporaire | Tags : usufruit démembré | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer |
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Rapport d’activité 2012 de la Direction Générale des Finances Publiques
le rapport d'activité 2012 de la DGFIP
cliquer
Fraude fiscale : l'administration souhaite harmoniser le traitement des contribuables Les ECHOS Elsa Conesa 09.07
Note de P Michaud ; ce rapport de la DGFIP est techniquement didactique et montre le désir de transparence de cette administration de la République mais il est dommage que d’une part la distinction en valeur € entre les rectifications sur dossier et sur place (les vérifications fiscales stricto sensu ) ne soient plus publiéesd’autre part que le taux de recouvrement fiscal – qui est une des preuves de l’adhésion des français à la politique fiscale –si elle existe ?- ne soit pas indiqué
Chaque ami d’EFI jugera suivant sa conviction..
Par ailleurs, il serait souhaitable que les statistiques de la répression n’indiquent plus uniquement le nombre de plaintes contre les maçons turcs mais d'abord la nature des poursuites et les modalites des fraudes sanctionnées un peu comme le rapport du comité des abus de droit.il ne s’agit pas de voyeurisme mais de prévention. la modélisation de la présentation actuelle date des années 1970 époque ou la DGI faisait de la décimation par groupe socio professionnel pour déjà foutre la trouille
Par ailleurs et SURTOUT, pour quelles raisons ce formidable travail de la DGFIP n’est pas poursuivi au niveau des autres prélèvements obligatoires notamment au niveau des prélèvement sociaux et de leurs affectation qui représentent plus de 24% du PIB alors que celui de l'Etat pèse un petit 17% ( un point de PIB représentant 20MM€) , contrairement à notre pensée unique je pense que notre déclin provient d'abord des prélèvement sociaux obligatoires mais ceux ci sont controlés non par des administrations d'etat proyégeant l'intérêt général de la FRANCE mais par des organisations professionnelles protégeant elles des intérêts corporatistes ( à vos tomates)
Que veulent donc protéger les pouvoirs politiques par ce secret
LIRE LA SUITE CI DESSOUS
07:54 Publié dans Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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07 juillet 2013
Sénat: secret bancaire et coopération fiscale
Audition par la commission des finances du sénat
Mme Ursula Plassnik, cliquer
Ambassadeur d'Autriche en France,
M. Édouard Marcus, cliquer
sous-directeur de la direction de la législation fiscale,
M. Pascal Saint-Amans, cliquer
directeur du Centre de politique et d'administration fiscales de l'OCDE
Au cours d'une réunion tenue le matin 3 juillet , la commission a procèdé à l'audition conjointe, sur le thème de « la coopération fiscale internationale face à l'érosion des bases fiscales », de M. Edouard Marcus, sous-directeur de la direction de la législation fiscale, Mme Ursula Plassnik, ambassadeur d'Autriche en France, et M. Pascal Saint-Amans, directeur du Centre de politique et d'administrations fiscales de l'OCDE.
Intervention de M. Pascal Saint-Amans, ( OCDE) . –
S'agissant de BEPS, à lre dans le compte rendu
En ce qui concerne les échanges automatiques de données,
Intervention de Mme Plassnik, ambassadeur de la République d'Autriche en France.
, l'Autriche utilise ce qu'elle appelle une « conditionnalité externe », qui englobe les territoires associés et dépendants à d'autres États. A nos yeux, il est indispensable que ces derniers respectent, eux aussi, les standards de l'OCDE. Cette obligation visera, par exemple, les quatorze territoires associés de la Grande-Bretagne. De même, la question de certains États fédérés américains comme le Wyoming ou le Delaware n'est posée par personne alors qu'elle le mériterait.
Intervention de M. É Marcus, sous-directeur de la direction de la législation fiscale. –
Mme Ursula Plassnik. Sa position sur la politique autrichienne
M. Édouard Marcus, la définition des informations pertinentes
19:15 Publié dans a secrets professionnels, BEPS, DELAWARE, Echange automatique FATCA, immeuble detenu par societés étrangères, OCDE, Suisse, Traités et renseignements, Union Européenne | Tags : la coopération fiscale internationale | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer |
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04 juillet 2013
«Elite Academy, enquête sur la France malade de ses grandes écoles»,
«Elite Academy, enquête sur la France
malade de ses grandes écoles»,
Peter Gumbel,
Denoël, Paris, 2013, 170 pages
cliquer
Culture d’élites Par Catherine Dubouloz
Journaliste au Temps (CH) cliquer
Dans un ouvrage au ton corrosif, le journaliste anglais Peter Gumbel critique le système de formation des élites françaises, largement issues de l’ENA et de Polytechnique. Il estime que les méthodes d’enseignement, basées sur l’autoritarisme et la soumission, tuent la créativité et favorisent les blocages
La France est «malade». Pour partie, son mal-être, ses blocages et son déclin proviendraient de la manière dont est formée l’élite du pays, notamment à l’ENA (l’Ecole nationale d’administration) et à l’Ecole polytechnique.
«Des esprits brillants, pleins de confiance et parfois d’arrogance», qui deviennent ensuite ministres, conseillers ministériels, hauts fonctionnaires ou PDG des grandes entreprises françaises. Des hommes et quelques femmes qui ne sont pas nécessairement taillés professionnellement pour ces postes, même s’ils ont obtenu de brillants résultats scolaires. «Ce jeu est néfaste pour la nation tout entière», soutient le journaliste anglais Peter Gumbel, qui vit à Paris depuis onze ans.
13:49 Publié dans Politique fiscale, Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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03 juillet 2013
Droit des successions: Suisse -France
Questions pratiques en droit successoral France- Suisse
et le règlement européen sur les successions
par Me Dominique Naz, Notaire à Douvaine,
chargé d’enseignement à l’Université de Grenoble
Me José-Miguel Rubido, Notaire à Genève, docteur en droit
Cette étude extrémement complete nous a ete fournie gràce à notre ami Christian nous pouvons tous le remercier
Le règlement d’une succession, en particulier d’une succession internationale, peut s’avérer extrêmement complexe. Au-delà de problèmes purement juridiques, notamment de droit applicable ou de droit fiscal, le praticien chargé du règlement d’une succession internationale se trouve souvent confronté à des questions pratiques.
Notamment, comment faire reconnaître dans son pays un testament qui se trouve à l’étranger? Comment légitimer à l’étranger les héritiers? Quelle est l’étendue du pouvoir de l’exécuteur testamentaire à l’étranger?
II. Principes généraux en droit international privé
01:25 Publié dans aa SUCCESSION internationale, SUCCESSION et donation, Suisse | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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01 juillet 2013
IRS the swearing out
Que se passe t il donc chez nos amis américains ?
Traqués par l’irs, de nombreux us Citizens, domiciliés depuis de nombreuses années en dehors des usa ou même n’ayant avec les usa qu’un lien de naissance, né aux usa ou nés de parents américains répudient la nationalité de la première puissance du monde.
Ou est donc cette époque quand de nombreuses femmes désiraient faire naitre leur enfant aux usa pour que celui-ci puisse bénéficier du passeport vert ?
Les expatriés américains en plein cauchemar bureaucratique
Les Américains expatriés n'en peuvent plus: un nouveau formulaire, le 8938, a été introduit en 2012 pour appliquer FATCA.
Le 23 juillet 2013, American Citizens Abroad (ACA) a écrit au Sénat pour militer en faveur de la taxation sur la base de la résidence
les formulaires du FBAR (Foreign Bank account report),
American Citizens Abroad (ACA),
Americans Giving Up Passports Jump Sixfold as Tougher Rules Loom
(source Bloomberg cliquer )
la liste publique des swearer out
l'abandon de la nationalité us en suisse
Les témoignages sont nombreux comme vient de le révéler le journaliste Ludovic Hirtzmann du Temps
En vertu de la section 349 de l’Immigration and Nationality Act, chaque candidat à la renonciation de nationalité doit rencontrer un agent consulaire. Il doit verser 450 dollars de frais administratifs, puis rendre son passeport. Vient ensuite le serment de renonciation à la nationalité. «C’est similaire à un divorce. C’est une procédure très longue.
CHAPTER 3 -- LOSS OF NATIONALITY
INA: act 349 - loss of nationality by native-born or naturalized citizen
En france , nos politiques sont plus malins,les canditats au départ doivent payer , ceux qui sont en dehors ont la trouille d'y mettre un petit doigt sauf de courageux immigrés cherchant un minimum vital , dommage n'est ce pas ?
12:27 Publié dans USA et IRS | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer |
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La DELAWARE Inc et l’acte anormal de gestion
Cet arrêt très didactique marque t il le début d’un frein à une large évasion fiscale internationale sous la forme d une légalité apparente n’en déplaise a nos amis les fiscalistes libertaires Mais comment connaitre les UBO d’une Delaware ? Qu’en pense l’OCDE ? le Delaware va t il être blacklisté ???? L'UE va t elle se mettre à dos nos amis américains ?? Quant à la SA suisse avec son impot anticipé c'est du lointain passé
Cour Administrative d'Appel de Marseille, 18/06/2013,10MA01250,
lire ci dessous
M. LOUIS, président M. GUIDAL, rapporteur public
Par ailleurs, il n’est pas dit un mot d’une imposition à la taxe de 3% ou à l’impôt sur la fortune
Taxe de 3% et LLC américaine du Delaware
Les paradis de l’anonymat?
Evasion fiscale : le rapport Global Shell Games (2012)
Exploring the role delaware plays as a domestic tax haven
Document: l’étude du professeur Jason Sharman
le site de l'état du Delaware
Behind the corporate veil
using corporate entities for illicit purposes
Le rapport du peer review group sur les USA
La situation de fait
la société de droit américain “ Putao Corporation “, dont le siège social est situé dans l’Etat du Delaware, a acquis en 1988 un terrain d’une surface d’environ 3 hectares à Gassin (Var) sur lequel elle a fait construire en 1989 une villa d’une surface habitable de 296 m², qui a fait l’objet de réaménagements et d’améliorations en 1997 ;
cet immeuble a été donné en location à un couple de ressortissants britanniques, M. et Mme B..., moyennant des loyers de 138 538 F en 1998, 138 254 F en 1999 et 140 546 F en 2000 ; Le montant des loyers ainsi encaissés a fait l’objet de déclarations, par la société requérante, au titre de l’impôt sur les sociétés ;
à la suite de la vérification de comptabilité dont la société “ Putao Corporation “ a fait l’objet, celle-ci s’est vu notifier des redressements, à raison de l’acte anormal de gestion qu’elle avait commis en consentant une location de la villa sise à Gassin pour un loyer notoirement inférieur au prix du marché, le service procédant à la réintégration dans les résultats de la société de sommes dont le montant correspond à la partie des loyers qu’elle aurait dû percevoir et dont elle s’était ainsi privée ;
10:55 Publié dans Acte anormal de gestion, DELAWARE, immeuble detenu par societés étrangères, USA et IRS | Tags : delaware et fraude fiscale, cour administrative d'appel de marseille, 18062013, 10ma01250 | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer |
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30 juin 2013
Les tribunes EFI de juin 2013
LES TRIBUNES EFI
de JUIN 2013
les tribunes sont dessous
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Comité des abus de droit : du nouveau pour bientôt ? Lien permanent
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Observatoire économique,budgétaire et fiscal EFI Lien permanent
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Trust la façade de la légalité par Myret Zaki de BILAN CH Lien permanent
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Les US non résidents se rebellent contre FACTA Lien permanent
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UE coopération administrative fiscale renforcée depuis le 1er janvier 2013 Lien permanent
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G8 A courtois blablabla dans une tea party Lien permanent
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Conseil d'état le rapport 2012 Lien permanent
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Sur l obligation de soulever un moyen d’ordre public!! à suivre Lien permanent
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Les Avocats de France se rebellent contre une loi liberticide Lien permanent
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Reconnaissance de dette fiscale et prescription ? Lien permanent
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La Suisse renonce au secret bancaire BUT IF.. Lien permanent
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Territorialité des provisions ; l’arrêt BNP CE 12/06/2013 Lien permanent
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UE Lutte contre la fraude :le programme Lien permanent
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Technique budgétaire Le déficit se creuse. Pourquoi ? Lien permanent
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Valeur en douane à l'importation avec Martine Berthelot Lien permanent
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USA l’échange automatique contesté Lien permanent
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Echange automatique par les iles britanniques Lien permanent
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Nicolas Pictet : la fin de la sécurité du DroitLien permanent
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La Suisse et les Etats-Unis et l'accord FATCA Lien permanent
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secret bancaire , legal privilege, secret d'avocat et OCDE Lien permanent
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AFF Cahuzac/ Les auditions de la DGFIP Lien permanent
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Succession internationale: lieu d'imposition Du nouveau??? Lien permanent
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ISF Arabie saoudite, Koweït Lien permanent
21:40 Publié dans a)Historique des tribunes, aa TRUST ; REGIME FISCAL ET JURIDIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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25 juin 2013
Trust la façade de la légalité par Myret Zaki de BILAN CH
Grâce aux dispositifs insubmersibles de trusts et de sociétés, qui utilisent plusieurs juridictions, l'industrie offshore anglo-saxonne parvient à soustraire des masses d'avoirs au fisc sous une façade de légalité.
Offshore: évader le fisc, cela s'achète cliquer
Le problème du monde offshore aujourd'hui, que l'opération Offshore Leaks, à elle seule, ne résoudra pas, c'est que les plus grandes fortunes peuvent s'acheter l'apparence de la légalité, tout en créant des structures qui défiscalisent les gains, la fortune et la succession.
En comparaison, le secret bancaire suisse, qui reposait sur la seule discrétion du banquier, était un dispositif beaucoup plus simple et relativement bon marché pour cacher son argent au fisc. Il a été attaqué et invalidé dans son rôle de protection des évadés fiscaux.
Mais les autres techniques qui protègent l'évasion fiscale, bien plus coûteuses et complexes, sont celles qui dominent aujourd'hui le monde de l'offshore, sans partage.
Il s'agit des montages anglo-saxons de trusts et de sociétés offshore.
Bien plus efficaces que le secret bancaire suisse et bien plus protégés
MAIS PAR QUI ???
08:14 Publié dans aa TRUST ; REGIME FISCAL ET JURIDIQUE, aaa Les rapports, FRAUDE FISCALE, La preuve en fiscalité, perquisition fiscale et penale fiscale, TRUST et Fiducie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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22 juin 2013
Les US non résidents se rebellent contre FACTA
FATCA to be Discussed in the Senate
ACA is pleased to see that legislators in Washington are becoming aware of the very damaging and destructive Foreign Account Tax Compliance Act (FATCA) passed in 2010. ACA fully supports the US government's efforts to combat tax evasion. However, ACA believes that the FATCA legislation has gone too far and elements of the legislation are seriously damaging the US economy and the lives of Americans working overseas.
Senator Rand Paul (R-KY) announced recently (May 7th 2013) legislation to repeal FATCA and make a number of other changes to existing tax provisions.
ACA is concerned that the FATCA regulations are resulting in the lock-out of banking access for American clients who have legitimate reasons for maintaining financial investments overseas as well as, pushing investors away from the US capital markets. FATCA, in effect, treats all Americans living, working or investing overseas as suspect and this is having a serious negative effect on the ability of Americans working in the export industry overseas to create business opportunities for the US economy.
19:13 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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19 juin 2013
G8 A courtois blablabla dans une tea party
Au fait et le chômage, l’investissement, la sante etc
Pardon vos excellences de parler comme un simple citoyen
mais avez vous analysé NOS problèmes ???
En Ulster, l'OCDE présente au G8 une feuille de route en quatre étapes vers «un système vraiment multilatéral» d'échange automatique de renseignements fiscaux, clé de voûte de la lutte contre la fraude. (cliquer
Le nouveau rapport de l’OCDE intitulé
"A Step Change in Tax Transparency"
Des avancées décisives sont à ses yeux possibles d'ici mi-2014 Les recommandations de l’OCDE et GAFI sont dépourvues d'effets juridiques dans l'ordre juridique interne, dès lors que ces actes, émanant d'un organisme de coordination intergouvernementale, n'ont pas le caractère de convention internationale
Conseil d'État, 6ème et 1ère sous-sections réunies, 23/07/2010, 309993
Seule la commission européenne dont le mandat expire en juin 2014 a des pouvoirs sur les citoyens de l’union
Reste, comme le note une source européenne proche des négociations, «que cela ne sert à rien d'avoir l'échange automatique si on se heurte à des structures opaques».
Le legal privilege ou le secret professionnel sont ils soumis
à l'échange de renseignements
2013 Lough Erne G8 Leaders' Communique
Frédéric Donnedieu de Vabres, Chairman of Taxand. Cliquer
After much hype, the G8’s proposals around tax have been an anticlimax. While agreement on international transparency protocols and measures to combat tax evasion and aggressive tax avoidance were anticipated the G8 outcomes appear to be broad declarations and a lack of tangible action
Au coeur du coffre-fort asiatique Singapour
par Richard Werly – Journaliste cliquer
Nouvelle plaque tournante de la gestion de fortune, l’île-Etat asiatique a décidé à la mi-mai designer l’accord Fatca avec les Etats-Unis et d’échanger davantage d’informations fiscales via l’OCDECe parti pris d’une transparence accrue amène Singapour à concurrencer de plus en plus la placefinancière suisse. Une compétition renforcée par l’afflux sur place des banques helvétiquesL’envoyé spécial du TEMPS raconte les dessous de cette ascension
Tax systems – essential to fairness and prosperity for all
CI DESSOUS
21:52 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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Conseil d'etat le rapport 2012
16:03 Publié dans Rapports | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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18 juin 2013
Sur l obligation de soulever un moyen d’ordre public!! à suivre
EFI édite une lettre hebdomadaire que vous pouvez
recevoir en vous abonnant en haut à droite
Vers une remise en cause ?
Conseil d'État N° 340518 3 juin 2013
Les amis d’EFI savent tous qu’Un moyen d'ordre public est un moyen de légalité externe ou interne qui doit être automatiquement soulevé par le juge administratif malgré la règle de l'ultra petita et même si le requérant ne l'a pas invoqué. (Conseil d'Etat, 15 juillet 2004 n° 260751, Chabaud ).
Il peut s'agir du juge de première instance, du juge d'appel, du juge de cassation ou du juge des référés. (Conseil d'Etat, 25 Janvier 1995, Ministre de l’équipement). Les moyens d'ordre public peuvent également être soulevés par le requérant après l'expiration du délai de recours contentieux échappant ainsi à la jurisprudence du Conseil d'Etat Société Intercopie du 20 Février 1953, ou pour la première fois en appel. L'incompétence de l'autorité signataire d'une décision administrative, le défaut d'avis conforme, le défaut de consultation de certains organismes ou la méconnaissance du champ d'application de la loi sont les moyens d'ordre public le plus fréquemment rencontrés dans le contentieux de l'excés de pouvoir.
Le juge administratif communique alors les moyens d'ordre public qu'il soulève aux parties et leur fixe un délai pour y répondre. (Article R.611-7 du code de justice administrative).
MAIS un arrêt du CE du 3 juin 2013 remet il en cause ce principe protecteur
à la fois de l etat et aussi du citoyen ??
suite ci dessous
05:17 Publié dans Base du contentieux, Controle fiscal, PRESCRIPTION: reprise et remboursement | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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17 juin 2013
Les Avocats de France se rebellent contre une loi liberticide
Lors de son assemblée générale des 14 et 15 juin 2013, le Conseil national des barreaux a adopté une motion en réaction au projet de loi relatif à la lutte contre la fraude fiscale et la grande délinquance économique et financière, déposé le 24 avril 2013 et qui doit être examiné selon la procédure accélérée.
Fraude fiscale : la fin ne justifie pas les moyens
Editorial du MONDE cliquer
Aussi légitime que puisse être l'objectif de lutte contre la fraude fiscale, les dispositions de ce projet de loi portent une atteinte grave aux libertés publiques, individuelles et collectives.
Téléchargez ici la motion votée par l’assemblée générale du 15 juin 2013 (pdf).
Sous couvert de lutte contre la fraude fiscale et la grande délinquance économique et financière, une généralisation de la délation dans l’entreprise est organisée. En effet, une protection est garantie pour le « lanceur d’alerte » ayant « témoigné sur des faits constitutifs d’une infraction pénale dont il a eu connaissance dans l’exercice de ses fonctions » ou les ayant « relatés », cette disposition valant pour toute infraction pénale, sans distinction.
La fraude fiscale elle-même s’entendrait de toute opération internationale et donnerait aux enquêteurs des pouvoirs exorbitants.
Notamment :
16:42 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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Reconnaissance de dette fiscale et prescription ?
MISE A JOUR JUIN 2013
Conseil d'État, , 10/06/2013, 347095 Me DOUHAIRE
La reconnaissance, par le redevable de l'impôt, de l'exigibilité de sa dette s'entend de tout acte ou de toute démarche par lesquels celui-ci admet son obligation de payer une créance définie par sa nature, son montant et l'identité de son titulaire. Un courrier par lequel le contribuable se borne, pour en contester le bien-fondé, à mentionner cette créance, ne saurait à lui seul emporter une telle reconnaissance.
X X X X X X X
M. B..., dirigeant de sociétés, a cédé, le 10 janvier 2000, trois mille actions de la société anonyme La Rochelle Loisirs pour le prix de deux cent millions de francs ;
il a déclaré en 2001, dans le délai légal qui lui était imparti, la plus-value réalisée à l'occasion de cette cession ;
OR l'administration fiscale, ayant commis une erreur au détriment du Trésor public dans l'avis de mise en recouvrement des contributions sociales émis le 31 juillet 2001 au titre des revenus de l'année 2000, a mis en recouvrement le 31 décembre 2006 un montant de contribution supplémentaire de 2 558 438 euros c'est-à-dire à une date en principe prescrite
Le contribuable conteste et le conseil juge in fine
Conseil d'État N° 348135 17 mai 2013
La tribune sur le délai de reprise
Un acte d'un contribuable ne peut être regardé comme comportant reconnaissance de sa dette fiscale et comme ayant, par suite, un effet interruptif de prescription en vertu de l'article L. 189 du livre des procédures fiscales (LPF) que s'il s'agit d'un acte ou d'une démarche par lesquels le redevable, postérieurement, le cas échéant, au délai légal de déclaration et spontanément ou en réponse à une demande régulière de l'administration, se réfère clairement à une créance fiscale définie par sa nature, son montant et l'identité de son créancier.
01:43 Publié dans CONTENTIEUX FISCAL, PRESCRIPTION: reprise et remboursement | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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