24 mai 2017
Assistance fiscale l’UBS se rebelle contre les autorités fédérales.G TELL se réveille t il?
Lettre EFI du 11 Juillet 2016
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La vache ne connaît la valeur de sa queue que lorsqu'elle la perd.
Un ami d’EFI laitier à VALS ( GR CH)
Comme de nombreux amis d’EFI de Suisse l’avaient pressenti Guillaume TELL semble avoir trouvé un héritier en la personne de Sergio Ermotti, le patron d’ UBS (cliquez)
En effet les efforts de la SUISSE pour se mettre au niveau de ses voisins de l’Europe d’avant Brexit n’ ont apporté aucune contrepartie commerciale :l’accès au marché européen est toujours interdit en dépit des blablablas diplomatiques
La position de l’Europe et de la France –avant le brexit - est machiavélique, au sens historique du mot, affaiblir le système bancaire suisse sans aucune ouverture du marché, alors que les USA sont entrain de devenir la paradis fiscal des non résidents. Pour l’instant les suisses ont été « fair play » mais qu’elle sera leurs réactions lorsque notre génie de la city aura dévoilé son plan d’indépendance ....et de refus des contraintes européennes
Nous sommes loin de l’Europe des Libertés des pères fondateurs
Nous sommes rentrés dans l'Europe de la surveillance des citoyens
Une synthèse sur la 4éme directive surveillance financière dite anti blanchiment
Dimanche 10 juillet 2016, UBS a lancé une charge sans précédent contre l'entraide fiscale suisse comme nous en a informé notre ami SYLVAIN BESSON dimanche soir ,journaliste au Temps
UBS lance une charge sans précédent contre l'entraide fiscale suisse htlm
UBS lance une charge sans précédent contre l'entraide fiscale suisse - Le Temps.pdf
Le patron de la banque, Sergio Ermotti, se plaint du laxisme des autorités fédérales, qui seraient prêtes à livrer les données de milliers de clients à la France. Le cas promet un sévère affrontement juridique entre les plus hauts tribunaux suisses. Et pose des questions sur la sécurité informatique d'UBS
L’entraide fiscale se grippe à nouveau
Jamais, ces dernières années, un grand banquier suisse n'avait ainsi attaqué la nouvelle politique de transparence fiscale. Dans unei nterview d'une rare virulence à la SonntagsZeitung – reprise partiellement dans le Matin Dimanche – le patron d'UBS Sergio Ermotti la juge «opaque», et fondée sur des «arrangements politiques» plus que sur des critères juridiques ou techniques.
L’interview de SERGIO ERMOTTI dans le SONNTAGZEITUNG
L’interview de SERGIO ERMOTTI dans le Dimanche Matin
Carlo Lombardini «ravi» de voir un dirigeant s'exprimer ouvertement
Bien introduit dans les étages supérieurs des banques suisses, l'avocat genevois Carlo Lombardini se dit «ravi» de voir un dirigeant «s'exprimer enfin ouvertement». Selon lui, «on s'est tu jusqu'à maintenant et c'était une erreur. Ce qui se passe n'est pas normal. La Suisse aurait très bien pu refuser cette demande française. On fait plus d'entraide que n'importe quel pays, maintenant il faut finalement se rendre compte que dire toujours oui n’est pas une politique.»
cette rébellion était prévisible et
n'est elle que le début ?
Les banquiers suisses préparent leur saut dans le vide
Par Agathe Duparc de Mediapart (01.12.14)
lire ci dessous les articles d'EFI
19:11 Publié dans Suisse | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook | | |