18 août 2017
Observatoire fiscal économique et budgétaire EFI 2017
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lettre EFI du 13 MARS 2017 (1).pdf
mise à jour août 2017
Dépenses publiques France versus Allemagne
En 2015, les dépenses publiques représentent 57 % du PIB en France, contre 44 % en Allemagne.
Entre 1996 et 2002 cet écart n’était que d’environ 5 points de PIB.
Une différence de 13 points qui ne manque pas d'inquiéter les économistes, car, en 2002, cet écart n'était que de 5 points de PIB. Dans une étude publiée cet été, les économistes de la Banque de France se donc intéressés aux raisons de cette divergence croissante. Pour eux, « le moindre dynamisme de la croissance du PIB par habitant en France sur la période 2002-2015 explique pour moitié la divergence du ratio de dépenses par rapport au PIB entre les deux pays. Contrairement à l'Allemagne, le dynamisme des dépenses publiques par habitant n'a pas été freiné, alors que le contexte économique peu favorable limitait la croissance des recettes. »
Décomposées par secteur, les dépenses publiques ont constamment été plus importantes dans l'Hexagone dans la santé, l'enseignement et la défense. (lire l analyse des échos)
Le rapport de la banque de France (aout 2017)
Chiffres clés de l’Europe Statistiques sur les finances publiques en europe
Depuis lors, la croissance du PIB/habitant, moindre en France, ne s’est pas accompagnée d’un moindre dynamisme des dépenses publiques par tête. L’Allemagne a davantage contenu ses dépenses publiques, en menant des réformes fortes, tout en affichant une croissance par tête plus soutenue. Ceci explique pour moitié la divergence des ratios de dépenses publiques. Une décomposition par fonction des dépenses montre que certains écarts, dus notamment à des facteurs démographiques ou d’organisation public/privé, ont peu varié (enseignement, santé, défense), tandis que d’autres se sont creusés, en particulier les dépenses de retraite, qui méritent attention.
Les plus faibles en Bulgarie et en Roumanie, les plus élevés au Danemark et en Belgique
mise à jour mars 2017
Délégation sénatoriale à la prospective
Rapport d'information de M. Pierre-Yves COLLOMBAT, fait au nom de la Délégation sénatoriale à la prospective, déposé le 9 février 2017
Une crise en quête de fin - Quand l'Histoire bégaie
« Car nous vivons une situation paradoxale : aujourd'hui, le risque d'un krach financier d'ampleur équivalente à celui de 2007 n'a pas diminué, bien au contraire. Les quelques dispositions destinées à rendre le système moins instable qui ont pu lui être imposées sous le coup de l'émotion, non seulement ont laissé intact l'essentiel mais ont été largement compensées par les effets négatifs du traitement de la crise. Et pourtant, le danger pourrait plutôt provenir d'événements politiques collatéraux engendrés par la prolongation de la crise économique : l'incapacité structurelle du système à se réformer et le désaveu populaire qui en résulte et qui s'exprime au travers de ce qui ressemble fort à des « émeutes électorales ».
Australia | Austria | Belgium | Canada | Chile | Czech Republic | Denmark | Estonia | Finland | France | Germany | Greece | Hungary | Iceland | Ireland | Israel | Italy | Japan | Korea | Latvia| Luxembourg | Mexico | Netherlands | New Zealand | Norway | Poland | Portugal | Slovak Republic | Slovenia | Spain | Sweden | Switzerland | Turkey | United Kingdom | United States |
février 2017
Le sénateur Patrick McHenry demande à la Fed de cesser toute discussion portant sur la régulation bancaire au niveau international.
"Nous pouvons constater chacun à notre niveau que l’avenir du commerce international est de plus en plus remis en question. Nous faisons face aujourd’hui à un vent de contestation inédit des bénéfices de l’ouverture commerciale. Les opinions publiques se sentent mises à l’écart des gains du libre-échange. Cette contestation amène en particulier notre partenaire américain à prendre des décisions unilatérales protectionnistes qui pourraient bien déstabiliser l’économie mondiale dans son ensemble "
Le discours de Michel Sapin Le dossier de presse
janvier 2017
Quelles seront les assiettes de nos prélèvements obligatoires
Selon l'Insee, le PIB a augmenté de 1,1% sur l'ensemble de l'année dernière alors que le gouvernement tablait sur une hausse de 1,4%.
Les avertissements de la cour des comptes aux politiques cliquez
Lire le discours du Premier président
« Le redressement de nos comptes publics est encore loin d’être acquis et nos finances publiques sont encore fragiles et vulnérables », a indiqué le Premier président Didier Migaud à l’occasion de l’audience solennelle de rentrée
. Ce redressement « n’est pas obligatoirement une fin en soi, mais elle est une condition sine qua non de la préservation et du renforcement de nos services publics », a-t-il ajouté.«Aux élixirs d'alchimiste, les magistrats de la Cour des comptes recommandent et continueront de recommander de substituer de vrais remèdes» Pour que le futur exécutif parte sur de bonnes bases, Didier Migaud a d'ailleurs déjà programmé un «audit général des finances publiques» qu'il présentera au futur président en juin…
INSEE L’analyse des salaires privés et publics en France (2014)
Pour quelle raison l’INSEE ne révèle PAS le salaire médian mais uniquement le salaire moyen ???
octobre 2016
l’objectif de dépenses fiscales pour 2016 atteindrait 85,8 Md€ :
le rapport officiel
Le rapport officiel sur le prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu
Quatre Français sur dix ont fait les frais du « choc fiscal » Par Patrick Roger
Pour la première fois, la direction du Trésor se livre à un bilan d’ensemble des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires – portant sur les ménages – intervenues entre 2012 et 2017. Et elle examine leurs effets redistributifs. Cette étude constitue un des chapitres du rapport économique, social et financier (RESF) (page 169)qui accompagne le projet de loi de finances pour 2017.
Les mesures évaluées ont accru la redistributivité du système socio-fiscal français, via la hausse des transferts à destination des ménages modestes et la plus grande contribution des ménages aisés
Selon le Trésor, les mesures de hausses des prélèvements obligatoires portant sur les ménages ont représenté 26 milliards d’euros cumulés sur 2012 et 2013, soit environ 2 % du revenu disponible brut des ménages
quelle sera l assiette de nos prélèvements obligatoires demain ?
Le FMI prévoit une croissance mondiale modérée et avertit que la stagnation économique pourrait alimenter les appels au protectionnisme
Une croissance forte, durable, équilibrée… Ce retour à meilleure fortune que les dirigeants de la planète ne cessent d’appeler de leurs vœux « nous échappe toujours ». Présenté mardi 4 octobre, le dernier cru des Perspectives économiques mondiales du Fonds monétaire international (FMI) esquisse une reprise en dents de scie sur laquelle pèsent des risques toujours prononcés. « La croissance est trop faible depuis trop longtemps, et dans de nombreux pays, ses bénéfices touchent trop peu de monde », a résumé le chef économiste de l’institution, Maurice Obstfeld, devant la fine fleur de la finance mondiale réunie cette semaine à Washington pour les assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale.
Le rapport du FMI in french (04.10.16) Le rapport du Minefi sur la france (04.10.16)
MAIS De l’optimisme par la direction du trésor
La situation économique à l’été 2016 :
une croissance modérée gagnant graduellement en dynamisme
A chacun de vous de décider
Quatre Français sur dix ont fait les frais du « choc fiscal » Par Patrick Roger
Pour la première fois, la direction du Trésor se livre à un bilan d’ensemble des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires – portant sur les ménages – intervenues entre 2012 et 2017. Et elle examine leurs effets redistributifs. Cette étude constitue un des chapitres du rapport économique, social et financier (RESF) (page 169)qui accompagne le projet de loi de finances pour 2017.
Les mesures évaluées ont accru la redistributivité du système socio-fiscal français, via la hausse des transferts à destination des ménages modestes et la plus grande contribution des ménages aisés
Selon le Trésor, les mesures de hausses des prélèvements obligatoires portant sur les ménages ont représenté 26 milliards d’euros cumulés sur 2012 et 2013, soit environ 2 % du revenu disponible brut des ménages.
Octobre .16 Cour des comptes les aides à l’emploi ; une efficacité mitigée
La structure du marché du travail en France pénalise tout particulièrement les jeunes. Leur durée d’accès à un emploi stable s’est allongée ; ils sont plus confrontés à la précarité dans l’emploi et au temps partiel subi ; leur taux de pauvreté est élevé. Depuis plusieurs décennies, de très nombreuses aides, mises en œuvre par des opérateurs multiples, ont été déployées pour corriger cette situation. Ce système d’aides publiques présente un coût élevé (10,5 Md€ en 2015) et croissant, mais les résultats obtenus du point de vue de l’accès à un emploi durable ne sont à la mesure ni des objectifs affichés, ni des moyens mobilisés.
Les aides à l'embauche : un outil efficace de soutien à l'emploi ? Trésor-Éco n°176
Des réflexions de reformes pour demain
QUELS PRINCIPES POUR UNE FISCALITÉ SIMPLIFIÉE ?
Par France Stratégie (premier ministre)
Par-delà leur niveau élevé, cohérent avec celui de la dépense publique, les prélèvements obligatoires français se singularisent par le fait qu’ils reposent plus lourdement qu’ailleurs sur le travail et l’appareil productif.
La contrepartie en est un moindre recours à la TVA et une plus faible imposition sur les revenus des personnes physiques.
De son côté, la fiscalité du capital tend à favoriser plutôt l’investissement immobilier que la prise de risque dans l’économie productive.
Les revenus fonciers comme ceux tirés des livrets d’épargne peu risqués bénéficient d’avantages fiscaux importants alors que les dividendes et les plus-values mobilières sont plus lourdement taxés que chez nos partenaires.
Plus généralement, en de nombreux points, l’équilibre entre redistribution, incitation et attractivité du système fiscal est incertain : l’impôt sur les sociétés combine taux facial élevé et rendement moyen ; l’impôt sur le revenu est de plus en plus concentré sur les hauts revenus, tout en étant régressif pour les revenus supérieurs à 1 million d’euros. Il rapporte aujourd’hui moins que la CSG dont le taux est proportionnel ; bien qu'en progression continue, la fiscalité environnementale reste sous utilisée ; la forte croissance des activités numériques, dans un contexte d’économie mondialisée, présente le risque d’une érosion importante des bases fiscales.
Le système fiscal apparaît enfin excessivement complexe et trop souvent peu cohérent. Le nombre de prélèvements, leurs règles de calcul d’assiette comme l’empilement des niches fiscales brouillent sans cesse davantage la lisibilité du système. Ceci suscite de la frustration chez les contribuables et nuit à l’attractivité du pays.
aout
Les aides à l'embauche : un outil efficace de soutien à l'emploi ? Trésor-Éco n°176 -
La politique de soutien aux services à la personne Trésor-Éco n°175 –
juillet 2016
Dette, déficit et dépenses publiques : quelles orientations ?
Si elle entend réduire significativement l’endettement public, la France devra dans les dix ans à venir conduire un ajustement supplémentaire, compris entre 2 et 4 points de PIB.
Le rapport de France stratégie
(premier ministre juillet 2016) HTLM
La note Enjeux de la thématique « Dette, déficit et dépenses publiques : quelles orientations ?«
Les données de la note enjeux de la thématique « Dette, déficit et dépenses publiques : quelles orientations ?«
note EFI ce document officiel des services du premier ministre est sorti le 13 juillet et n a quasiment pas été repris par notre presse alors m^me qu'il est d'une énorme sévérité pour l'ensemble des politiciens
«La dette publique française atteint un niveau
sans précédent depuis l'après-guerre»:
À la fin du deuxième trimestre 2016, la dette publique s'établit à 98,4 % du PIB
et a augmenté de 31,7 Md€ par rapport au trimestre précédent (source INSEE)
le bilan de la France au 31.12.15.PDF
Ocde les prélèvements obligatoires
Lettre de la direction du trésor juin 2016
« Concurrence sociale des travailleurs détachés en France: fausses évidences et réalités »
Un travailleur détaché est un salarié envoyé temporairement par son employeur sur le territoire d'un autre État membre de l'Union que celui dans lequel il travaille habituellement et où son employeur est implanté. À la différence des travailleurs migrants qui relèvent du principe communautaire de libre circulation des personnes, le détachement de travailleurs s'appuie sur le principe de libre prestation de services. La France est le deuxième pays d'accueil en Europe après l'Allemagne, avec 229 000 salariés détachés en 2014, soit moins de 1 % de la population active française.
Loi de règlement du budget 2015)
Le rapport RABAULT (AN PS ) le rapport De MONGOLFIER ( Sénat PR)
Rappel EFI les PO de l’état ne représentent que 14 % du PIB (hors SCG + de 2 % )alors que les PO sociaux –peu contrôlés et peu diffusés plus de 25% !!!!! Ces deux rapports sont donc INCOMPLETS
I Comparaison internationale des prélèvement obligatoires 2015 18.01.2016)
FICHE 9 : L’ÉVOLUTION DE LA RÉPARTITION DES PRÉLÈVEMENTS OBLIGATOIRES ENTRE ENTREPRISES ET MÉNAGES
Les ménages ont subi plus fortement le choc fiscal que les entreprises
Rapport V RABAULT (projet de loi de règlement du budget 2015
L’annexe sur ce point au rapport
Entre 2007 et 2015, la part des prélèvements des ménages dans le PIB est passée de 22,91 % à 25,45 %.(+ 110 MM °Celle des entreprises a commencé à baisser en 2014 avec le pacte de responsabilité et le CICE. (+ 46 MM€ soit 18,6%
L’importante nouvelle est la baisse des cotisations sociales « entreprises »
Lire l’analyse synthétique de notre amie INGRID FEUERSTEIN
juin 2016
La situation et les perspectives des finances publiques juin 2016
La Cour des comptes a rendu public, le 29 juin 2016, son rapport annuel sur la situation et les perspectives des finances publiques. En 2015, le déficit public s’est réduit de 0,4 point de PIB mais il reste élevé, à 3,6 % du PIB et la situation des finances publiques en France est plus dégradée que celle de nombreux pays européens. Pour 2016, la prévision de déficit public (3,3 %) est atteignable, en dépit de fortes tensions sur les dépenses de l’État. Cette réduction modeste ne permettra toujours pas de faire diminuer le poids de la dette dans le PIB. Les objectifs de déficit retenus pour 2017 à 2019, supposent une maîtrise sans précédent des dépenses publiques, alors qu’aucune indication n’est donnée sur les réformes à mettre en œuvre pour l’atteindre et qu’à l’inverse de nombreuses décisions récentes vont conduire à des dépenses supplémentaires importantes.
La situation et les perspectives des finances publiques (PDF, 5,29 MB)
Une reprise du mouvement de réduction du déficit public en 2015
Des comptes publics qui restent toujours plus dégradés que dans la moyenne de l’Union européenne
Les « économies » en dépenses : un effort réel mais nettement inférieur à celui affiché pour 2015
Un objectif 2016 de réduction du déficit public modeste et atteignable, des tensions très fortes sur les dépenses de l’État
Les perspectives de 2017 à 2019 affectées de fragilités majeures
L’apport des nouvelles règles européennes à la gouvernance des finances publiques
Lettre de la direction du trésor juin 2016
« Concurrence sociale des travailleurs détachés en France:
fausses évidences et réalités »
Un travailleur détaché est un salarié envoyé temporairement par son employeur sur le territoire d'un autre État membre de l'Union que celui dans lequel il travaille habituellement et où son employeur est implanté. À la différence des travailleurs migrants qui relèvent du principe communautaire de libre circulation des personnes, le détachement de travailleurs s'appuie sur le principe de libre prestation de services.
La France est le deuxième pays d'accueil en Europe après l'Allemagne, avec 229 000 salariés détachés en 2014, soit moins de 1 % de la population active française.
mai 2016
Le budget de l’État en 2015 (résultats et gestion)
le bilan de la france au 31.12.15.PDF
y compris les créances fiscales à recouvrer
94 MM€ brut et30MM€ de provisions soit 64 net
La Cour des comptes rend public, le 25 mai 2016, son rapport sur le budget de l’État en 2015, réalisé en application de l’article 58 de la loi organique relative aux lois de finances, sur la base notamment de 63 notes d’exécution budgétaire.
Le déficit budgétaire (70,5 Md€) est inférieur de 15,1 Md€ à celui de 2014. Une fois retraitée des éléments exceptionnels, cette diminution se limite toutefois à 0,3 Md€. La prise en charge par le budget de l’État du coût du Pacte de responsabilité et de solidarité et de la montée en charge du CICE a pesé sur l’évolution du déficit. Celui-ci reste élevé et représente l’équivalent de près de trois mois de dépenses.
L’évolution spontanée des recettes fiscales a été conforme aux prévisions, ce qui constitue un progrès, mais leur dynamisme a reposé en partie sur des éléments non reconductibles. Les prélèvements sur les recettes de l’État au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne ont diminué. Au total, les recettes nettes de l’État ont sensiblement augmenté.
La Cour formule dix recommandations, dont trois nouvelles recommandations relatives aux normes de dépenses, et constate cette année une mise en œuvre globalement satisfaisante des recommandations formulées les années précédentes.
Les recettes fiscales Les recettes non fiscales (
La hausse des recettes fiscales par rapport à 2014 est principalement la conséquence de leur évolution spontanée (à législation constante) qui s’est élevée à 4,7 Md€. Pour la première fois depuis 2011 l’évolution spontanée des recettes fiscales est positive. L’élasticité des recettes fiscales, qui se mesure par le ratio de leur taux de croissance à celui du PIB en valeur, atteint 0,9 en 2015. L’année 2015 marque un retour à la normale après trois années au cours desquelles l’élasticité avait été négative (avec en 2013 une valeur anormalement basse de -1,6). Au cours des trois années 2012 à 2014 de faible élasticité, la croissance du PIB en valeur était elle-même relativement faible. Le retour à une croissance économique plus forte en 2015 s’accompagne d’un retour à une élasticité proche de l’unité. La croissance spontanée des recettes fiscales en 2015
Remboursements et dégrèvements (PDF, 745,86 kB)
Les dépenses fiscales (PDF, 783,28 kB)
Le coût des dépenses fiscales en 2015 est évalué à 84,36 Md€, selon les chiffres figurant en annexe au projet de loi de finances pour 2016. Ce montant est supérieur de 2,42 Md€ au chiffrage publié un an auparavant dans le PLF 2015, 81,93 Md€.
Ces montants incluent le CICE dont le coût en 2015 a été sensiblement revu à la hausse entre les deux évaluations successives, 12,5 Md€ dans le PLF 2016 au lieu de 10,0 Md€ dans le PLF 2015. Hors CICE, le montant des dépenses fiscales en 2015 est presque inchangé (-0,08 Md€).
Note EFI les PO de l’état ne représentent que 15% du PIB alors que les prélèvements sociaux ,peu contrôles et peu commentés eux représentent plus de 25% du PIB.alors que la poids de l'IR et de l'IS est relativement un des plus faibles de l'OCDE
Comparaison internationale des charges fiscales 2015 (18.01.2016)
Taux et quotes-parts d'impôts dans différents pays de l'OCDE
ANSA Prélèvements obligatoires sur les revenus mobiliers
Comparaisons internationales des prélèvements obligatoires
Pierre Gattaz: «On a parfois l’impression de vivre dans un pays foutu, c’est terrible.»
Position diffusé par le Temps sur présentation de notre ami R Werly et autocensuré en France
Février 2016
Les chiffres qui font la France d'aujourd'hui
Dans les «Tableaux de l'économie française», l'Insee scrute chaque année la population, les revenus, les conditions de vie, les finances ou encore le système productif.
«Tableaux de l'économie française», édition 2016.
Un document qui condense des milliers de chiffres qui font la FranceCette véritable mine d'informations dresse, comme son nom l'indique, un panorama exhaustif de notre pays: outre rappeler les grands agrégats de notre économie, ils se plongent dans les quotidiens des citoyens et des entreprises. Des chiffres insolites en ressortent.
Sélection faites par Par Marie Visot journaliste
De notre amie Christina Tang de SHANGAI CLIQUEZ
Finance ministers say all tools are needed to sustain growth, but don’t call for coordinated spending
La France affiche des niveaux de productivité qui sont parmi les plus élevés de toute la zone OCDE ; en revanche, le taux de chômage y est toujours très supérieur à ce qu’il était avant la crise, ce qui, conjugué à la faiblesse du taux d’activité de la main-d’œuvre, contribue à l’atonie de l’emploi. Les priorités de réforme incluent la suppression des freins à la création d’emplois, ce qui passe notamment par une réduction des obstacles réglementaires à l’entrée dans les secteurs recélant un fort potentiel en matière d’emploi, et par un déplacement de la charge fiscale de façon à ce qu’elle pèse moins sur le travail.
Dans le contexte économique actuel, vaut-il mieux accélérer les réformes structurelles, assouplir davantage la politique monétaire ou pratiquer une relance budgétaire ? Les trois répond l’OCDE !
LE RAPPORT GENERAL développé à SHANGHAI
Quelles pourraient être les futures mamelles fiscales ??
L’immobilier ou/ et la TVA
En ce qui concerne l'immobilier comment relancer la construction immobilière , non délocalisable et créatrice d'emplois tout en reformant la fiscalité des plus values sans faire cacarder l'oie qui va se faire plumer ?? attendons juillet 2017
Le rapport de la direction du Trésor sur le poids des charges sociales en france
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Comparaison des systèmes de retraites /panorama international
Le COR compare dix pays représentatifs de la diversité des systèmes de retraite dans les pays développés : l'Allemagne, la Belgique, le Canada, l'Espagne, les États-Unis, l'Italie, le Japon, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Suède. Il présente, sous la forme de dix fiches thématiques, les principales caractéristiques des systèmes de retraite et les réformes depuis la crise, puis fait le point sur leur situation financière et leurs modalités de financement.
Cour des comptes référe publié le 15.02.16
Le dispositif de l'ISF-PME est inefficace
La Cour des comptes rend public, le 15 février 2016, un référé sur la dépense fiscale ISF-PME. Créé en 2007, ce dispositif permet aux contribuables investissant au capital d’une petite ou moyenne entreprise d’imputer une partie de cet investissement sur leur cotisation d’impôt de solidarité sur la fortune. La dépense fiscale correspondante est évaluée à 620 M€ en 2015, soit 11 % du produit de l’ISF. La Cour recommande que son efficacité soit mesurée régulièrement, au même titre que l'ensemble des mesures de soutien à l'investissement dans les PME et à l'innovation. Elle constate que son impact économique est incertain et que le traitement fiscal différencié entre investissement direct et investissement passant par un organisme de placement collectif peu justifié. Cela devrait conduire les pouvoirs publics à s'interroger sur le maintien en l'état de cette mesure et sur la place qu'elle occupe au sein du dispositif de soutien à l'innovation, à l'investissement et au financement en capital.
Enfin, la gestion des fonds fiscaux appelle des remarques quant au niveau élevé de leurs frais de gestion, à leurs performances financières décevantes et à leur communication commerciale, qui ne respecte pas toujours les règles de l'Autorité des marchés financiers.
La Cour formule quatre recommandations.
janvier 2016
sur l'évolution des assiettes des prélèvements obligatoires
I Comparaison internationale des charges fiscales 2015 18.01.2016)
Taux et quotes-parts d'impôts dans différents pays de l'OCDE
II F M I Les prévisions 2016
“L’époque où l’on considérait pour l’essentiel l’économie mondiale au prisme des pays avancés est révolue.”
Mr Obstfeld pose les vrais problèmes sans langue de bois en français
III Le rapport de la cour des comptes sur l’assurance chômage
Quelques réflexions !!!!
En ce qui concerne les recettes du régime d'assurance chômage, trois paramètres essentiels dépendent des décisions des partenaires sociaux, avec des enjeux dont l'ordre de grandeur peut être estimé :
la limitation de l'assiette des contributions à quatre fois le plafond de la sécurité sociale représente 800 M€ de pertes de recettes.
le taux des contributions est resté inchangé depuis 2007 : 0,1 point de cotisation représente un montant d'environ 500 millions d'euros.
la modulation des contributions : 1' ordre de grandeur des recettes nouvelles annuelles associées à une augmentation d'un point des cotisations patronales serait de 250 M€ pour les CDD et de 150 M€ pour l'intérim.En ce qui concerne les dépenses du régime d'assurance chômage, on peut identifier trois types principaux de paramètres, dont certains enjeux peuvent être chiffrés:
la durée d'affiliation requise: les dépenses relatives à l'indemnisation des droits de 4 à 6 mois représentent 6% de l'ensemble des charges d'indemnisation, soit 1,8 Md€ dont une partie serait toutefois, à défaut, à la charge des prestations de solidarité.
la durée maximale d'indemnisation: le coût supplémentaire de la durée maximale spécifique pour les plus de 50 ans est estimé à 1,08 Md€ par an; il serait réduit de 450 M€ si elle ne s'appliquait qu'aux plus de 55 ans.
le mode de calcul de l'indemnisation : La valeur d'un point du taux général de remplacement est de 422 M€.
Le principe «un jour cotisé, un jour indemnisé » a également un impact important : ainsi, le passage à un ratio de 0,9 jour indemnisé pour un jour cotisé représenterait une économie de 1,2 Md€ par an.
décembre 2015
Les prévisions de la banque de France pour 2105.2016 et 2017
La reprise de l’activité serait plus lente que prévu en juin
Le taux de chômage baisserait légèrement
Une consolidation budgétaire à poursuivre pour atteindre l’objectif de 3 % de déficit en 2017
septembre 2015
Comment va évoluer l’assiette fiscale de la France dans les prochaines années ?
LE RAPPORT MOODY'S
Rating Action: Moody's downgrades France's government bond ratings to Aa2 from Aa1; outlook changed to stable from negative Global Credit Research - 18 Sep 2015
"La principale raison de la décision de Moody de dégrader la note des obligations d'État de la France à Aa2 est la croissante clarté,(increasing clarity) de l'avis de Moody, que la croissance économique française restera faible à moyen terme, et l'obstacle que cela va poser pour toute remboursement de la dette élevée de la France dans un avenir prévisible. "(traduit par google)
L’analyse de Richard Werly (Genève)
Le paquebot France parvient, à forces d’économies, à maintenir sa ligne de flottaison. Mais sa trajectoire problématique liée à la forte dégradation passée de sa compétitivité, et l’alourdissement de son tonnage lié à la pénurie d’emplois et de cotisations pour compenser le paiment des retraites et des avantages sociaux, posent toujours un problème à long terme sur sa capacité à éviter les redoutables icebergs de la mondialisation
Destruction massive d’emplois en vue en Europe
A l’approche de décembre 2016, échéance à laquelle la Chine obtiendra le statut d’«économie de marché» à l’Organisation mondiale du commerce (OMC), les craintes se multiplient au sujet des conséquences d’un tel changement sur l’emploi en Europe et aux Etats-Unis. Un rapport publié vendredi par l’Economic Policy Institute (EPI), centre d’analyses basé à Washington, affirme que 3,5 millions de places de travail seront ainsi détruites en Europe entre 2017 et 2020, soit 1,8% du total.
Unilateral Grant of Market Economy Status to China Would Put Millions of EU Jobs at Risk
September 18, 2015 | By Robert E. Scott and Xiao Jiang | Report
L’alerte du TEMPS par Ram Etwareea
mai 2015
Les niveaux de vie en 2013 (INSEE 09.15)
les conséquences de la fiscalité sur le revenu disponible
En 2013, en France métropolitaine, le niveau de vie médian de la population s’élève à 20 000 euros annuels ; il est quasiment inchangé en euros constants par rapport à celui de 2012. L’évolution est différente selon la position dans l’échelle des niveaux de vie : en hausse dans le bas de l’échelle, le niveau de vie diminue dans le haut. Les 10 % des personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10 730 euros. Les 10 % les plus aisées ont un niveau de vie supérieur à 37 200 euros, soit 3,5 fois plus.
Le seuil de pauvreté, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s’établit à 1 000 euros mensuels. La pauvreté concerne 8,6 millions de personnes, soit 14,0 % de la population. Cette proportion diminue légèrement en 2013 (– 0,3 point) et l’intensité de la pauvreté baisse. En outre, les inégalités de niveaux de vie entre les plus modestes et les plus aisés se réduisent plus nettement sous l’effet d’un repli des revenus financiers.
C’est parmi les chômeurs et les adultes de moins de 30 ans que la pauvreté recule le plus.
Salaires dans le secteur privé et les entreprises publiques
En 2013, le salaire mensuel en équivalent temps plein (EQTP) dans le secteur privé ou dans les entreprises publiques est, en moyenne, de 2 912 euros bruts et de 2 202 euros nets des prélèvements à la source. (soit 710 € mois ou 8520 € an soit 32% du net )
Le salaire net médian s’élève à 1 772 euros par mois
Les salaires dans les fonctions publiques
INEDIT EFI
la répartition des revenus imposables de 0€ à plus de 9.000.000€ (2012)
Cour des comptes. / La masse salariale de l'Etat : enjeux et réformes
Le Haut Conseil des finances publiques a adopté, le 13 avril 2015, un avis relatif aux prévisions macroéconomiques associées au projet de programme de stabilité pour les années 2015 à 2018
Depuis quelques mois, la France et la zone euro bénéficient d’une conjonction de facteurs qui devraient soutenir la croissance à court et à moyen terme, au premier rang desquels la forte baisse du prix du baril de pétrole et la dépréciation de l’euro. Le « policy mix » est également plus favorable, avec un nouvel assouplissement de la politique monétaire de la BCE et un ajustement budgétaire dont le rythme moyen a fortement ralenti dans plusieurs pays européens.
Si les ingrédients d’une reprise sont là, entraînant notamment un redressement de la consommation des ménages, ils ne se sont pas encore traduits par une hausse sensible de la production. Au-delà du rebond en cours, l’enclenchement d’une reprise durable dépendra du comportement des agents économiques et supposera un redémarrage de l’investissement, qui n’est pas encore perceptible. Les incertitudes sont nombreuses sur l’ampleur et la pérennité de la reprise économique, dans un contexte où les risques financiers se sont accrus. Ce contexte plaide pour que le scénario de finances publiques soit fondé sur des hypothèses prudentes.
- Tableaux de l'Économie Française - Édition 2015
- les seuls chiffres objectifs non politiciens
- Accédez aux textes, tableaux et graphiques des 89 fiches, regroupées en 5 grands domaines et 20 chapitres :
- Evolutions des Prélèvements obligatoires en 2013
- Comparaison internationale des charges fiscales 2014 (PDF, 4 MB,
- Les bases de données de l’OCDE
Le rapport sur la fiscalité des ménages par MMr Lefebvre et Auvigne ou la réalité du poids de l’IR en France IR 3% du PIB ,GSG 4,5% , Comparaison internationale des charges fiscales 2014 (PDF) Les bases de données de l’OCDE
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Cour des comptes 11.02.15
rapport public annuel 2015 CLIQUER
La situation d’ensemble des finances publiques (à fin janvier 2015))
I - 2014 : un déficit public qui ne se réduit plus, des prévisions de croissance et d’inflation optimistes et révisées tardivement
Le déficit public s’accroît en 2014 alors qu’il devait diminuer
Un déficit qui augmente en France alors qu’il diminue en Europe
II - 2015 : un objectif limité de réduction du déficit public, à la réalisation pourtant incertaine
Un objectif de réduction du déficit fortement revu à la baisse
Une évolution des dépenses en valeur maintenue malgré une inflation plus faible
d) Les contentieux fiscaux
Le projet de loi de finances intègre un montant de remboursements de 2,2 Md€ au titre des contentieux fiscaux communautaires de masse25. Ce montant reste incertain car l’enregistrement des remboursements en comptabilité nationale dépend de la date de la décision de justice finale et du montant qu’elle retient. Une incertitude de même nature pèse sur la comptabilisation, non prévue dans le PLF pour 2015, du remboursement de 0,4 Md€ à Vivendi auquel l’État a été condamné en première instance.
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Les réformes de l'impôt sur le revenu et de la contribution sociale généralisée
Les rapports du CPO sur les reformes proposées IR/CSG
Le Conseil des prélèvements obligatoires (CPO) rend public, le 4 février 2015, un rapport intitulé Impôt sur le revenu, contribution sociale généralisée (CSG) : quelles réformes ? À la demande de la commission des finances du Sénat, le CPO y étudie les possibilités d’élargir l’assiette de l’imposition des revenus, et la faisabilité et l’impact d’une fusion de l’impôt sur le revenu et de la CSG. Il analyse en outre la possibilité de créer un barème progressif appliqué aux revenus soumis à la CSG. Estimant en définitive que la fusion de l’impôt sur le revenu et de la CSG est possible mais complexe à mettre en œuvre, le CPO explore la piste d’une complémentarité cohérente des deux régimes d’imposition.
Note EFI sauf erreur de notre part le rapport ne mentionne ni le contentieux fiscal devant la CJUE –montant 10 à 20 MM€ -ni les gains de productivité énorme que pourra faire naître l’auto liquidation de l’IR mais nécessité de la paix sociale à la DGFIP, les syndicats étant vent debout contre cette réforme destructrice de postes de fonctionnaires
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SUISSE
le rapport 2015 sur les questions financières et fiscales internationales
Le rapport cliquer ( sur l’ EAR lire page 32)
La concurrence internationale pour disposer des meilleures conditions économiques et financières s’est encore intensifiée en 2014. Cette situation constitue un défi pour la Suisse et sa politique en matière de marchés financiers. Le rapport annuel du Département fédéral des finances sur les questions financières et fiscales internationales présente un aperçu des activités passées et à venir dans les domaines de la réglementation des marchés financiers, de l’engagement au sein d’organismes financiers internationaux et de la politique fiscale internationale.
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Comparaison internationale des charges fiscales 2014 (PDF)
Ce document –complet -de source OCDE/Suisse nous montre la faible part de l'IR (incluant la CSG) et de l'IS (cliquer ) dans le PIB France et le poids des prélèvement sociaux par rapport aux autres pays et ce contrairement à une opinion fort répandue dont la contradiction est soumise à une auto censure bien élevée Ce qui caractérise la France par rapport à ses partenaires européens est la structure de ses prélèvements obligatoires, marquée par la faiblesse de l’IS et de l’IR et la place très importante occupée par les cotisations sociales.(25% du PIB) et soumise au fort contrôle de nos organisations professionnelles et à une petite surveillance de la représentation nationale alors même que le déficit est garanti par la collectivité nationale !!!!!!
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Notre ami Pascal Rouet Directeur des services consultatifs du CESE nous transmet un rapport très instructif notamment sur les prélèvements obligatoires en France ainsi que des propositions constructives
RAPPORT ANNUEL SUR L’ÉTAT DE LA FRANCE EN 2014
pat le Conseil économique et social
Rapport Annuel 2014. LES FRACTURES FRANCAISE.
Par Hélène Fauvel (groupe CGT-FO et Hugues Martin (groupe personnalités qualifiées)
Rejet des Français en matière de prélèvements obligatoires : construction idéologique ou réalité ? page 82
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Commentaires
Les aides à l'embauche : un outil efficace de soutien à l'emploi ?
Trésor-Éco n°176 -
MAJ le rapport INSEE 16 sur la france
Les chiffres qui font la France d'aujourd'hui
Dans les «Tableaux de l'économie française», l'Insee scrute chaque année la population, les revenus, les conditions de vie, les finances ou encore le système productif.
«Tableaux de l'économie française», édition 2016.
Un document qui condense des milliers de chiffres qui font la FranceCette véritable mine d'informations dresse, comme son nom l'indique, un panorama exhaustif de notre pays: outre rappeler les grands agrégats de notre économie, ils se plongent dans les quotidiens des citoyens et des entreprises. Des chiffres insolites en ressortent.
Sélection faites par Par Marie Visot journaliste
Le rapport ocde sur la France
Going for Growth (26.02.2016)
La France affiche des niveaux de productivité qui sont parmi les plus élevés de toute la zone OCDE ; en revanche, le taux de chômage y est toujours très supérieur à ce qu’il était avant la crise, ce qui, conjugué à la faiblesse du taux d’activité de la main-d’œuvre, contribue à l’atonie de l’emploi. Les priorités de réforme incluent la suppression des freins à la création d’emplois, ce qui passe notamment par une réduction des obstacles réglementaires à l’entrée dans les secteurs recélant un fort potentiel en matière d’emploi, et par un déplacement de la charge fiscale de façon à ce qu’elle pèse moins sur le travail.
Dans le contexte économique actuel, vaut-il mieux accélérer les réformes structurelles, assouplir davantage la politique monétaire ou pratiquer une relance budgétaire ? Les trois répond l’OCDE
Comparaison des systèmes de retraites /panorama international
cliquer pour vous informer
Le COR compare dix pays représentatifs de la diversité des systèmes de retraite dans les pays développés : l'Allemagne, la Belgique, le Canada, l'Espagne, les États-Unis, l'Italie, le Japon, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Suède. Il présente, sous la forme de dix fiches thématiques, les principales caractéristiques des systèmes de retraite et les réformes depuis la crise, puis fait le point sur leur situation financière et leurs modalités de financement.
Le présent dossier est consacré à ces études comparatives. Il comporte également les travaux récents réalisés sur les dispositifs de retraite par l'OCDE et l'Ageing Working Group de la Commission européenne.
Évolution de la fiscalité dans l'Union européenne
Comparaison internationale des charges fiscales 2014 (PDF)
Comment va évoluer l’assiette fiscale de la France dans les prochaines années ?
LE RAPPORT MOODY'S
Rating Action: Moody's downgrades France's government bond ratings to Aa2 from Aa1; outlook changed to stable from negative Global Credit Research - 18 Sep 2015
"La principale raison de la décision de Moody de dégrader la note des obligations d'État de la France à Aa2 est la croissante clarté,(increasing clarity) de l'avis de Moody, que la croissance économique française restera faible à moyen terme, et l'obstacle que cela va poser pour toute remboursement de la dette élevée de la France dans un avenir prévisible. "(traduit par google)
L’analyse de Richard Werly (Genève)
Écrit par : Rap du tresor sur les aides à l'embauche | 05 septembre 2016
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