10 octobre 2022
SULLY,PINAY, TURGO,MENDES ou BERE vont ils revenir???
Malgré les difficultés, il ne faut pas renoncer « endouce » aux réformes
L’erreur du gouvernement, avec cette majorité comme avec la précédente, est de toujours tabler sur une « reprise de la conjoncture ». Or la vérité de la France est qu’elle doit accomplir aujourd’hui, alors que ladite conjoncture est durablement affectée, des réformes de structure qui ne peuvent être remises à demain. Sauf à ce que le pays décroche encore plus par rapport à ses homologues européens.
DÉFICIT COMMERCIAL ABYSSAL
Cette future période va projeter notre pays et nos concitoyens dans des projets porteurs d'avenir crédibles car réalistes et non démagogiques.
Notre histoire a connu un certain nombre de ces périodes de l’esprit noir
Nous nous en sommes toujours sortie grâce à une nouvelle confiance apportée par des hommes d’avenir
DES FINANCES PUBLIQUES AU SERVICE DE NOTRE AVENIR
Par Michel Pébereau (2005)
Réforme fiscale; un pré projet
avec
Patrick Artus, Antoine Bozio et Cecilia García-Peñalosa
Notre histoire collective nous remet en mémoire différentes personnalités qui ont su faire adhérer nos concitoyens à des réformes impopulaires tout en créant un climat de confiance
"BONS GESTIONNAIRES
DE L 'INTÉRÊT COLLECTIF
Lettre de Turgot à Louis XVI du 24 août 1774
ILS ONT SU EN EFFET DÉPASSER LE DÉBAT D'UNE PROCHAINE ELECTION POUR ALLER AU DELA POUR AGIR POUR LA PROCHAINE GENERATION |
En paraphrasant F Mitterrand lors de l'éloge funèbre de P Bérégovoy
"ces hommes ont consacré toute leur énergie à convaincre nos concitoyens que la justice sociale doit être le but de toute action politique et qu'elle ne peut être construite que sur une économie solide, moderne et transparente. Ils savaient que ce sont d'abord les plus modestes qui paient les illusions de la facilité."
Francois Mitterand, avocat au Barreau de Paris,
président de la République
Pierre Mendès France Pierre Bérégovoy
19:09 Publié dans Politique fiscale | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |
Le conseil d’etat censure t il ,à nouveau, le conseil constitutionnel par application de la déclaration des droits de l Homme de 1789 (CE 7.10.22 )
En 20, s était posée la question de connaitre la valeur juridique d’une ordonnance publiée par le pouvoir exécutif mais non ratifiée par nos parlementaires ? DECRET OU LOI ??
Le conseil constitutionnel avait jugé qu’une ordonnance avait valeur législative
A NOUVEAU
EN OCTOBRE 2022
Le Conseil d’État, saisi d’un pourvoi en cassation concerant mettant en application la decision QPC du 26 mai 2021 , doit-il faire application de la loi nouvelle plus douce entrée en vigueur postérieurement à la décision attaquée par laquelle les juges du fond ont statué sur une contestation portant sur une sanction administrative ?
Le conseil d etat refuse d’appliquer la decision de conseil constitutionnel sur la non retroactivite d’une loi penale plus douce ?
Conseil d'État N° 443476 Section 7 octobre 2022
Mme Céline Guibé, rapporteur public
la décision n° 2021-908 QPC du Conseil constitutionnel du 26 mai 2021
Découle du principe énoncé à l'article 8 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen la règle selon laquelle la loi répressive nouvelle doit, lorsqu'elle abroge une incrimination ou prévoit des peines moins sévères que la loi ancienne, s'appliquer aux auteurs d'infractions commises avant son entrée en vigueur et n'ayant pas donné lieu à des décisions devenues irrévocables.
1) Il appartient au juge du fond, saisi d'une contestation portant sur une sanction, de faire application, même d'office, d'une loi répressive nouvelle plus douce entrée en vigueur entre la date à laquelle l'infraction a été commise et celle à laquelle il statue.
2) Il en va de même pour le juge de cassation si la loi nouvelle est entrée en vigueur postérieurement à la décision frappée de pourvoi.
09:25 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook | | |