19 octobre 2007

FISCALITE ET INTELLIGENCE ECONOMIQUE

ec2821525a15314b8c9c3e507ebfa350.jpgLes très nombreux lecteurs de ce blog certes artisanal mais très lu et imprimé savent que la fiscalité n’est qu’un des éléments du développement des entreprises.

Ils en existent de nombreux autres  notamment l’intelligence économique, domaine souvent oublié par les entreprises françaises.

Je blogue donc le rapport  de la mission chargée de l’intelligence économique

Une entreprise industrielle ou de haute-technologie doit relever notamment trois défis.


    • Elle est amenée à gérer ses risques afin de se prémunir contre des menaces tout en valorisant ses actifs en choisissant le meilleur partenaire financier. La capacité de l’entrepreneur à piloter son entreprise est d’autant plus difficile compte tenu de ces deux enjeux ;
    • Disposant de différentes phases d’investissement, elle est confrontée à des pratiques et des processus précis dépendant de son stade de croissance et de son secteur. Elle doit donc être consciente qu’à chaque étape de sa vie correspond un type d’investissement et donc un questionnement différent ;
    • Pour le chef d’entreprise qui cherche à financer son développement, la question n’est plus tant de se faire repérer par des investisseurs que de se préparer au mieux à cette rencontre.

    Le Haut responsable chargé de l’intelligence économique (HRIE), placé auprès du Secrétaire général de la défense nationale, Mr Alain Juillet et son  équipe ont  rédigé  des fiches pratiques afin de donner à ces chefs d’entreprise les clés pour trouver, sélectionner et évaluer leur investisseur potentiel.

     Ils pourront ainsi engager, dans les meilleures conditions, l’étape primordiale d’échange d’informations et de définition de leur politique de gouvernance.

    10 fiches pratiques : levée de fonds et maitrise de l’info

    Ces fiches constituent également un tronc commun quel que soit le type de levée de fonds car ces processus de financement doivent être approfondis et affinés en fonction du choix porté sur un business angel ou un capital-investisseur. L’ambition marquée et affichée de ce document est de faciliter l’accès au financement des entreprises françaises innovantes non cotées afin qu’elles trouvent les fonds nécessaires à leur compétitivité et qu’elles s’émancipent d’investisseurs peu soucieux de leur projet d’entreprise.   

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